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jeudi 5 juillet 2018
Un moine occidental au monastère de Menri
Un moine occidental (Dominique) au monastère de Menri en Inde (Les Routes du Monde, 2012)
dimanche 1 juillet 2018
Lama Samten Yéshé
MAJ de la page : Lungtok Tenpai Nyima
Vidéo en hommage à Lungtok Tenpai Nyima, 33e abbé du monastère Bön de Menri, récemment disparu à l'âge de 89 ans, le 14 septembre 2017 (diaporama de Lama Samten Yéshé, 2018)
Intronisation de son successeur (désigné par tirage au sort), Lha Sung Den Tarwa, 34e Menri Trizin : Youtube
Né au Tibet, Lama Samten Yeshe Rinpoché a accompli seize années d’études (Sutra, Tantra et Dzogchen) au sein du Monastère de Menri.
Maître de chant, Maître de danses sacrées, formé à la réalisation de mandalas, à la médecine, la calligraphie et l’astrologie tibétaines, Lama Samten a obtenu son diplôme d’enseignement supérieur de Docteur en Philosophie Bouddhiste Bön en 2010.
Après avoir dirigé un monastère et professé au Tibet, il voyage aujourd’hui en Europe afin d’offrir ses enseignements.
Lama Samten enseigne en langue française la méditation suivant la voie du Bön (en particulier le Dzogchen) ainsi que le yoga tibétain (Tsa-Lung Trul-Khor), la langue tibétaine, organise des conférences et donne des consultations en astrologie tibétaine en France (en particulier à Arles, Carcassonne, Montpellier, Nîmes, Paris, Rogues et le Vigan), mais il intervient aussi en Europe (Allemagne, Autriche, Espagne, Hongrie, Italie, Pologne, etc.).
Le nom “Tazig” désigne la région mythique d’apparition du bouddhisme Bön, située à l’ouest du Tibet, qui vit naître Tonpa Shenrab.
Source et site officiel : Tazig / Chaine youtube
Lama Samten vient aussi régulièrement en Suisse (Sion) pour des week-end de yoga tibétain. Renseignement : Marie, suisse@tazig.fr
(Exemple de postures du yoga tibétain par Tenzin Wangyal : Youtube)
Cérémonie de Gueshé (docteur en philosophie) de Lama Samten Yeshé Rinpoché - Monastère de Menri, 2010
Lama Samten (Yuval Avital, 2014)
Chant du Cristal et Chants tibétains, concert par J.-M. Lometec , E. De Gasquet et Lama Samten (Paris, mai 2016)
Vidéo en hommage à Lungtok Tenpai Nyima, 33e abbé du monastère Bön de Menri, récemment disparu à l'âge de 89 ans, le 14 septembre 2017 (diaporama de Lama Samten Yéshé, 2018)
Intronisation de son successeur (désigné par tirage au sort), Lha Sung Den Tarwa, 34e Menri Trizin : Youtube
En position de méditation, 8 jours après sa mort.
Os et dents, transformés en perles lors de l'incinération du corps.
* * *
Né au Tibet, Lama Samten Yeshe Rinpoché a accompli seize années d’études (Sutra, Tantra et Dzogchen) au sein du Monastère de Menri.
Maître de chant, Maître de danses sacrées, formé à la réalisation de mandalas, à la médecine, la calligraphie et l’astrologie tibétaines, Lama Samten a obtenu son diplôme d’enseignement supérieur de Docteur en Philosophie Bouddhiste Bön en 2010.
Après avoir dirigé un monastère et professé au Tibet, il voyage aujourd’hui en Europe afin d’offrir ses enseignements.
Lama Samten enseigne en langue française la méditation suivant la voie du Bön (en particulier le Dzogchen) ainsi que le yoga tibétain (Tsa-Lung Trul-Khor), la langue tibétaine, organise des conférences et donne des consultations en astrologie tibétaine en France (en particulier à Arles, Carcassonne, Montpellier, Nîmes, Paris, Rogues et le Vigan), mais il intervient aussi en Europe (Allemagne, Autriche, Espagne, Hongrie, Italie, Pologne, etc.).
Le nom “Tazig” désigne la région mythique d’apparition du bouddhisme Bön, située à l’ouest du Tibet, qui vit naître Tonpa Shenrab.
Source et site officiel : Tazig / Chaine youtube
Lama Samten vient aussi régulièrement en Suisse (Sion) pour des week-end de yoga tibétain. Renseignement : Marie, suisse@tazig.fr
(Exemple de postures du yoga tibétain par Tenzin Wangyal : Youtube)
Cérémonie de Gueshé (docteur en philosophie) de Lama Samten Yeshé Rinpoché - Monastère de Menri, 2010
Lama Samten (Yuval Avital, 2014)
Chant du Cristal et Chants tibétains, concert par J.-M. Lometec , E. De Gasquet et Lama Samten (Paris, mai 2016)
mardi 16 novembre 2010
Yongdzing Tenzin Namdak Rinpoche

Lopön Tenzin Namdak est né en 1926 à Khyungpo Karu dans la province du Khams au Tibet Oriental. En 1933, à l'âge de sept ans, il entra au monastère de Tengchen dans le même district et en 1941, il se rendit à Yungdrung Ling, l'un des deux plus importants monastères Bönpos du Tibet Central. D'une famille célèbre pour ses artistes, Lopön y œuvra essentiellement pour aider à exécuter une série de peintures murales dans le nouveau temple de ce monastère.
En 1944, il se rendit en pèlerinage au Népal et plus particulièrement à Solu-Khumbu, Kathmandu, Pokhara et la vallée du Mustang. En 1945, il retourna à Yungdrung Ling pour commencer ses études de logique (mtshan-nyid) et de 1945 à 1950, il vécut plus ou moins une existence d'ermite avec son maître et tuteur Gangru Rinpoche Tsültrim Gyeltsen auprès duquel il étudia la grammaire (sgra), la poésie (snyan-ngag), la discipline monastique ('dul-ba), la cosmologie (mdzod-phug), ainsi que les étapes de la voie vers l'Eveil (sa-lam). Obéissant au conseil de son maître, il se rendit en 1950 au Monastère de Menri (sMan-ri ; litt. Mont des Panacées) dans la province du Tsang au Tibet Central, pour y achever les études préparatoires à son examen de Geshe, l'équivalent tibétain du Doctorat de troisième cycle. En 1953, il obtint ce titre à Menri.
De 1953 jusqu'à 1957, il fut maître d'études (slob-dpon) ou professeur à Menri. Il abandonna cette position en 1957 en raison des conflits opposants les tibétains à l'empiétement croissant des communistes chinois au Tibet Central. Jusqu'à 1960, il demeura en retraite au monastère de Sezhig sur le lac de Dangra dans le nord du Tsang. Après la révolte de Lhassa contre les communistes chinois le 10 Mars 1959, la plupart des lamas les plus célèbres du Tibet parmi eux le Dalaï Lama et le Gyelwa Karmapa se virent contraints de fuir leur patrie. A leur suite, une foule de réfugiés tibétains entra en Inde et au Népal. En 1960, Lopön chercha aussi à fuir en Inde mais il fut blessé par balle sur son chemin par des soldats chinois et incarcéré dans une prison chinoise pendant dix mois. Il réussit finalement à s'échapper et à trouver une route sauve vers le Népal, via la petite principauté du Mustang.
En 1961, alors qu'il résidait à Kathmandu, Lopön Rinpoche rencontra et se lia d'amitié avec le célèbre tibétologue anglais David Snellgrove qui l'invita à venir à Londres. Lopön fut ainsi chercheur associé à l'Université de Londres et, avec une allocation de la Rockefeller Foundation, il demeura pour un temps à l'Université de Cambridge. Une collaboration avec le professeur Snellgrove aboutit à la publication de The Nine Ways of Bon (London, Oxford University Press, 1967) contenant des extraits traduits du célèbre Zidji, la plus longue biographie du bouddha Tönpa Shenrab. Ce fut la première étude scientifique sur la tradition Bönpo faite en Occident. Lopön Rinpoche demeura en Angleterre pendant trois ans (de 1961 à 1964) et il fit une seconde visite en Europe en 1969 quand, à l'invitation du professeur Helmut Hoffman, il fut chercheur associé à l'Université de Munich où il contribua au monumental dictionnaire tibétain-allemand-anglais alors en cours de compilation.
Parmi les cent mille réfugiés tibétains et plus qui avaient fui l'occupation chinoise du Tibet, un certain nombre d'entre eux appartenait à la tradition Bönpo. Fuyant la province du Tsang, les moines du monastère de Menri, qui venait d'être totalement détruit par les communistes, se retrouvèrent dans le district de Kulu-Mandi en Himachal Pradesh, au nord-ouest de l'Inde. Pour subvenir à leurs besoins, ils se virent contraints de gagner leur vie dans la construction de routes. Parmi eux se trouvait Sherab Lodrö, le trente-deuxième abbé de Menri. Bien des moines, épuisés par la dureté du travail d'entretien des routes, moururent ou souffrirent de maladies graves.
En conséquence, Lopön Tenzin Namdak entreprit de rassembler des fonds et de trouver une terre pour fonder une colonie bönpo en Inde. Avec l'aide financière du Catholic Relief Service, il acheta un morceau de forêt non exploi-tée à Dolanji, près de Solan en Himachal Pradesh. En 1967, la colonie fut officiellement établie et enregistrée par le gouvernement indien sous le nom de la Tibetan Bönpo Foundation. Soixante-dix familles environ s'y transférèrent de Manali et chacune reçut une maison et un petit lopin de terre dont la taille dépendait du nombre de personnes par famille. La Tibetan Bönpo Foundation se dota ainsi de sa propre constitution et de sa propre administration avec l'abbé de Menri pour président. La nouvelle colonie de fut appelée Thobgyel Sarpa du nom du village Thobgyel de la province du Tsang, qui était situé près du Monastère de Menri. La plupart des Tibétains de cette nou-velle colonie venait de la région du Mont Kailash et du Tsang supérieur à l'ouest mais aussi des régions de Hor, Kongpo, Derge, Amdo et Gyarung dans l'est du Tibet.
Après la mort de Sherab Lodrö, abbé de Menri, en 1963, l'abbé de Yung-drung Ling devint le chef spirituel de la communauté bönpo en exil. Il vint à Dolanji avec un groupe de moines et y fonda une nouvelle communauté monastique, supervisant la construction de quelques petites maisons, ainsi que d'un petit temple. En 1969, le successeur de l'abbé défunt de Menri fut choisi par tirage au sort. La charge incomba à Lungtog Tenpai Nyima Rinpoche qui devint ainsi le trente-troisième abbé de Menri. Après la mort de l'abbé de Yungdrung Ling, Sangye Tenzin assura la direction spirituelle des Bönpos en exil. Des maisons supplémentaires furent construites, ainsi qu'une bibliothèque et une résidence abbatiale (bla-brang). La vie monastique fut organisée autour des ordonnances du Vinaya ('dul-ba). La fondation du temple principal fut commencée en 1969 et achevée en 1978. Le temple fut appelé Pel Shenten Menri Ling tandis que l'ensemble fut désigné sous le nom de Bönpo Monastic Centre et intégré à la Tibetan Bönpo Foundation
De 1970 à 1979, Lopön Tenzin Namdak Rinpoche continua à enseigner et à écrire alors qu'il demeurait au Bönpo Monastic Centre. Il était en outre absorbé par l'édition d'un large corpus de textes bönpos importants à New Delhi. Depuis l'arrivée des premiers moines à Dolanji en 1967, les enseignements étaient donnés par Lopön Sangye Tenzin, le précédent maître principal à Menri, assisté par son successeur, Lopön Tenzin Namdak, lui-même fondateur de la communauté de Dolanji. Lorsque Sangye Tenzin mourut en 1968, Lopön Tenzin Namdak reçut la pleine responsabilité de l'éducation de la jeune génération de moines.
En 1978, un nombre suffisant de textes bönpos furent publiés si bien que des cours purent être organisés en cursus autour d'eux. Ainsi, un collège d'études (bshad-sgrub) put être établi en 1978, sous la direction de Lopön Tenzin Namdak qui officia alors comme l'un des deux professeurs de ce collège.
Le nom officiel du collège est L'objectif de ce nouveau collège d'études de Dolanji était de préserver la tradition de logique établie et développée à Yeru Wensaka, où l'analyse philosophique et la logique étaient appliquées à la compréhension des Dongak Sem-sum, c'est-à-dire des enseignements des Sûtras, des Tantras et du Dzogchen.
En 1989, Lopön Tenzin Namdak fit sa troisième visite en Occident, cette fois-ci, en Angleterre, au Etats-Unis et en Italie, à l'invitation des Communautés Dzogchen de ces pays. Pendant six mois, Lopön Rinpoche présenta aux étudiants occidentaux intéressés les enseignements Dzogchen d'après les traditions bönpos de l'Atri et du Zhangzhung Nyengyü.
De même, au début de l'année 1991, il visita l'Allemagne, l'Angleterre, la Hollande et l'Italie. Pendant son séjour dans ces pays, il fit des conférences et donna des enseignements sur divers systèmes de méditation et champs d'études se rapportant à la tradition Bön.
Plus tard cette même année, il fut invité par Sa Sainteté le Dalaï Lama à représenter la tradition Bön à l'initiation du Kalachakra à New York. Lopön Rinpoche a ainsi largement diffusé les enseignements du Bön dans bien des pays et ses résidences permanentes sont Kathmandu (Népal) et Dolanji (Inde).
Source du texte : Yungdrung Bön
Monastère au Népal : Triten
Bibliographie (en français) :
Les Sphères du coeur de Shardza Tashi Gyaltsen (1859-1935), traduit et commenté par Löpon Tenzin Namdak. Ed. Les deux océans, 1991.
Lungtog Tenpei Nyima Rinpoche
S.S. Menri Trizin XXXIII, Lungtog Tenpei Nyima, 33ème abbé de la lignée abbatiale de Menri, né à Kyangthang dans l'Amdo, l'année Serpent de terre 1929. A l'âge de 8 ans il entra au monastère de Khyangtang et appris la lecture, l'écriture et les récitations quotidiennes du monastère. De 12 ans à 17 ans il étudia la médecine tibétaine avec Zhuwo Tanpa Luhundrup. Il appris aussi les rituels des tantras secrets et effectua les pratiques préliminaires étendues sous les directives de Sherap Tenpey Gyaltsen, le lama qui dirigeai le monastère Kyangthang.
De 18 à 26 ans son maître principal fut Geshe Tenzin Lodro Gyatso de qui il reçu des initiations, des instructions et des transmissions lues, il étudia aussi la dialectique, le Tantra et le Dzogchen ainsi que des matières en relation avec cela.
A l'âge de 27 ans il fut reçu Geshe et voyagea dans toutes les 18 régions Bön. A son retour on lui demanda de prendre la charge d'abbé du monastère de Kyangthang ; cependant il quitta le monastère peu de temps après cela et partit en pèlerinage en chine puis revint à Menri et Yungdrung Ling, où il demeura jusqu'en 1959.
Après l'invasion chinoise il partit au Népal et en Inde où il commença à rassembler d'importants textes Bön. Pendant une de ses recherches à Dolpo, au Népal il rencontra le professeur David Snellgrove.
Par la suite, lorsqu'il publiait des textes à Delhi il fut invité avec Lopon Tenzin Namdak et Samten Karmay par le professeur Snellgrove à l'école d'études orientales et africaines de l'Université de Londres, avec le soutien financier de la Fondation Rockefeller. Pendant les 3 années qu'il passa en Angleterre il visita plusieurs monastères bénédictins et cisterciens et manifesta un vif intérêt pour leur vie religieuse.
En juillet 1964, il fut reçu en audience privée par le Pape Paul VI. Puis il travailla 2 ans à l'université d'Oslo comme professeur assistant avec le professeur Simonsson. En 1969 il fut désigné comme successeur de l'abbé de Menri décédé et les moines ainsi que les Bonpos laïques lui demandèrent de revenir en Inde.
Depuis il est principalement à Dolanji, où le monastère Menri a été rétabli et plus de 300 réfugiés bön sont réinstallés.
Source du texte : Yungdrung Bön
(...)
Question :
Dans ce monde global, certains pensent que nous gagnons en universalité ce que nous perdons en identité. En ce qui concerne la spiritualité, certains pensent que nous pourrions nous perdre en nous plongeant dans différentes traditions.
Réponse :
Ce n'est pas nécessairement vrai. Tu peux entrer en contact, étudier honnêtement et apprendre différentes traditions, mais il y en aura toujours une qui te sera plus familière. Maintenant nous sommes une grande famille et ceci est positif. En entrant en contact avec des traditions distinctes, le christianisme, la religion de Mahomet, le bouddhisme, le judaïsme, et les étudier honnêtement, l'une d'entre elles te déduira plus spécialement et tu la sentiras plus familière. Cela s'explique par l'existence d'une conception de ton karma avec cette tradition spécifique, qui provient d'une vie antérieur. La tradition dans laquelle tu es né n'est pas importante. Les traditions sont comme les habits ou la nourriture. Tu peux étudier beaucoup de traditions comme de langues, mais l'une d'entre elles te conviendra plus, te sera plus agréable. Mais le fait d'avoir étudié les autres restera positif.
(...)
Vous devez partagez les uns et les autres, sans penser que notre religion est la meilleure, la plus pure et sainte. Car les autres religions sont également pures et saintes.
Extrait d'un entretien paru dans : Les trésors vivants du bouddhisme, Ed. Oikumene, 2003.
Commande FNAC
lundi 5 juillet 2010
Gueshe Tenzin Wangyal Rinpoche
Tenzin Wangyal Rinpoché est né en Inde après la fuite de ses parents due à l'invasion Chinoise du Tibet, il fut reconnu comme la réincarnation du fameux maitre Khyung Tul Rinpoché, qui n'était pas seulement un grand méditant mais aussi un érudit renommé et un auteur prolifique. Depuis l'âge de 13 ans, il a pratiqué le Dzogchen d'une manière très proche de ses deux principaux maitres, le Lopon Sangyé Tenzin Rinpoché et le Lopon Tenzin Namdak Rinpoché. ainsi qu'avec Geshe Yungdrung Namgyal.
Il a reçu aussi des enseignements et étudié avec d'autres maitres bouddhiste et bön importants. Il est le seul maitre bönpo vivant en Occident qui est qualifié pour enseigner. Il compléta ses études par un stage de onze ans dans la Traditions écrites Bönpo et Bouddhiste de Philosophie, Exégèse et Débat. Il détient un degré de Doctorat de Geshe, le degré académique le plus haut dans la tradition spirituelle Tibétaine.
Après l'obtention de son diplôme en 1986, Tenzin Wangyal Rinpoché fut employé à la Bibliothèque des Ouvrages et Archives tibétaines de Dharamsala. La même année, il est choisi par Sa Sainteté le Dalaï Lama pour être représentant de l'Ecole Bön à l'Assemblée des Délégués du Gouvernement en exil.
Tenzin Wangyal Rinpoché fut le premier à apporter les enseignements Bön sur le Dzogchen en Occident en 1988, quand il avait été invité en Italie à Mérigar dans la Communauté Dzogchen de Chogyal Namkaï Norbu Rinpoché
Tenzin Wangyal Rinpoché a été sélectionné comme professeur Rockfeller à la "Rice University" en 1991-92 de Houston au Texas, et continue d'être chargé de cours à la "Rice University" depuis lors.
Source du texte : Yougdrung-bon
Site de Tenzin Wangyal : Ligmincha
Bibliographie (en français) :
- L'éveil de l'esprit lumineux, Ed. Claire lumière, 2013.
- L'éveil du corps sacré, Ed. Claire Lumière, 2011.
- Les sons tibétains qui guérissent. Ed. Claire Lumière, 2006.
- Guérir par les formes, l'énergie et la lumière. Ed. Claire Lumière, 2002.
- Les prodiges de l'esprit naturel. Ed. Seuil. Coll. Point Sagesse. 2000.
- Yogas tibétains du rêve et du sommeil. Ed. Claire Lumière, 1998.
Voir aussi la page : Rêve de Claire Lumière
Vidéos (ci-dessous) :
- Les quintuples enseignements de Dawa Gyaltsen (PL)
- Les sons qui guérissent (PL)
- Découvrir son potentiel créatif (PL)
- Nourrir l'Etre intérieur (PL)
- Méditation Nourrir l'Etre intérieur (PL)
- Trouver refuge en soi
- Méditation Trouver refuge en soi (PL)
- Présentation des trois portes
- Les trois pilules (PL)
- Accompagnement de mourant (PL)
- Eveil du corps sacré
Suite (dans la page Yantra) :
- Yantra
- Le don du refuge intérieur
Si les sous-titres n'apparaissent pas appuyé sur CC.
Lors de la présence d'une playlist (PL) les vidéos d'une même série se suivent automatiquement.
Source : Ligmincha france (merci à eux)
Les quintuples enseignements de Dawa Gyaltsen :
Les sons qui guérissent :
Découvrir son potentiel créatif :
Nourrir l'Etre intérieur :
Méditation Nourrir l'Etre intérieur :
Méditation : Trouver refuge en soi
Trouver refuge en soi :
Présentation des trois portes :
Les trois pilules :
Accompagnement de mourant :
Eveil du corps sacré :
Source des vidéos : Ligmincha france
Il a reçu aussi des enseignements et étudié avec d'autres maitres bouddhiste et bön importants. Il est le seul maitre bönpo vivant en Occident qui est qualifié pour enseigner. Il compléta ses études par un stage de onze ans dans la Traditions écrites Bönpo et Bouddhiste de Philosophie, Exégèse et Débat. Il détient un degré de Doctorat de Geshe, le degré académique le plus haut dans la tradition spirituelle Tibétaine.
Après l'obtention de son diplôme en 1986, Tenzin Wangyal Rinpoché fut employé à la Bibliothèque des Ouvrages et Archives tibétaines de Dharamsala. La même année, il est choisi par Sa Sainteté le Dalaï Lama pour être représentant de l'Ecole Bön à l'Assemblée des Délégués du Gouvernement en exil.
Tenzin Wangyal Rinpoché fut le premier à apporter les enseignements Bön sur le Dzogchen en Occident en 1988, quand il avait été invité en Italie à Mérigar dans la Communauté Dzogchen de Chogyal Namkaï Norbu Rinpoché
Tenzin Wangyal Rinpoché a été sélectionné comme professeur Rockfeller à la "Rice University" en 1991-92 de Houston au Texas, et continue d'être chargé de cours à la "Rice University" depuis lors.
Source du texte : Yougdrung-bon
Site de Tenzin Wangyal : Ligmincha
Bibliographie (en français) :
- L'éveil de l'esprit lumineux, Ed. Claire lumière, 2013.
- L'éveil du corps sacré, Ed. Claire Lumière, 2011.
- Les sons tibétains qui guérissent. Ed. Claire Lumière, 2006.
- Guérir par les formes, l'énergie et la lumière. Ed. Claire Lumière, 2002.
- Les prodiges de l'esprit naturel. Ed. Seuil. Coll. Point Sagesse. 2000.
- Yogas tibétains du rêve et du sommeil. Ed. Claire Lumière, 1998.
Voir aussi la page : Rêve de Claire Lumière
Vidéos (ci-dessous) :
- Les quintuples enseignements de Dawa Gyaltsen (PL)
- Les sons qui guérissent (PL)
- Découvrir son potentiel créatif (PL)
- Nourrir l'Etre intérieur (PL)
- Méditation Nourrir l'Etre intérieur (PL)
- Trouver refuge en soi
- Méditation Trouver refuge en soi (PL)
- Présentation des trois portes
- Les trois pilules (PL)
- Accompagnement de mourant (PL)
- Eveil du corps sacré
Suite (dans la page Yantra) :
- Yantra
- Le don du refuge intérieur
Si les sous-titres n'apparaissent pas appuyé sur CC.
Lors de la présence d'une playlist (PL) les vidéos d'une même série se suivent automatiquement.
Source : Ligmincha france (merci à eux)
Les quintuples enseignements de Dawa Gyaltsen :
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Méditation : Trouver refuge en soi
Trouver refuge en soi :
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Les trois pilules :
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