Quel sont les moyens et l'ampleur des fraudes électorales en particulier lors de la dernière élection américaine ? Suffisante pour la remettre en cause ? Va-t-on vers un "cygne noir" ? Eléments de réponse ci-dessous (en attendant la réponse des faits).
François de Siebenthal, économiste, Fraudes électorales en Suisse (AgoraTV, 4 décembre 2020)
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Lapsus révélateur ou simple gaffe (une de plus) ? Joe Biden parle de l'organisation "de fraude électorale la plus grande et la plus inclusive de l'histoire de la politique américaine" (24 octobre 2020)
Nous sommes dans une situation où nous avons mis en place – et vous l’avez fait pour notre administration, celle du président Obama, avant celle-ci – nous avons mis en place, je pense, l’organisation de fraude électorale la plus grande et la plus inclusive de l’histoire de la politique américaine. (Joe Biden)
(MAJ 10) Pourquoi Edouard Husson est sûr qu'il y a eu des fraudes à la présidentielle US (Eric Verhaeghe, 5 décembre 2020) Site internet à consulter : Here is the evidence (recensement des preuves de fraude)
La théorie du cygne noir ou théorie des événements cygne noir, développée par le statisticien Nassim Nicholas Taleb, notamment dans son essai Le Cygne noir, est une théorie selon laquelle on appelle cygne noir un certain événement imprévisible qui a une faible probabilité de se dérouler (appelé « événement rare » en théorie des probabilités) et qui, s'il se réalise, a des conséquences d'une portée considérable et exceptionnelle. Source (et suite) du texte : Théorie du cygne noir (wikipedia) « C’est sans doute le discours le plus important que je n’ai jamais fait. Je veux vous apporter des nouvelles sur nos efforts pour mettre au grand jour la fraude électorale et les irrégularités qui ont eu lieu pendant notre jour d’élection…. Comme président je n’ai pas de devoir plus élevé que celui de défendre les lois et la Constitution des Etats-Unis, c’est pourquoi je suis déterminé à protéger notre système électoral qui est désormais la victime d’un assaut coordonné et assiégé. Nous avons expliqué pendant des mois qu’il allait y avoir des problèmes et qu’il faudrait des semaines et sans doute des mois avant de déterminé qui avait gagné. Le processus constitutionnel doit être autorisé à se poursuivre. Nous allons défendre l’intégrité du vote en s’assurant que chaque bulletin de vote légal soit compté et qu’aucun bulletin de vote illégal ne soit compté. Il ne s’agit pas des votes des 74 millions d’Américains qui ont voté pour moi, il s’agit de la confiance des Américains dans cette élection et dans toutes les futures élections. » Donald Trump, 2 décembre 2020 Extrait de : Charles Sannat, « Trump va-t-il suspendre le processus de désignation du nouveau président ? » (Insolentiae, 4 décembre 2020) (MAJ 7) Voir aussi : C’est mon discours le plus important ! [discours de Trump traduit en fr], 2 décembre 2020, Quadrillage traduction
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Présidentielle américaine : les recours se multiplient
Par Elisabeth Dancet, 30 novembre 2020 - France Soir
« Ceux qui votent ne décident de rien, ceux qui comptent les votes décident de tout. »
Cette citation attribuée à Joseph Staline a-t-elle traversé l’Atlantique en novembre 2020 ?
Au milieu du silence assourdissant des médias mainstream aux États-Unis comme en Europe, les actions publiques, civiles et judicaires se multiplient dans les états-clés pour faire la lumière sur les résultats des élections américaines.
Mercredi 25 novembre, la superlawyer (avocate d'exception) Sidney Powell représentant un collectif de Républicains a déposé une poursuite judiciaire devant le tribunal fédéral de Géorgie contre le gouverneur Brian Kemp et le secrétaire d’état Brad Raffensperger, responsable des élections. Cette plainte de 104 pages dénonce les fraudes massives advenues durant les élections générales de 2020 organisées dans l’état et contient des preuves certaines et tangibles, notamment de 96 600 votes par correspondance qui ont été comptabilisés mais n’ont pas été enregistrés comme ayant effectivement été reçus par les bureaux de vote. L’avocate demande l’annulation de ces bulletins. La fraude la plus inquiétante dénoncée également dans la plainte concerne la manipulation des résultats par les logiciels des machines de vote Dominion, programmés pour assurer l’élection du candidat démocrate et opérés par des acteurs domestiques et étrangers.
Le même jour, l’avocate a déposé une action en justice similaire auprès du tribunal fédéral du Michigan, contre la gouverneure Gretchen Whitmer et la secrétaire d’état Jocelyn Benson, alléguant aussi de fraudes massives de deux types, les fraudes dites « traditionnelles » et la manipulation des logiciels électoraux pour favoriser systématiquement Joe Biden.
En conséquence, Twitter a suspendu le compte de Sidney Powell pendant 12 heures et bloqué l’accès à son site permettant des dons en ligne pour financer les actions en justice en cours. Alors que Jack Dorsey, CEO de Twitter, a affirmé lors de sa récente audition au Sénat, ne pas influencer les élections américaines par des actes de censure…
Le même jour encore, Rudy Giuliani, avocat de l’équipe électorale de Donald Trump a organisé une audition publique avec les représentants de l’état de Pennsylvanie sur le déroulement des élections. Durant ces auditions, plusieurs observateurs ont témoigné avoir été mis dans l’impossibilité d’observer correctement le dépouillement des bulletins de vote. Un spécialiste du renseignement et de cyber sécurité, le colonel Phil Waldron, a confirmé la capacité de manipuler les logiciels des machines à voter utilisées durant ces élections, comme cela a été fait au Venezuela et en Argentine. Il a expliqué que les anomalies de pointes du nombre de votes enregistrées pour Joe Biden dans un temps très court ne sont pas possibles dans des circonstances normales. Ces pics informatiques réapparaissent à plusieurs reprises dans les décomptes des voix de Pennsylvanie et comptabilisent plus de 570 000 votes pour Biden, et moins de 3200 pour Trump.
Si les résultats s’inversent uniquement dans ces trois états du fait de ces fraudes, Donald Trump dépasse largement les 270 votes de grands électeurs nécessaires pour gagner l'élection présidentielle.
Mais les fraudes ne s’arrêtent pas là !
Ancien directeur de la stratégie de la campagne de Trump en 2016, Matt Braynard a immédiatement douté des résultats de l’élection présidentielle de 2020. Quelques jours après l’élection, ce spécialiste des data rassemble une équipe pour analyser les votes suspicieux dans 6 états-clés. L’équipe analyse et croise les données concernant 1,25 millions de votants. Elle les contacte par téléphone, message ou mail et fait alors une découverte majeure : les votants ayant signalé leur changement d’adresse à la Poste suite à leur déménagement dans un autre état ont quand même voté dans leur état précédent. Les chiffres sont astronomiques : 138 221 votants en Géorgie, 51 302 au Michigan, 26 673 dans le Wisconsin, 27 271 dans le Nevada, 19 997 en Arizona, 13 671 en Pennsylvanie ! La quantité de bulletins contestables dépasse le différentiel entre les deux candidats dans au moins 3 états, affirme Braynard, membre du Voter Integrity Project, de quoi retourner facilement - une fois de plus - le résultat de l‘élection présidentielle.
Pour s’assurer de la tournure des élections, les Big Tech - principalement Google - ont influencé les électeurs en manipulant les contenus répondant à leurs recherches en ligne.
Depuis 2016, le Dr. Robert Epstein, chercheur en comportement humain à l’AIBRT, conduit une large étude sur le rôle des Big Tech dans les élections. Ce projet rassemble 733 citoyens de différents états-clés enregistrés sur les listes électorales, un panel comprenant démocrates, républicains et indépendants. L’équipe de recherche d’Epstein a observé et analysé pendant des semaines les comportements en ligne de ces citoyens, avant l’élection et jusqu’au jour de l’élection. L’observation des messages et contenus reçus par ces citoyens démontre les biais flagrants introduits par Google : les citoyens démocrates ont eu droit à une page d’accueil spécifique les incitant à aller voter, alors que les républicains n’ont pas reçu cette invitation. Là encore les Big Tech, devenues machines de propagande, font tourner leurs algorithmes et leur big data pour forcer les votes dans le sens qui leur convient. D’après les calculs de Robert Epstein, Google a ainsi contribué à influencer au minimum 6 millions de votants vers le candidat libéral.
Cette censure est mise en œuvre non seulement par Google mais aussi par Facebook et Twitter. Les auditions en cours auprès du Sénat américain qui se sont poursuivies ces dernières semaines visent à le démontrer. Le sénateur Ted Cruz est persuadé que Google, l’entreprise la plus puissante des USA, influence les élections en manipulant les résultats de recherche, et en censurant systématiquement les conservateurs et les actions du Président Trump. Il accuse Jack Dorsey, patron de Twitter, plateforme de distribution d’informations, d’avoir censuré les articles du New York Post, un des plus anciens journaux américains, qui relataient les affaires fort lucratives menées par Hunter Biden au nom de son père en Ukraine, en Russie et en Chine. Cette découverte aurait dû être relayée par les médias avec des conséquences désastreuses pour le candidat Biden, soupçonné de corruption. Cela n’a pas été le cas : Google et les plateformes Twitter et Facebook ont censuré toute publication sur ce sujet sensible. Cette censure constitue une violation de la loi fédérale et du Premier amendement de la Constitution qui protège la liberté d’expression.
Les instituts de sondage eux-mêmes ont été manipulés, prédisant une « vague bleue ». En fait c’est plutôt d’une vague rouge que témoigne cette élection. Il est d’autant plus remarquable que malgré cette censure systématique des médias comme des plateformes en ligne, les recours et dépôts de plainte pour fraudes massives conduisent de plus en plus à mettre en lumière la victoire du candidat républicain. Que l’on soit anti ou pro-Trump, si l’on respecte et applique les principes démocratiques, il semble probable que le candidat Trump l’emporte, et l’emporte largement.
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