Jean-Marc Vivenza, né en 1957 à Vinay (Isère), est un philosophe, écrivain, et musicologue français dont les travaux se sont orientés vers l'ésotérisme. S'étant consacré tout d’abord à la musicologie, il fut également compositeur, chercheur en électroacoustique et théoricien du « bruitisme futuriste ». Il est à présent, après avoir étudié la pensée du docteur bouddhiste indien Nâgârjuna et l'œuvre de René Guénon, plus particulièrement intéressé au martinisme, à la pensée de Jacob Boehme, Joseph de Maistre, Martinès de Pasqually, Louis-Claude de Saint-Martin et Jean-Baptiste Willermoz.
Source : WikipediaSite internet : Jean-Marc Vivenza
Bibliographie :
Livres :
- Essai d’ontologie négative, vol. I : « l'essence du nihilisme », Hélios,1993.
- L'Être, La pensée fondatrice, Hélios, 1993.
- Racines grecques et modernité, Hélios, 1993.
- Essai d’ontologie négative, vol.II : « Le Rien l'abîme de l'être », Hélios,1995.
- Nuit, Vérité, Silence, Hélios, 1997.
- L'Existence, la domination réelle de l’être, Hélios,1998.
- Le Dévoilement de la réalité, la vérité de la présence, Hélios, 1999.
- Nâgârjuna et la doctrine de la vacuité, Éditions Albin Michel, 2001, (2e édition 2009, coll. Spiritualités vivantes).
- Le Dictionnaire de René Guénon, Le Mercure Dauphinois, 2002 (2e édition 2005), traduction italienne : Arkéios, 2007.
- Qui suis-je ? Maistre, Éditions Pardès, 2003.
- Qui suis-je ? Saint-Martin, Pardès, 2003.
- François Malaval (1627-1719) et la contemplation de la « Divine Ténèbre », Arma Artis, 2004.
- La Métaphysique de René Guénon, Le Mercure Dauphinois, 2004.
- B.A.-BA, des Rose+Croix, Pardès, 2005 (2e édition, 2006).
- Qui suis-je ? Boehme, Pardès, 2005.
- Le Martinisme, l’enseignement secret des maîtres : Martinès de Pasqually, Louis-Claude de Saint-Martin, et Jean-Baptiste Willermoz, Le Mercure Dauphinois, 2006,traduction espagnole : Editorial Manakel – Colección Martinista, 2010.
- La Prière du cœur selon Louis-Claude de Saint-Martin dit le « Philosophe Inconnu », Arma Artis, 2007.
- René Guénon et le Rite Ecossais Rectifié, Éditions du Simorgh, 2007, traduction espagnole : Editorial Manakel – Colección Martinista, 2009.
- La Sophia et ses divins mystères, Arma Artis, 2009.
- Tout est conscience, Albin Michel, 2010.
Articles :
- Le Delta rayonnant au Régime Ecossais Rectifié : « Et Tenebrae eam Non Comprehenderunt », Vers la Tradition, n° 65-67, 1996-1997.
- Les signes de la désespérance, Colloque, Unesco, 1997.
- Analyse du Traité sur l’inépuisable Lampe du zen de Torei (1721-1792) et sa vision de l’Eveil, Institut belge des Hautes études chinoises, d’après la traduction de Michel Mohr, Connaissance des Religions, n° 60, 1999.
- Nâgârjuna : la doctrine de la vacuité (sûnyatâvadâ) comme dialectique de la non-substance, Connaissance des Religions, n° 61-64,2000.
- Logique et métaphysique dans la pensée de Frithjof Schuon, Dossier H, l'Âge d’Homme, 2002.
- Le Règne du nominalisme financier, Vers la Tradition, n° 92-93, 2003.
- Le Mystère de « l'Abîme infini » chez François Malaval (1627-1719), Connaissance des Religions, n° 67-68, 2003.
- Le sens spirituel de la mort selon la doctrine de l'Illuminisme mystique, La sœur de l'ange, n°3, 2005.
- Joseph de Maistre et le Régime Ecossais Rectifié, Dossier H, l'Âge d’Homme, 2005.
- Une réponse selon l'Esprit à la crise spirituelle du monde moderne: exil intérieur et providentialisme, Vers la Tradition, n° 104-105, 2006.
- Nature déchue de l'homme et essence de la souveraineté, Dualpha, 2006.
- De l'Image à la Ressemblance selon la perspective métaphysique de la « réintégration » des êtres, Les Cahiers Verts, n°2 nouvelle série, 2007.
- La Science initiatique de l'homme, Les Cahiers Verts, n°4 nouvelle série, 2009.
- Métaphysique en bouddhisme : la loi de "production conditionnée" et ses implications ontologiques, in Qu'est-ce que la métaphysique ?, L'Harmattan, 2010.
Essais :
- Essai d’ontologie négative, vol. I : « l'essence du nihilisme », Hélios,1993.
- L'Être, La pensée fondatrice, Hélios, 1993.
- Racines grecques et modernité, Hélios, 1993.
- Essai d’ontologie négative, vol.II : « Le Rien l'abîme de l'être », Hélios,1995.
- Nuit, Vérité, Silence, Hélios, 1997.
- L'Existence, la domination réelle de l’être, Hélios,1998.
- Le Dévoilement de la réalité, la vérité de la présence, Hélios, 1999.
- Études musicologiques[modifier]
- La matérialité objective du bruit, Electro-Institut,1983.
- Espaces sonores collectifs, Electro-Institut,1983.
- Fondements bruitistes d’action, Electro-Institut,1984.
- Le Bruit et son rapport historique, l'Oeuvre bruitiste,1984.
- De la domination formelle à la domination réelle, FER, 1991.
- Le bruitisme futuriste et sa théorie, Electro-Institut, 1994.
- Une abstraction subjective : la musique dite « concrète », Electro-Institut, 1994.
- L’essence futuriste de la technique, Electro-Institut,1997.
- L'essenza futurista della tecnica, Simultaneita, n°1, 1997.
- La matérialié dynamique du devenir, Electro-Institut,1999.
Publications :
- L'Oeuvre Bruitiste, n°1 à 3, (1987-1989).
- Volonté Futuriste, n°1 à 27, (1989-1993).
- Hélios, n°1 à 13, (1994-2000).
Source : Wikipedia
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Présentation du livre : Tout est conscience.
L'école Yogâcâra ou Cittamâtra, c’est-à-dire la voie de « l’esprit-seul », ou encore du « rien que l’esprit », fondée par Asanga et Vasubandhu, l’une des principales écoles philosophiques bouddhistes, présente à l'observation immédiate le paradoxe assez étrange d'être, sans aucun doute, l'un des courants les plus féconds et des plus influents, et ce depuis des siècles, au sein du bouddhisme Mahâyâna, tout en étant également l'un des plus méconnus et des moins compris, alors même qu'il occupe une place majeure et fondamentale du point de vue doctrinal, place qu'il est aisé de déceler lorsqu’on examine attentivement les diverses positions défendues par les maîtres de la transmission.
C'est pourquoi, à l’évidence, l'étude des éléments théoriques de cette école originale apparaît, à juste titre, comme nécessaire et indispensable à une parfaite connaissance de ce qui préside à l'énoncé des grandes vérités qui nous sont proposées par la tradition du « Grand Véhicule », et l'on pourrait même dire, sans crainte d'exagération, à une compréhension réelle des bases essentielles de l'Enseignement délivré originellement par le Bouddha lui-même.
Mais on sera surpris de constater qu’en Occident, la doctrine Yogâcâra se retrouve dans l'immatérialisme philosophique de George Berkeley (1685-1753), une apparente et surprenante parenté entre les thèses de Berkeley et l'enseignement de l'idéalisme Yogâcara, puisque Vasubandhu et Asanga, ont soutenu, dans un contexte religieux cette bien différent, l'inexistence du monde extérieur, en expliquant que celui-ci n'est que le fruit de constructions mentales erronées qui nous font prendre pour concret ce qui n'est qu'une conséquence de l'activité de la pensée.
Source du texte : Jean-Marc Vivenza
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