mardi 28 mai 2019

Jeûne et Alimentation pranique

MAJ de la page : Biophotons (Une hypothèse explicative)



Fia - I Am (2017)

* * *



Fabien Moine, hygiéniste, Jeûne VS Alimentation pranique : les différences (2016)

Variantes sur le jeûne :



Fabien Moine, Le jeûne, à la croisée des chemins Doc. Bande annonce (mars 2019)



Fabien Moine, Jeûne sec forcé, guérison et Compostelle : témoignage de Philéas (12 avril 2019)



Le jeûne intermittent, Entretien avec Thierry Casasnovas (Vérisme TV, 25 mai 2018)



Pierre, naturopathe, Ice cube (Verisme TV, juin 2018)
Voir aussi : Wim Hof

Sur la nourriture pranique :



Peter Straubinger, Lumière, doc. sur l'alimentation pranique (2010). Extrait 20 min.
En version intégrale : Jupiter film



Alyna Rouelle, Alimentation pranique, nourriture en liberté (16 juillet 2017)
Auteur de : La nutrition de la liberté, Ed. Smilebook, 2017


Remarque :
Il existe un moyen simple (et objectif) de vérifier si vous êtes en état de jeûne ou pas. (Outre les trois critères poids, sommeil et énergie. En mode pranique le poids se stabilise, le besoin de sommeil est fortement réduit et l'énergie tant physique que mentale augmente). Ce sont les bandelettes réactives pour la détermination des corps cétoniques : Kéto-diastix.
Conditions du test : au moins 3 jours sans aucun apport calorique, après une période de repos. Si l’urine analysée contient des cétones (acide acétylacétique), la surface réactive de la bandelette change de couleur, vous faites donc un jeûne (et non une expérience pranique).

Quelques croyances limitantes, ou vérités provisoires ("moyens habiles"), sur le chemin du prana :
1) Le corps se nourrit exclusivement d'aliments, solides ou/et liquides. Sans manger ou/et sans boire le corps finit par mourir.
2) Faux (2 et 3 réfute 1).
Le corps peut aussi se nourrir de prana. On peut lire des témoignages le confirmant et en faire soi-même l'expérience. (Les processus de 21 jours, ou autres périodes courtes, consistent à passer d'un mode de nourriture à l'autre).
3) Précision.
Chacun se nourrit d'un pourcentage des deux, un pourcentage d'aliments et un pourcentage de prana. (Le processus graduel, modification de son alimentation, réduction de l'apport calorique, consiste à modifier les pourcentages, pour finir à 100% de nourriture pranique).
4) Rectification : 4 à 8 corrigent 2 et 3 sans revenir à 1.
Le corps se nourrit exclusivement de prana.
5) Explication.
Ce ne sont pas les calories qui apportent de l'énergie au corps-mental mais le prana contenu dans l'aliment. On se nourrit donc toujours de prana : directement (captation du prana par les cellules) ou indirectement, par la médiation de l'aliment.
6) Précisions.
L'extraction pranique passe par le processus de la salivation autant que de la digestion.
7) Le fait de manger en conscience permet de mieux capter ce prana (on se nourrit déjà de l'aliment en bouche - comme pour la dégustation d'un vin).
8) Certains aliments (fruits, ...) contiennent davantage de prana que d'autres.
10) Rectification : 10 corrige 6.
Ce n'est pas la salivation ou la digestion qui capte le prana mais le plaisir pur de la sensation. (Un plaisir pur est un plaisir qui ne provient pas de la satisfaction d'un besoin.)(*). Ce plaisir pur permet la reconnaissance de la présence du prana. Et le percevoir c'est s'en nourrir.
Cogito pranique : Je te (prana) reconnais donc tu me (corps-mental) nourris.
11) Rectification : 11 corrige 5.
Les aliments ne sont pas la seule médiation vers le prana. On peut la prendre de l'air, par la respiration, de la lumière, par la contemplation du soleil (au levant et au couchant), du son, etc.
12) Précision.
Le prana est susceptible de plus et de moins (par exemple, on en trouve davantage en pleine nature que dans un centre ville pollué).
13) Rectification : 13 corrige 8 et 12
Le prana est un invariant. Illimité, il est partout le même. Ce qui change c'est seulement notre capacité à le percevoir en raison des circonstances. (**)
14) Généralisation.
On peut se nourrir de tout ce qui est. Tout est une potentielle médiation. Chaque sensation (provoquée de l'extérieur) est une occasion pour sa reconnaissance..
15) Idem pour les sensations internes. Le corps peut donc également se nourrir soi-même, par une sorte d'autophagie sans bornes (contrairement au jeûne dont les dépôts de graisses et de muscles sont en quantités finies).
16) Rectification : 16 réfute toutes les propositions précédentes.
Le corps ne se nourrit pas (ni d'aliments ni de prana).
17) Explication.
Il n'existe pas un contenant autre dont le contenu serait du prana. Tout est prana (le corps et le monde qui l'entoure). Et le prana n'a pas besoin de se nourrir (étant lui-même la nourriture) ou de servir de nourriture (puisque tout est prana).
18) Peut-être que le terme veut signifier ce qui ne peut recevoir de signification. Ce mot ne dit rien sur l'ineffable mais sur notre attitude à son égard. En acceptant la grille de lecture du corps, de l'âme et de l'esprit comme nous constituant, le prana se réfère à la relation de notre corps à la non dualité, tout comme l'amour (ou la joie) à celle de notre âme et la conscience à celle de notre esprit.
19) ...
 
(*) Ce plaisir concerne à la fois le corps et le mental.
(**) Ce qui ne signifie pas que toute nourriture est équivalente pour celui qui en mange.

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