Piaf : le concert idéal
Édith Piaf chante ses plus belles chansons de la période 1952-1962 : 'La foule', 'L'accordéoniste', 'L'hymne à l'amour', 'La vie en rose', 'Milord', 'L'homme à la moto', 'Non, je ne regrette rien'... Grâce à un judicieux montage, Édith Piaf fait elle-même le lien entre chaque chanson.
Il y a un demi-siècle, disparaissait Édith Piaf. Elle chante ici ses plus belles chansons de la période 1952-1962 : "La foule", "L’accordéoniste", "Je me souviens d’une chanson", "L’hymne à l’amour", "La vie en rose" (deux titres dont nous entendons également un extrait en anglais), "Sale petit brouillard", "Milord", "Faut pas qu’il se figure", "L’homme à la moto", "Mon Dieu", "La goualante du pauvre Jean", "Non, je ne regrette rien", "Bravo pour le clown"... Grâce à un judicieux montage, Édith Piaf fait elle-même le lien entre chaque chanson.
Source : Arte
Piaf : sans amour on est rien du tout
Portrait d'Edith Piaf, cinquante ans après sa mort : le documentaire retrace la vie de l'immense interprète à travers des images d'archives, et des extraits de ses chansons qui viennent illustrer les différents épisodes de sa vie, de l'enfance à la mort.
À ses débuts, c’est une fille malingre, mal balancée, qui n’a rien pour susciter le désir. Ce n’est ni Ava Gardner ni Rita Hayworth. Pourtant, tous sont foudroyés par ce qui se loge dans ce petit corps frêle : l’essence même de l’amour. Même si l’on n’aime pas la chanson, on sait qui est Piaf. Personne n’a incarné la chanson populaire comme elle. Il faut regarder attentivement les visages des spectateurs qui l’écoutent : ils sont bouleversés. Dans chaque chanson, ils entendent l’histoire de leur propre vie, des amours et des peines qu’ils ont eues ou qu’ils n’ont pas su vivre. Enchanteresse de l’âme plus que du corps, Piaf hurle l’amour. Son blues très personnel, sa grâce violente et sa voix déchirée rejoignent les expressions les plus universelles de la passion amoureuse. Portrait de cette immense interprète à travers des images d’archives et de nombreux extraits de chansons.
Source : Arte
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