Toute conscience est conscience de quelque chose. Parler de "conscience sans objet" est-ce alors parler pour ne rien dire ?
samedi 26 juillet 2014
Mon docteur indien
Mon docteur indien (France, 2012)
Un cancérologue français part en Inde avec une ancienne patiente qui a fini par vaincre la maladie grâce à la médecine traditionnelle. Ou comment peuvent se rapprocher deux thérapies aux méthodes divergentes.
Ce film nous emmène dans le sud de l'Inde, sur les pas d’un duo surprenant et improbable : le professeur Thomas Tursz, célèbre cancérologue français et directeur de l’Institut Gustave-Roussy, à Villejuif, mû par le désir de confronter ses connaissances, y est entraîné par Nella Banfi, son ancienne patiente qui a soigné son cancer grâce à la médecine indienne. Cette histoire est celle d’une femme qui a vécu le parcours éprouvant de la médecine moderne, de la chirurgie, des traitements et du doute. Et qui a finalement choisi une voie différente, mais complémentaire de celle qu'on lui proposait. Et a vaincu la maladie. C’est une démarche étonnante et inattendue : celle d’un éminent docteur au sommet de ses connaissances, qui part à la découverte d’une médecine qui, apparemment diffère radicalement de la sienne.
Ni donneur de leçons, ni prescripteur, Mon docteur indien est aussi l’histoire d’un métissage de cultures, d’une mondialisation positive, où des approches différentes se rencontrent pour mieux s’enrichir. Le film explore les ponts qui existent entre la médecine traditionnelle, la science et la médecine moderne, qui s’accordent à repositionner le patient au cœur du processus de guérison pour soigner la personne et non la maladie.
Source : Arte
Inscription à :
Publier les commentaires (Atom)
C'est curieux Ramana Maharshi a quitté son corps, à la suite d'un cancer au bras...
RépondreSupprimerJe doute que son âme ait été atteinte ???