Toute conscience est conscience de quelque chose. Parler de "conscience sans objet" est-ce alors parler pour ne rien dire ?
lundi 27 avril 2020
Yazd, le feu sacré de Zoroastre
Yazd, le feu sacré de Zoroastre | La route de la soie et autres merveilles (Arte, France, 2017)
Le grand reporter Alfred de Montesquiou suit les traces de Marco Polo de Venise à Xi’an. Dans ce volet, il découvre Kashan, oasis au centre de l'Iran, avec le jardin de Fin et le temple de Chak Chak, puis la sublime Yazd, au sud du pays, et enfin Ispahan, merveille de raffinement, où les cultures se mêlent à l'élégance persane.
À Kashan, oasis au centre de l'Iran, Alfred de Montesquiou découvre le jardin de Fin, qui fit la renommée des Perses. Dans le temple de Chak Chak, il s'initie au zoroastrisme, le plus ancien monothéisme, avant d'en apprendre plus sur cette religion ancestrale dans la sublime Yazd, au sud du pays. Avant de quitter le pays, impossible de ne pas visiter Ispahan, merveille de raffinement, où les cultures se mêlent à l'élégance persane.
Source : Arte
Tabriz, capitale des marchands | La route de la soie et autres merveilles (Arte, France, 2017)
Le grand reporter Alfred de Montesquiou suit les traces de Marco Polo, de Venise à Xi’an. Dans ce volet : découverte, dans le nord de l’Iran, de Tabriz, la ville qui fut longtemps le centre névralgique de la route de la soie en Perse.
Dans le bazar de Tabriz – le plus beau du pays, dit-on –, Alfred de Montesquiou flâne à travers allées et échoppes à la rencontre des commerçants et des badauds. Il s’entretient avec l'architecte Faribouz Esmaeli, qui fut en charge de la rénovation exemplaire de ce lieu unique. Tabriz est également le centre de la discrète mais ancienne communauté arménienne d’Iran. Après avoir visité l’église Sainte-Marie, Alfred de Montesquiou partage la table de l’archéologue Karen Sarkisian et de l’institutrice Narineh Sayadian. En quittant la ville, il s'arrête au caravansérail de Jamal Abad, face à de splendides paysages.
Source : Arte
En Iran, la lumineuse ferveur des Zoroastriens (Arte, 2018)
Si depuis des siècles l’Iran est une terre de foi musulmane, au cœur de certaines villes, se pratique une religion héritée de l’Antiquité. Les Zoroastriens ont pour dieu unique Ahura Mazda. Toujours vivante aujourd’hui, la religion a marqué, par ses rites et ses monuments, les paysages et les coutumes iraniens.
Source : Arte
Le Zoroastrisme (Arte)
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