Toute conscience est conscience de quelque chose. Parler de "conscience sans objet" est-ce alors parler pour ne rien dire ?
jeudi 26 juin 2014
Carmen dans les arènes de Vérone
Carmen dans les arènes de Vérone (France, 2014)
Séville. Arrêtée à la suite d’une querelle, Carmen, bohémienne au tempérament de feu, séduit le brigadier don José, fiancé à Micaëla, et lui promet son amour s’il favorise son évasion. Don José libère Carmen, et se fait emprisonner à son tour. Il la retrouve deux mois plus tard parmi des contrebandiers. Pour elle, José se fait déserteur, et, enchaîné à sa passion dévorante, la poursuit de sa jalousie. Carmen finit par le repousser…
Une représentation de Carmen dont le célèbre réalisateur italien Franco Zeffirelli, habitué du festival lyrique de Vérone, signe cette année la mise en scène fastueuse dans l’atmosphère féerique des arènes de la ville. Un opéra que le cinéaste italien, a déjà présenté en ouverture de la saison 2009, puis de nouveau en 2010. Renouant avec le réalisme qui avait rebuté le public parisien lors de la sortie de l'opéra de Bizet en 1875, l'ancien assistant de Visconti recrée un Séville plus vrai que nature sur l'immense scène de l'amphithéâtre antique. Une représentation servie cette année par une distribution prestigieuse avec la mezzo-soprano russe Ekaterina Semenchuk dans le rôle titre, ainsi que sa compatriote la soprano Irina Lungu ou le ténor italo-uruguayen Carlo Ventre. L’orchestre des arènes de Vérone est placé sous la direction d'Henrik Nánási, actuel directeur musical de la Komische Oper de Berlin
Source : Arte
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