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dimanche 2 août 2020

Covid-19 : Quel est le traitement standard ?

MAJ du la page : Coronavirus

Le spectacle se présente comme une énorme positivité indiscutable et inaccessible. Il ne dit rien de plus que « ce qui apparaît est bon, ce qui est bon apparaît ». L’attitude qu’il exige par principe est cette acceptation passive qu’il a déjà en fait obtenue par sa manière d’apparaître sans réplique, par son monopole de l’apparence. 
Guy Debord, La société du spectacle, § 12

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Pas de port du masque en Suède : le témoignage de Nils Fernström (RT, 2 août 2020)

A contre-courant du reste du monde, les Pays-Bas ont décidé de ne pas imposer le port du masque, jugeant que son efficacité n'avait pas été prouvée. La Suède, la Finlande, la Norvège et le Danemark ont pris une décision similaire. (...) La décision a été annoncée par la ministre des Soins médicaux Tamara van Ark et a été prise sur les conseils de l’Institut national de la santé du pays (RIVM). «D'un point de vue médical, l'efficacité des masques n'est pas prouvée. Le ministère a décidé qu'il n'y aurait pas d'obligation de porter des masques», a-t-elle ainsi fait savoir, citée par Reuters, précisant que le gouvernement entendait insister sur les autres mesures, telle que la distanciation sociale.
Extrait de : «Pas de preuve de son efficacité» : le gouvernement néerlandais n'impose pas le port du masque, 31 juillet 2020, RT France
Lire aussi : Dr. Denis Rancourt, La science est concluante : les masques n'empêchent PAS la transmission des virus, 26 ai 2020, Sott




Berlin manifestation contre les mesures anti-Covid (RT, 1 août 2020)
Autre (courtes) vidéos : Twitter


Entre 20 000 personnes selon la police et 1 200 000 selon un des organisateurs, un groupe d'extrême gauche (car contrairement au communiqué de Reuters repris par les médias il n'y avait pas que "des 'libres penseurs', militants antivaccins, conspirationnistes ou encore sympathisants d'extrême droite".)
Lire aussi : Covid-19, « psychopathes » et « négationnistes » : vers un totalitarisme via la psychiatrisation médiatique punitive, 31 juillet 2020, Nexus

Alors que le Premier ministre vient d'élargir l'obligation du port du masque au Royaume-Uni, des manifestants sont descendus dans les rues de Londres pour dénoncer cette mesure. Un mouvement de protestation qui se généralise.
Extrait de :  «Les masques sont des muselières» : manifestation contre le port du masque obligatoire à Londres, 31 juillet 2020, RT France

Vivre masqué en permanence dans les espaces clos et à l’extérieur alors que ce virus circule à bas bruit est un non sens total. (...) 
Qu’en sera-t-il demain ?
Et si ce régime est imposée aujourd’hui dans des conditions sanitaires saines, qu’en sera-t-il lorsque les autres coronavirus reviendront bientôt ?
Au moindre rhume, aux moindres symptômes grippaux, que fera t-on ?
Si ces contraintes limitantes drastiques sont imposées alors qu’elles ne se justifient pas aujourd’hui, à quelles mesures aurons-nous droit à la saison des grippes ?
Extrait de : Dr. Michel Rosenzweig. Le masque et la vie ?, 29 juillet 2020, Tribune juive

C’est une évidence, nous ne sommes plus gouvernés par des exécutifs contrôlés par des chambres de représentants, eux-mêmes supervisés par des instances supérieures, Conseils d’Etat, mais par des Conseils de médecins et de scientifiques non élus et totalement en roue libre, sans contestation, sans contre-pouvoir et avec le concours  d’une censure qui devient suffocante.
Bienvenue en technomédicocratie.
Extrait de : Dr. Michel Rosenzweig. Séquelles du covid-19 2.0: extension du domaine de l’enfermement individuel et collectif, 31 jullet 2020, Tribune juive
Re) lire aussi : Le code source du modèle épidémiologique qui a décidé du confinement de la France révèle de graves failles, 8 mai 2020, Covidinfos

Des militaires qui rentrent dans les foyers pour traquer les personnes contaminées, des journalistes en prison sans procès pour «atteinte à la solidarité nationale»… Ces derniers mois, les libertés individuelles ont pris un sacré coup dans le monde. Pandémie oblige, les Etats ont souvent pris seuls les commandes. Et certains craignent que le terrain gagné par le pouvoir pendant la crise ne soit pas rendu de sitôt, surtout dans les pays qui flirtaient déjà avec des tendances autoritaires.
Extrait de : Quand Covid-19 renforce l'autoritarisme par Thaïs Chaigne, 1 août 2020, Heidinews

Centraliser les décisions et les imposer à tous, cantons, population et communes. Le fédéralisme et la démocratie directe en ont pris un sacré coup lorsque le Conseil fédéral a décidé qu’en Suisse, c’était lui le chef ! Au nom de la santé de tous et en s’appuyant sur la Loi sur les épidémies, la Confédération s’est effectivement mise à diriger à coup d’ordonnances, dès le mois de mars. Cette pratique a un avantage en temps de crise: elle calme le débat démocratique, pousse l’ensemble du pays à agir de concert et à écouter une seule voix, celle qui fait autorité.
Le Conseil fédéral est d’ailleurs tenté de conserver certaines prérogatives puisqu’il désire présenter une Loi Covid-19 au Parlement en septembre lui permettant de conserver son pouvoir jusqu’à fin 2022, au cas où… De quoi choquer et inquiéter plusieurs élus qui y voient une suppression (temporaire) de la raison d’être du Parlement.
Extrait de : La pandémie a-t-elle rendu la Suisse plus autoritaire ? par Thaïs Chaigne, 1 aout 2020, Heidinews

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Covid-19 : La généticienne Alexandra Henrion-Caude vous dit tout (TVL, Le Zoom, 31 juillet 2020)
Lire aussi : Selon SPR, plusieurs études scientifiques montrent qu'une majorité de gens disposent d'une immunité préexistante au Covid-19, 1 août 2020, SLT / La moitié des personnes jamais infectées par le coronavirus posséderaient une immunité préexistante, 31 juillet 2020, OuestFrance

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Espagne : en haut les positifs, en bas les décès

On remarque que la courbe des décès n'est pas du tout corrélée à celle des positifs. 
La recrudescence des cas s'explique par l'augmentation des tests de dépistage, on détecte non seulement quelques cas résiduels de Covid-19 mais aussi des faux positifs provenant à la fois des tests PCR (1 à 1,8 % de marge d'erreurs) et de personnes ayant eu le Covid-19 au printemps (et réagissant positivement). La courbe des hospitalisations et des soins intensifs, comme la courbe de décès, ne montre pas le moindre signe de deuxième vague. Idem pour les autres pays d’Europe. 




Pr. Jean-François Toussaint, Les clusters n'ont pas été suivi d'une augmentation de la mortalité. Or une pandémie se mesure au taux de patients qu'elle emporte (LCI, 29 juillet 2020)
Emission entière (avec d'autres intervenants) : LCI

La Seconde vague: déferlante ou simple clapotis ?
31 juillet 2020 - Coro Infos 


Dès la fin du « confinement », le gouvernement et les médias ont assuré qu’une deuxième vague se profilait. Deux mois et demi plus tard, toujours rien à l’horizon, à part une grosse panique purement médiatique et une énorme censure de ceux qui tentent d’apporter un peu de rationalité au débat.
Les premières mentions d’une potentielle « seconde vague » du coronavirus ont commencé avant même que la première n’ait pris fin, c’est-à-dire pendant que nous étions tous en « confinement »/ rétention. Le 7 avril, par exemple, il était déjà question d’une « deuxième vague » à Singapour, puis en Chine quelques jours plus tard. Le 21 avril, un sénateur – médecin assurait que « Sans traitement, ni vaccin, ni immunité collective, il y aura forcément une deuxième vague« , et le 21 avril cette deuxième vague était devenue « probable ».

Prévision de « deuxième vague » ou incantation ?

On pourrait continuer longtemps tant les titres alarmistes sur cette deuxième vague ont été nombreux. Nous subissons même un véritable matraquage à ce sujet, avec ces termes de « nouveaux cas », de « clusters », de « deuxième vague »,
Et depuis quelques jours, alors que nous serions donc, selon les prédictions officielles, juste en face de cette « deuxième vague », eh bien les autorités se mettent à temporiser, tout en maintenant la pression sécuritaire.
Source (et suite) du texte : La Seconde vague: déferlante ou simple clapotis ?, 31 juillet 2020, Coro Infos

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En tant que professeur d’épidémiologie à la Yale School of Public Health, j’ai rédigé plus de 300 publications évaluées par des pairs et j’occupe actuellement des postes de haut niveau au sein des comités de rédaction de plusieurs revues de premier plan. Je suis habituellement habitué à défendre des positions au sein de la médecine traditionnelle, et j’ai donc été bouleversé de constater qu’en pleine crise, je me bats pour un traitement que les données soutiennent pleinement mais qui, pour des raisons qui n’ont rien à voir avec une compréhension correcte de la science, a été mis à l’écart. En conséquence, des dizaines de milliers de patients atteints de COVID-19 meurent inutilement. Heureusement, la situation peut être inversée facilement et rapidement.
Je fais référence, bien sûr, au médicament hydroxychloroquine. Lorsque ce médicament oral peu coûteux est administré très tôt dans l’évolution de la maladie, avant que le virus n’ait eu le temps de se multiplier de manière incontrôlée, il s’avère très efficace, en particulier lorsqu’il est administré en combinaison avec les antibiotiques azithromycine ou doxycycline et le complément alimentaire qu’est le zinc. (...)
À l’avenir, je pense que cet épisode malencontreux concernant l’hydroxychloroquine sera étudié par les sociologues de la médecine comme un exemple classique de la façon dont les facteurs extra-scientifiques l’emportent sur les preuves médicales évidentes. Mais pour l’instant, la réalité exige un regard clair et scientifique sur les preuves et sur leurs points de repère. Pour le bien des patients à haut risque, pour le bien de nos parents et grands-parents, pour le bien des chômeurs, pour notre économie et notre système politique, en particulier ceux qui sont touchés de manière disproportionnée, nous devons commencer à traiter immédiatement.
Extrait de : Harvey A. Risch, MD, PhD, La solution pour vaincre le Covid-19 existe déjà, nous devons commencer à l'utiliser, 23 juillet 2020, Newsweek, trad, ER
Lire aussi : Commande européenne de remdesivir: le triomphe de «big pharma» sur Didier Raoult ?, 31 juillet 2020, Sputniknews / Remdesivir : des effets indésirables rénaux et hépatiques chez les premiers patients traités en France, 23 juillet 2020 /


Covid-19 : Quel est le traitement standard ? Inclut-il l’hydroxychloroquine ?
Collectif citoyen, 31 juillet 2020 - France Soir


Chaque jour de nouveaux travaux de recherche, apportent, sans tapage médiatique, une voie vers une solution possible « Traitement Standard » (ou « Standard of Care » en anglais) pour la Covid-19.  Voila l’état des lieux à ce jour des traitement pour la Covid-19.
« Cela commence par une infection virale pulmonaire, cela finit par une infection généralisée »

    En regardant de plus près, on apprend que :
        La compréhension de la maladie, qui est multi-facteurs, multi-étapes et multi-organes, nous éloigne de l’option initiale simpliste de tester un tel produit contre un autre.
        Le plus tôt on intervient, le plus on a de chance d’éviter une propagation rapide du virus sur l’ensemble des organes devant la complexité et les « dégâts » évoluant en « dangerosité exponentielle » avec le temps ; incluant les conséquences sévères sur les asymptomatiques
        Le rôle du médecin traitant actif au jour le jour est clé car le remède est probablement multiproduits et à adapter selon le patient et selon l’état clinique du jour.
        Les postulats et process normatifs des essais cliniques devront être adaptés afin d'apporter la souplesse et la flexibilité nécessaire aux circonstances et pathologies.
(ndlr : cet article est mis à jour en temps réel avec les ajouts de diverses études scientifiques qui aménent des clarifications importantes, la derniere en date du 1er Aout 2020 est celle de Juliien Andrani et al. (dont le professeur Raoult Source 10).

Intervenir avant que le virus n’ait pénétré la cellule et/ou soit activé

La première analyse se rapporte à la phase la plus intéressante de la maladie, à savoir avant que le virus n’ait pénétré la cellule et/ou soit activé.  Il est reconnu que le virus entre par la cellule via le récepteur protéique ACE2 et que les antiviraux, telle l’hydroxychloroquine peuvent être de bons « bloqueurs d’accrochage du virus »

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