William Shakespeare, né probablement le 23 avril 1564 à Stratford-upon-Avon et mort le 23 avril 1616 dans la même ville, est considéré comme l'un des plus grands poètes, dramaturges et écrivains de la culture anglaise. Il est réputé pour sa maîtrise des formes poétiques et littéraires, ainsi que sa capacité à représenter les aspects de la nature humaine.
Source (et suite) du texte : wikipedia
Bibliographie :
Tragédies :
Antoine et Cléopâtre / Coriolan / Hamlet, prince de Danemark / Jules César / Macbeth / Othello ou le Maure de Venise / Le Roi Lear / Roméo et Juliette / Timon d'Athènes / Titus Andronicus / Troïlus et Cressida
Comédies:
Beaucoup de bruit pour rien / La Comédie des erreurs / Comme il vous plaira / Les Deux Gentilshommes de Vérone / Les Joyeuses Commères de Windsor / Le Marchand de Venise / La Mégère apprivoisée / Mesure pour mesure / La Nuit des rois / Peines d'amour perdues / Le Songe d'une nuit d'été / Tout est bien qui finit bien
Pièces historiques :
Édouard III / Richard II / Richard III / Henri IV / Henri V / Henri VI / Henri VIII / Le Roi Jean / Sir Thomas More
Romances tardives :
Le Conte d'hiver / Cymbeline / Les Deux Nobles Cousins / Périclès, prince de Tyr / La Tempête
Autres : wikipedia
Traductions françaises :
- Oeuvres complètes, trad. François Guizot, 1864 (format Kindle, ...)
- Oeuvres complètes, trad. François-Victor Hugo, 1865 (Ed. GF, wikisource, ...)
- Oeuvres complètes, trad. Jean-Michel Déprats, Ed. La Pléiade, 2 tomes, 1959, 2008
- Oeuvres complètes, bilingue, trad. Gilles Monsarrat, Ed. Robert Laffont, 2000
En ligne :
Diverses pièces et traductions : wikisource / litterratureaudio (mp3)
En anglais : opensourceshakespeare
HAMLET :
Donnez-lui donc la bienvenue due à un étranger. Il y a plus de choses sur la terre et dans le ciel, Horatio, qu’il n’en est rêvé dans votre philosophie. (...)
Acte I, scène 5
HAMLET :
… rien n'est en soi bon ou mauvais, la pensée le rend tel.
Acte II, scène 1
HAMLET (monologue) :
Être, ou ne pas être, telle est la question. Y a-t-il plus de noblesse d’âme à subir la fronde et les flèches de la fortune outrageante, ou bien à s’armer contre une mer de douleurs et à l’arrêter par une révolte ? Mourir… dormir, rien de plus ;… et dire que par ce sommeil nous mettons fin aux maux du cœur et aux mille tortures naturelles qui sont le legs de la chair : c’est là une terminaison qu’on doit souhaiter avec ferveur. Mourir… dormir, dormir ! peut-être rêver ! Oui, là est l’embarras. Car quels rêves peut-il nous venir dans ce sommeil de la mort, quand nous sommes débarrassés de l’étreinte de cette vie ? Voilà qui doit nous arrêter. C’est cette réflexion-là qui nous vaut la calamité d’une si longue existence. Qui, en effet, voudrait supporter les flagellations et les dédains du monde, l’injure de l’oppresseur, l’humiliation de la pauvreté, les angoisses de l’amour méprisé, les lenteurs de la loi, l’insolence du pouvoir et les rebuffades que le mérite résigné reçoit des créatures indignes, s’il pouvait en être quitte avec un simple poinçon ? Qui voudrait porter ces fardeaux,HAMLET (monologue) :
geindre et suer sous une vie accablante, si la crainte de quelque chose après la mort, de cette région inexplorée, d’où nul voyageur ne revient, ne troublait la volonté, et ne nous faisait supporter les maux que nous avons par peur de nous lancer dans ceux que nous ne connaissons pas ? Ainsi la conscience fait de nous tous des lâches ; ainsi les couleurs natives de la résolution blêmissent sous les pâles reflets de la pensée ; ainsi les entreprises les plus énergiques et les plus importantes se détournent de leur cours, à cette idée,
et perdent le nom d’action… Doucement, maintenant ! Voici la belle Ophélia… Nymphe, dans tes oraisons
souviens-toi de tous mes péchés.
Acte III, scène 1
En ligne : wikisource (trad. François-Victor Hugo, 1865)
Monologue de Hamlet (en anglais) par Laurence Olivier (1948)
MACBETH :
La vie n'est qu'une ombre qui passe, un pauvre acteur
Qui s'agite et parade une heure, sur la scène,
Puis on ne l'entend plus. C'est un récit
Plein de bruit, de fureur, qu'un idiot raconte
Et qui n'a pas de sens.
Acte V, scène 5
En ligne : wikisource (trad. François-Victor Hugo, 1865)
JACQUES :
Le monde entier est un théâtre, et tout le monde, hommes et femmes y sont acteurs.
Extrait de : Comme il vous plaira
PROSPERO :
Nous sommes de la même étoffe que les songes, et notre vie infime est cernée de brouillard…
Nous sommes de l'étoffe dont les rêves sont faits, notre petite vie est cerclée d'un sommeil.
Extrait de : La Tempête, Acte 4, scène 1
En ligne : wikisource (trad. François-Victor Hugo, 1865)
Franck Martin, The Tempest, extrait
Le Gai savoir par Raphael Enthoven
Hamlet - Shakespeare (03.11.2013)
Tire ta langue par Antoine Perraud
Que devait exactement William Shakespeare à John Florio ? 29.06.2014
Acte II, scène 7
En ligne : wikisource (trad. Guizot, 1863)
PROSPERO :
Nous sommes de la même étoffe que les songes, et notre vie infime est cernée de brouillard…
Nous sommes de l'étoffe dont les rêves sont faits, notre petite vie est cerclée d'un sommeil.
Extrait de : La Tempête, Acte 4, scène 1
En ligne : wikisource (trad. François-Victor Hugo, 1865)
Franck Martin, The Tempest, extrait
Le Gai savoir par Raphael Enthoven
Hamlet - Shakespeare (03.11.2013)
Tire ta langue par Antoine Perraud
Que devait exactement William Shakespeare à John Florio ? 29.06.2014
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