France culture, 29 sept. 2012
Source de la vidéo : nouvel observateur
Philippe Even est professeur émérite et ancien vice-président de l'université de Paris-5, ancien doyen de la faculté de médecine Necker et président de l'institut Necker.
Co-auteur du : Guide des 4000 médicaments utiles, inutiles ou dangereux au service des malades et des praticiens, Ed. Le Cherche Midi, 2012
Commande sur Amazon : Guide des 4000 médicaments utiles, inutiles ou dangereux
LE SEUL GUIDE QUI REPERTORIE ET CLASSE LES MEDICAMENTS UTILES ET DANGEREUX
50 % de médicaments inutiles – 20 % mal tolérés
5 % potentiellement très dangereux, mais 75 % remboursés
Près de 100 000 accidents nécessitant une hospitalisation
et 20 000 morts par an
Des dépenses de 1,3 à 2 fois supérieures à celles de tous les autres grands pays européens, soit 10 à 15 milliards d'euros jetés par les fenêtres, sans aucun bénéfice pour la santé, plus que le déficit de l'Assurance-maladie, aux dépens des véritables priorités : hôpitaux, maternités, infirmières, handicaps physiques et mentaux, dépendance et vieillesse.
Ce guide s'adresse d'abord aux malades et aux praticiens pour les alerter et les éclairer sur l'efficacité réelle et les risques des médicaments. Ensuite aux politiques et aux agences qui autorisent les médicaments, accordent aux firmes des prix de vente exorbitants et remboursent les médicaments sans discernement. Cette politique n'est pas au service des malades et des citoyens qui paient, mais à celui de l'industrie pharmaceutique qui encaisse, alors que, depuis vingt-cinq ans, elle n'invente plus guère et est devenue la moins éthique et la plus lucrative de toutes les industries, confortée par le silence indifférent ou complice d'une grande part de l'élite médicale universitaire.
La justice, la sécurité et la crise imposent de tailler à coups de serpe dans des dépenses injustifiées et des médicaments trop souvent dangereux.
Source du texte : france culture
Source de la vidéo : nouvel observateur
Philippe Even est professeur émérite et ancien vice-président de l'université de Paris-5, ancien doyen de la faculté de médecine Necker et président de l'institut Necker.
Co-auteur du : Guide des 4000 médicaments utiles, inutiles ou dangereux au service des malades et des praticiens, Ed. Le Cherche Midi, 2012
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50 % de médicaments inutiles – 20 % mal tolérés
5 % potentiellement très dangereux, mais 75 % remboursés
Près de 100 000 accidents nécessitant une hospitalisation
et 20 000 morts par an
Des dépenses de 1,3 à 2 fois supérieures à celles de tous les autres grands pays européens, soit 10 à 15 milliards d'euros jetés par les fenêtres, sans aucun bénéfice pour la santé, plus que le déficit de l'Assurance-maladie, aux dépens des véritables priorités : hôpitaux, maternités, infirmières, handicaps physiques et mentaux, dépendance et vieillesse.
Ce guide s'adresse d'abord aux malades et aux praticiens pour les alerter et les éclairer sur l'efficacité réelle et les risques des médicaments. Ensuite aux politiques et aux agences qui autorisent les médicaments, accordent aux firmes des prix de vente exorbitants et remboursent les médicaments sans discernement. Cette politique n'est pas au service des malades et des citoyens qui paient, mais à celui de l'industrie pharmaceutique qui encaisse, alors que, depuis vingt-cinq ans, elle n'invente plus guère et est devenue la moins éthique et la plus lucrative de toutes les industries, confortée par le silence indifférent ou complice d'une grande part de l'élite médicale universitaire.
La justice, la sécurité et la crise imposent de tailler à coups de serpe dans des dépenses injustifiées et des médicaments trop souvent dangereux.
Source du texte : france culture
A ajouter à un grand nombre de médecins qui pratique les ordonnances-modèle, sorte d'ordonnances toutes faites sensées répondre à chaque problème des patients, notre médecine est décidément bien... malade.
RépondreSupprimerLe Laroxyl : Médicament pour épileptiques couramment prescrit pour la prise en charge sophrologique pour les malades non soulagés par les antalgiques de habituels.
RépondreSupprimerJe l'ai pas du tout vu venir = Au 14 ème jour de traitement, je me suis "suicidée à l'insu de mon plein gré" !
Heureusement, j'ai ma sœur qui s'est inquiété de ne pas arriver à me joindre.
Les pompiers m'ont sauvé la vie car je suis resté 23 h entre le moment où j'ai avalé la mixture de médicaments et la prise en charge en réanimation.
Merci ma petite Soeur et merci aux Pompiers !