Pour en savoir plus sur les différentes thèses complotistes (Islam Job, Inside Job, Mossad Job), avec un article de Laurent Guyenot (avec un parti-pris pour la troisième) et de nombreuses vidéos en bas de page ainsi qu'une bibliographie sélective.
La chèvre de Monsieur
Le texte suivant a servi de base à Laurent Guyénot pour sa conférence du 14 septembre 2014 à Strasbourg. (L'auteur est ingénieur et médiéviste. Il se consacre depuis trois ans à l’histoire profonde des États-Unis, où il a vécu cinq ans).
La double imposture du 11 Septembre -
Partie 1 : L’opposition contrôlée et les whistleblowers bidons
Introduction
L’un des intérêts du 11 Septembre est qu’il a introduit une véritable cassure dans l’opinion publique, un gigantesque fossé entre ceux qui acceptent – peu ou prou – la thèse officielle et ceux qui la rejettent, au point que, du point de vue des seconds, toute personne qui émet des opinions sur la politique internationale tout en admettant le mensonge officiel sur le 11 Septembre n’est tout simplement plus crédible.
Cela ne veut pas dire qu’en découvrant la « vérité sur le 11 Septembre », on passe des ténèbres à la lumière, du mensonge à la vérité pure. Il y a en effet au sein de la communauté des chercheurs de la « vérité sur le 11 Septembre » beaucoup d’incertitude, beaucoup de confusion et beaucoup d’hostilité. Se contenter de dire que Ben Laden n’est pour rien dans les attentats est assez peu risqué. Mais quiconque veut aller plus loin avance sur un terrain semé d’obstacles, de mines et de panneaux trompeurs. Il prend nécessairement le risque de se tromper. Je n’échappe pas à la règle.
La quête sur la « vérité du 11 Septembre » est une œuvre collective. C’est sa seule chance de réussite, car la manipulation qu’elle combat est aussi une œuvre collective, une machine extrêmement complexe et efficace. Personne n’a les moyens de déjouer à lui tout seul tous les tours pervers qui l’attendent dans sa quête. Signaler une erreur, une fausse piste, une fausse citation, un faux document déclassifié, un témoignage suspect, qu’a pu relayer un chercheur sincère n’est donc pas lui faire du tort ; c’est simplement contribuer par le débat à cette quête collective. Et donc je serai moi-même reconnaissant à ceux qui me signaleront et me démontreront mes propres erreurs. Dans cet article, je pars de faits troublants qui demandent explication, et en guise d’explication, j’avance des hypothèses, pas des certitudes. Je n’ai aucune expertise particulière, et sur certaines questions, je suis loin d’être suffisamment informé.
En pratique, la quête de la vérité est une chasse aux mensonges. Il faut aborder chaque information avec un doute systématique. C’est une démarche inconfortable, un peu paranoïaque, mais qui s’impose dès lors qu’on a mesuré le niveau de machiavélisme des « élites cognitives » (Gilad Atzmon) qui sont à l’origine du 11 Septembre et qui, à travers ce coup de poker menteur, espèrent rafler la suprématie mondiale. Les maîtres du mensonge ne se contentent pas de mentir au premier degré. Ils infiltrent et contaminent la dissidence, soit pour la fourvoyer, soit pour la discréditer.
Par conséquent, lorsqu’un doigt est pointé vers un suspect, il faut chercher à savoir à qui appartient le doigt et, parfois, pointer à notre tour le doigt sur le désinformateur. C’est un jeu périlleux, et qui vous vaut inévitablement d’être à votre tour pointé du doigt. Mais c’est la seule méthode pour s’y retrouver dans le labyrinthe de fausses pistes qui a été construit autour du 11 Septembre. On ne peut se contenter d’accepter une information simplement parce qu’elle nous fait plaisir, parce qu’elle conforte notre vision des gentils et des méchants ; il faut la vérifier, la rejeter si elle n’est pas vérifiable, et s’interroger sur sa fonction si elle se révèle bidon.
Il existe aujourd’hui trois thèses dominantes sur les auteurs des attentats du 11 Septembre :
- 1. Islam Job : la thèse gouvernementale qui attribue les attentats au terrorisme islamique, et à Ben Laden en particulier ;
- 2. Inside Job : la thèse majoritaire dans la mouvance contestataire, qui accuse l’administration américaine ;
- 3. Mossad Job : la thèse minoritaire de cette même mouvance, qui fait figure de contestation dans la contestation, et qui incrimine un réseau sioniste proche du Likoud.
Il existe des variantes de chaque thèse et des positions intermédiaires ou transitoires, mais trois camps s’affrontent clairement aujourd’hui : le premier traite le second de conspirationniste, et le second traite le troisième d’antisémite, chacun justifiant ainsi son refus de répondre aux arguments qu’on lui oppose. Reconnaître cette réalité de terrain, c’est-à-dire dépasser la vision bipolaire d’une guerre de l’information entre menteurs officiels et 9/11 truthers, pour s’intéresser au débat (ou l’absence de débat) entre inside-jobbers et mossad-jobbers, est le premier pas d’un changement de paradigme en « 11-septembrologie ».
Cet article adopte comme point de vue la troisième thèse. Je fais partie du nombre grandissant de gens qui, après des milliers d’heures de recherche, sont parvenus à la conviction que l’opération du 11 Septembre a été orchestrée par un réseau sioniste, dans le but d’entraîner les États-Unis dans une « guerre contre le terrorisme » de leur invention, dont le seul bénéficiaire ultime sera Israël. Car pour Israël, comme l’a immédiatement compris Benjamin Netanyahou, les attentats du 11 Septembre, « C’est très bon. […] Ça va générer une sympathie immédiate, […] renforcer le lien entre nos deux peuples [3]. »
Je ne vais pas faire ici l’inventaire des indices incriminant Israël ; je renvoie le lecteur à mon livre JFK-11 Septembre : 50 ans de manipulations et à mes articles antérieurs. Le sujet du présent article n’est pas la vérité sur le 11 Septembre – qui a fait quoi et comment –, mais plutôt la guerre de l’information sur le 11 Septembre : qui dit quoi et pourquoi ?
On peut remarquer d’emblée que les thèses 1 et 3 incriminent chacune une puissance extérieure aux États-Unis, contrairement à la thèse 2. Avant tout examen des preuves, une thèse du type outside job est naturellement plus crédible que la thèse inside job. Il y a quelque chose de monstrueux dans l’idée qu’un État trompe et terrorise ses propres citoyens et en sacrifie des milliers dans le but de déclencher une série de guerres qui ne sont même pas dans son intérêt. Par comparaison, l’idée qu’une puissance étrangère attaque les États-Unis en accusant une tierce puissance paraît presque « de bonne guerre ». Cette remarque est importante car elle conduit à s’interroger sur les moyens déployés pour convaincre la dissidence d’adopter massivement la thèse 2 plutôt que la thèse 3, a priori beaucoup plus crédible. C’est l’une des questions à laquelle nous allons essayer de répondre.
L’hypothèse que les véritables cerveaux de l’opération ont agi pour le compte d’Israël n’implique pas que l’administration de Bush Junior est innocente. La thèse 3 admet que la thèse 2, au contraire de la thèse 1, n’est pas complètement fausse et repose sur des éléments probants. Mais elle prétend également que les défenseurs de la thèse 2 exagèrent la portée de ces éléments tout en occultant les éléments incriminant Israël. La question qui se pose est dans quelle mesure cette démarche est intentionnelle, c’est-à-dire dans quelle mesure la thèse 2 constitue une « opposition contrôlée » destinée à recouvrir la vérité de la thèse 3.
Poser ce type de question, ce n’est pas soupçonner d’hypocrisie toute personne défendant une thèse erronée ou incomplète. La majorité des gens qui adhèrent à telle ou telle thèse le font sincèrement. Je suis moi-même passé par les trois cases en toute sincérité. On peut en revanche partir du principe que ceux qui maintiennent les masses dans l’erreur avec persévérance se situent dans le mensonge. D’une manière générale, il est légitime de s’interroger sur les motivations de ceux qui créent les mouvements d’opinion, et sur l’origine des moyens dont ils disposent. Et lorsque leur mensonge est prouvé, on doit en tirer des conclusions logiques.
En première partie, nous allons démontrer que le mensonge n’est pas l’apanage de la thèse officielle. Il ne suffit pas qu’une personne s’oppose au mensonge officiel pour qu’elle mérite automatiquement notre confiance aveugle. Le but des deux exemples qui suivent est, d’une part, d’inciter à l’esprit critique vis-à-vis des thèses dissidentes, d’autre part, de montrer la nécessité d’un nouveau paradigme pour tenir compte des couches successives de mensonges élaborées autour de la vérité. Nous poserons les bases théoriques de ce nouveau paradigme dans une seconde partie. Il s’agira forcément d’un modèle réducteur, une hypothèse de travail. Puis, dans une troisième partie, nous verrons si ce nouveau paradigme permet de résoudre certaines questions techniques délicates qui divisent les chercheurs de la vérité sur le 11 Septembre. Enfin, je conclurai en suggérant que ce paradigme possède une portée plus large que le 11 Septembre, et correspond à une stratégie globale du sionisme.
[3] “It’s very good […], it will generate immediate sympathy […], strengthen the bond between our two peoples.” James Bennet, “Day of Terror : the Israelis ; Spilled Blood is Seen as Bond that Draws 2 Nations Closer”, New York Times, 12 septembre 2001 : http://www.nytimes.com/2001/09/12/us/day-terror-israelis-spilled-blood-seen-bond-that-draws-2-nations-closer.html
Source (et suite) du texte : Partie 1
Partie 2. La fausse bannière réversible et le complot piraté
La fausse bannière réversible
D’une certaine manière, la thèse Inside Job, qui dénonce le 11 Septembre comme une opération sous fausse bannière, fonctionne elle-même comme une fausse bannière, dans la mesure où elle cherche à exacerber l’anti-américanisme tout en protégeant les vrais maîtres d’œuvre de l’opération, qui appartiennent réellement à une autre nation. C’est cette constatation qui nous amène à formuler un nouveau paradigme pour comprendre le 11 Septembre. Ce nouveau paradigme est celui de la « double fausse bannière », ou de la « fausse bannière réversible », présentant, cousu sous le mensonge primaire, un second mensonge, destiné à ceux qui s’aviseraient de soulever un coin du premier.
L’un des buts de la manœuvre est de forcer les dirigeants américains à faire semblant de croire au masque de Ben Laden, sachant que soulever ce masque ferait apparaître un second masque portant les traits de l’Oncle Sam, et que, n’ayant plus la maîtrise des médias, ils n’auraient pas les moyens de soulever ce second masque pour faire apparaître le visage du vrai coupable. Ils seraient morts politiquement avant même d’essayer.
Source (et suite) du texte : Partie 2
Partie 3. Deux énigmes techniques
Comme je l’ai rappelé en introduction, il existe un faisceau d’indices conduisant à présumer Israël coupable de l’opération du 11 Septembre. Cependant, il y a aussi une objection technique majeure à cette conclusion : même en admettant qu’Israël soit infiltré dans tous les rouages de l’administration étasunienne, y compris au Pentagone, on a peine à imaginer qu’un réseau sioniste ait pu disposer des moyens techniques pour réaliser l’opération. Faisons abstraction du Pentagone, puisque cette partie de l’opération pourrait correspondre à la participation étasunienne. Ignorons également le crash de Shanksville, qui est presque un non-événement. Reste le World Trade Center. Cette partie de l’opération implique, d’une part, deux avions, civils ou militaires, probablement pilotés à distance ; et d’autre part, la démolition contrôlée des deux Tours jumelles, qui suppose une préparation longue et complexe, par un personnel expert nombreux, et l’utilisation d’une quantité énorme de matériaux explosifs. Dans cette troisième partie, nous allons répondre à ces objections, en abordant successivement la question de la démolition contrôlée et celle des avions. Nous aurions pu commencer par là, mais les questions techniques que nous allons aborder nous donneront l’occasion de vérifier la validité du paradigme de la double fausse bannière.
(...)
En résumé : si vous êtes crédule, vous faites confiance à la thèse officielle et vous croyez que les Tours jumelles se sont écroulées à cause des deux avions de lignes pilotés par des terroristes islamiques, et vous accusez Ben Laden et Al-Qaïda. Si vous êtes sceptique, vous vous renseignez sur les sites conspirationnistes (ou sur la Fox) et vous croyez que les Tours jumelles ont fait l’objet d’une démolition contrôlée par de la nano-thermite, et vous accusez le gouvernement américain en criant Inside Job. Dans les deux cas, vous vous êtes fait avoir. Tel est le principe de la double fausse bannière. Seule une grande détermination, accompagnée du labeur et du courage intellectuels que cela suppose, vous permettra de lever ces deux voiles.
(...)
Source (et texte entier) : Partie 3
Interview de Dany Jowenko, expert en démolition contrôlée aux Pays-Bas.
Une chose est sûr, si démolition contrôlée il y a, ce n'est pas le fait des Russes ! :)
Partie 4. L’hypothèse du « complot piraté » appliquée à Kennedy
Dans les trois parties précédentes de cet article, nous avons énoncé plusieurs propositions. Certaines peuvent être considérées comme prouvées, d’autres restent des hypothèses de travail qui méritent d’être débattues. Ce qui me semble incontestable, c’est l’existence d’une « opposition contrôlée » à la thèse officielle du 11 Septembre, qui opère à deux niveaux : au niveau des médias alternatifs de gauche, et au niveau de la mouvance conspirationniste. Les mensonges et manipulations sont démontrés dans ces deux camps. Notre enquête ressemble à un scénario de thriller à rebondissements : le premier coupable identifié n’est pas le bon, mais le second non plus. Le paradigme de la « fausse bannière réversible », quant à lui, n’est qu’un concept imparfait, un point virtuel de perspective permettant d’embrasser ces différents niveaux de désinformation. Mais la réalité qu’il décrit est, je crois, assez bien établie. La notion de « complot piraté » est plus spéculative, et le restera tant qu’une véritable enquête criminelle ne sera pas ouverte. Elle a toutefois en sa faveur le fait qu’elle s’applique de manière satisfaisante à d’autres affaires que le 11 Septembre.
Source (et suite) du texte : Partie 4
Pour vous permettre de confronter les différents arguments, quelques liens et documents répertoriés suivant les 3 Thèses (Islam Job / Inside Job / Mossad Job) :
I) Thèse 1 (Islam Job), position officielle américaine et "debunking" (démystification).
Rapport officiel (2004) : en anglais - PDF / en français (PDF) / wikipedia
Attentats du 11/09 : Mythes et Légendes site de Jérome Quirant (bastison.net)
Le vrai et tous les faux complots du 11 Septembre article de Pascal Riché (Rue 89, 2009)
Théories du complots des attentats du 11 septembre page wikipedia
Voir aussi la Bibliographie en bas de page.
Le 11 septembre n'a pas eu lieu (Arte, 2004)
Stéphane Malterre, Rumeur, Intox : Nouvelles guerres de l’info (Jeudi Investigation, Canal+, 2008)
Pour une critique du reportage voir plus bas : Jeudi Investigation, un jeudi noir de l'information
11 septembre les théories du complot démontées (BBC, 2009)
11-Septembre 2001 : Chacun sa Vérité" (CBC, 2009)
Huber Florian, 11 septembre 2001, Le cauchemar américain (Arte, 2010)
Caroline Fourest, Les obsédés du complot (France 2, 2013)
Olivier Taymans, Epouvantails, autruches et perroquets, 10 ans de journalisme sur le 11 Septembre (2011)
La version officielle résumée en 5 min. (2012)
Les 28 pages du rapport officiel toujours classés secret défense (extrait de C dans l'air, France 5, 13.02.2015)
Voir aussi l'article :
II) Thèse 2 (Inside Job), position majoritaire parmi les critiques de la thèse officielle.
ReOpen911, pour une enquête approfondie sur le 11-Septembre site de l'association / wikireopen911
Invités sur les TV françaises :
Thierry Messan : site officiel / tout le monde en parle (2002) / wikipedia
Eric Laurent, (critique de 1 sans parti-pris pour 2 ou 3) : site officiel / tout le monde en parle (2003) / on a tout essayé (2004) / wikipedia
Voir aussi la Bibliographie en bas de page.
Michael Moore, Fahrenheit 9/11(2004)
Dylan Avery, Loose Change 1 (2005)
Dylan Avery, Loose Change 2 (2006)
Dylan Avery, Loose Change 3 Final Cut (2007)
Dylan Avery, Loose Change 4 An American Coup (2009) - dernier volet de la série
Pour une critique de Loose Change voir plus haut le reportage de Stéphane Malterre (Jeudi Investigation).
Richard Gage, Architectes et Ingénieurs face au Mystère du WTC 7 (2006)
Craig Ranke et Aldo Marquis, Attaque du Pentagone (Citizen Investigation Team, 2006)
Ray Nowosielski, 11 Septembre en quête de vérité (2006)
Giulietto Chiesa, Zéro enquête sur le 11 septembre (2007)
Jeudi Investigation : Un Jeudi Noir de l'Information" (Reopen, 2009)
Pour le reportage de Jeudi Information voir plus haut (sous 1)
Massimo Mazzucco, 11/9 : Le Nouveau Pearl Harbor, 3 parties (2013)
Réponses du "debunker" français Jérôme Quirant : PDF (2013)
III) Thèse 3 (Mossad Job), position minoritaire parmi les critiques de la thèse officielle :
Voir l'article de Laurent Guyenot en début de page (La double imposture du 11 septembre - 2014).
Autres articles : Inside Job ou Mossad Job ? (2013) / Le triple jeu des néoconservateurs (2013)
Ainsi que la page du blog : JFK et le 11 septembre (2014)
Voir aussi la Bibliographie en bas de page.
Chainon manquant, Missing links (USA, 2007)
Hicham Hamz, Israël et le 11-Septembre : le grand tabou (2013)
Dessin satirique de Amos Biderman
paru dans le quotidien israélien Haaretz (30.10.2014)
Source (et explication) : panamza
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Bibliographie sélective (en fr) :
Un dernier lien avec les doutes de Roland Dumas, favorable à une enquête internationale dirigée par un pays neutre, les Suisses ou les Nordiques : Oumma (interview, 2010)
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1) Thèse officielle, Islam Job (ou Al qaïda Job) :
- 11 septembre 2001, Rapport final de la commission nationale sur les attaques terroristes contre les Etats-Unis, Ed. Alban, 2005 : larges extraits en PDF
- Jean Guisnet et Guillaume Dasquié, L'effroyable mensonge, Thèses et foutaises sur les attentats du 11 septembre, Ed. La Découverte, 2002
- Jérôme Quirant, 11 Septembre et Théories du Complot : Ou le conspirationnisme à l'épreuve de la science, Ed. Book-e-book, 2010
- Jérôme Quirant, La farce enjôleuse du 11 Septembre Broché, Ed. Books on demand, 2010
- Dix ans après les attentats du 11 septembre, La rumeur confrontée à la science, Revue AFIS, Science... et pseudo-science, Hors série no 296, 2011
- Jean-Claude Philipe et Fouad Bouyahbar, 11 septembre 2001, Avis d'expert, Ed. Société des Ecrivains, 2011
- Noam Chomsky, Autopsie des terrorismes : Les attentats du 11 Septembre et l'ordre mondial, Ed. Agone, 2011
- Richard Labévière, Vérités et mythologies du 11 Septembre : Modeste contribution aux cérémonies officielles du Xe anniversaire, Ed Nouveau Monde, 2011
- Nicole Bacharan et Dominique Simonnet, 11 septembre : le jour du chaos, Ed. Pocket, 2013
Nicolas Chevassus-Au-Louis, Théories du complot , On nous cache tout, on nous dit rien, Ed. First, 2014
2) Thèse Inside Job (ou du moins remise en question de la thèse officielle) :
- Thierry Messan, 11 septembre 2001, L'effroyable imposture, Ed. Carnot, 2002
- Eric Laurent, La face cachée du 11 septembre, Ed. Plon, 2004
- Webster G. Tarpley, La Terreur Fabriquée, Made in USA : 11 Septembre, le mythe du XXIe sècle, Ed. Demi-lune, 2006
- Victor Thorn, Le Procès du 11 Septembre ou le 11 Septembre à l'épreuve des faits, Ed. Demi-lune, 2006
- Nafeez Mosaddeq Ahmed, La Guerre contre la vérité : 11 Septembre, désinformation et anatomie du terrorisme, Ed. Demi-lune, 2006
- David Ray Griffin, Le nouveau Pearl Harbor, Ed. Demi-lune, 2006
- David Ray Griffin, Omissions et manipulations de la commission d'enquête sur le 11 Septembre, Ed. Demi-lune, 2006
- David Ray Griffin, 11 septembre 2001, La Faillite des Médias, Une conspiration du silence, Ed. Demi-lune, 2007
- David Ray Griffin, Un autre regard sur le 11 Septembre : 10 ans après, Ed. Demi-lune, 2011
- Collectif, Le 11 septembre n'a pas eu lieu, Ed, Le retour aux source, 2011
- Fabrizio Calvi, 11 septembre, la contre-enquête, Ed. Fayard, 2011
- Susan Lindauer, Extrême Préjudice, Ed. 20 Coeurs, 2013
3) Thèse Mossad Job :
- Hicham Hamz, Israël et le 11-Septembre : le grand tabou, Format Kindle, 2013
- Laurent Guyenot, JFK et le 11 septembre, Ed. Blanche, 2014
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Pour une théorie des plus originales (non sur les commanditaires mais sur le modus operandi) voir Ace Baker, 9/11: The Great American Psy-Opera (2012) : Quels avions ?
Voir aussi les pages : Les héros sacrifiés du 11 septembre / Marchands d'anthrax / Le pouvoir des cauchemars / Peter Scott et l'Etat profond / Réseau Gladio / Le jour où Israël attaqua les Etats-Unis (opération USS Liberty)
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