mardi 25 août 2020

Covid-19. On est dans un espace saturé de bêtises

MAJ de la page : Coronavirus


The HU (Mongolie), Wolf Totem (nov. 2018)



Water Party (Chine, Wuhan, 15 août 2020) 
Pas de seconde vague au programme ni en Chine ni ailleurs (gageons qu'il n'y aura pas plus de rebond après ce rassemblement techno de Wuhan qu'après les : Fête de la musique, Black Lives Mater ou manifestations de Berlin ou Montréal). 

* * *



Pr. Didier Raoult, spécialiste des maladies infectieuses, Situation de l'épidémie à Marseille (IHU, 25 août 2020)
C'est les opinions qui précèdent les données scientifiques et les données scientifiques sont choisies en fonction de l'opinion. Ce n'est plus l'opinion des médias qui se fait à partir des données scientifiques c'est l'inverse ! On est dans un éloignement de plus en plus grand entre la réalité observable et ce qui est décrit. (...) Ce n'est plus une distance entre la réalité observée et décrite, il n'y a plus rien de commun. (...) On espère que cela va bientôt s'arrêter car quand on donne de l'HCO dans les Ehpad il y a moitié moins de mort, ce serait bien qu'on le fasse aussi ailleurs (qu'à Marseille).




Pr. Pierre-Edouard Fournier & Elsa Prudent, Histoire de la réalisation des tests Covid-19 à l'IHU (IHU, 24 août 2020)




Pr. Luc Montagnier, biologiste virologue, Prix Nobel, On est dans un monde de fou (ThanaTV, 22 août 2020)
La science donne des vérités, on ne croit plus à ses vérités, on transforme ses vérités selon les besoins de l'économie. Voir un ministre français interdire un médicament qui semble agir sur le virus est étonnant, absurde. (...) Quelque chose qui peut faire du bien aux gens, les empêcher de mourir, on ne le prescrit pas. Les médecins n'ont pas le droit de le prescrire. (...) 
Ce virus est particulier il a reçu des insertions, des petits bouts d'ARN venant d'un autre virus (ou par une synthèse chimique), mais la vérité a du mal a passé parce que les auteurs ont reçu ordre de ne rien dire (par les autorités chinoises). (...) Il y a un Cover-up (camouflage) général. Même les scientifiques sont achetés. Tous, américains, français (...) parlent d'un virus produit par la nature. (...) C'est faux. Ils le savent très bien. (...) ils sont payés pour dire ce qu'ils disent et s'il ne le disent pas ils risquent de perdre leur position (...) 
Parfois les vaccins sont mauvais. Il faut le dire très fort. Si vous avez quelqu'un atteint pas la Covid-19, si vous le vacciner contre la grippe vous risquez de le faire mourir dans les jours ou les semaines qui suivent. En vaccinant une personne en chimiothérapie contre le cancer vous le tuez. Les vaccinations interférentes sont très mauvaises. (...) En Italie du Nord on a vacciné contre la méningite toute une population et c'est là que le pic de mortalité (de la Covid-19) a été le plus important. Un vaccin, comme un médicament, ne doit pas tuer, il ne doit pas avoir d'effets secondaires au point de tuer. Les vaccinateurs oublient ce principe d'Hippocrate : Ne pas nuire. Se sont des médecins qui vaccinent, ce sont donc à eux de mettre la barrière éthique. 

Facilitation COVID-19 suite à un vaccin contre la grippe. 

Il pourrait exister également une facilitation immunologique non spécifique puisqu’un article paru récemment (janvier 2020 dans la revue Vaccine financée par l’industrie du vaccin), (Wolff GC, 2020) montre qu’une vaccination antérieure contre la grippe saisonnière pourrait rendre plus susceptible aux infections par les coronavirus : il s’agit des coronavirus en général car l’étude est parue avant l’émergence du nouveau virus.
Lire aussi : COVID graves, admettre l’existence des anticorps facilitateurs, par Ema Kahn, virologue, 23 août 2020, AIM


Covid-19. Prétexte pour toutes les censures. 
  

Covid-19. Prétexte pour toutes les violences. Intervention de la police dans un bar pour faire respecter la distanciation sociale (Paris, 24 août 2020)




Pr. Laurent Toubiana, épidémiologiste, chercheur à l'INSERM et directeur de l'IRSAN. On est dans un espace saturé de bêtise (LCI, 22 août 2020)
On a entendu tout et son contraire depuis le début et notamment qu'un rebond devait intervenir dès la fin du confinement le 11 mai. (...) On nous prévient une seconde vague depuis plus de trois mois. Or elle n'arrive jamais. (...) Pourquoi nous annoncer qu'elle va ou pourrait arriver cet automne et prendre des mesures liberticides ?



Pr. Laurent Toubiana, épidémiologiste, chercheur à l'INSERM et directeur de l'IRSAN. L'épidémie est terminée. (BFMTV, 22 août 2020)
Nous n'avons pas une épidémie infectieuse mais une épidémie d'angoisse. (...) Ce qui est mis en place [par les politiques] est incohérent avec tout ce que je constate [en tant que scientifique].

 

Source : article ci-dessous

Le COVID-19 a un mode de contamination (projections « aérosol » de virus) et un tableau clinique similaire à ceux des pathologies virales en périodes hivernales telles que les épidémies de syndromes grippaux (grippes saisonnières). Dans l’état de nos connaissances, malgré ce qui est écrit émanant de scientifiques connus, il n’est pas inconvenant de comparer la dynamique connue de ces épidémies hivernales avec celle du COVID-19 en Chine que nous connaissons maintenant.
Extrait de : Laurent Toubiana, épidémiologiste, Covid-19, une épidémie déconcertante, 11 mars 2020, Irfan 

Remarque :
Si le confinement avait été la cause du frein épidémique le déconfinement aurait causé une seconde vague (comme le prévoyait les modèles mathématiques). Or ce ne fut pas le cas, il n'y a pas eu de rebond (et pas non plus suite aux rassemblements de masse). Donc le confinement n'a pas joué ce rôle de frein. CQFD. (Il pourrait même avoir joué un rôle contraire - voir plus bas l'étude du Pr. Rancour).
Autrement dit  la courbe en cloche du Covid-19 est typique d'une courbe épidémique  (comme pour la grippe) et ne doit rien à un confinement de quelque nature que ce soit - comme le notait déjà le Pr. Laurent Toubiana le 11 mars 2020. (Idem pour les Pr. Didier Raoult, Christian Perrone, Jean-François Toussaint, Beda Stadler, etc.)



Covid-19, le retour ? (RT, Interdit d'interdire, 24 août 2020)
Avec Laurent Toubiana, épidémiologiste, chercheur à l'Inserm et directeur de l'IRSAN, Antoine Flahault, directeur de l'Institut de de santé globale, Université Genève, Elise Klement-Frutos, infectiologue à la Pitié-Salpêtrière.
F. Taddei : Avez-vous peur de l'épidémie ?
A. Flahaut : Oui, j'ai peur (...)
L. Toubiana : Non, je n'ai pas peur (...) la peur est mauvaise conseillère.
L. Toubiana : Nous sommes face à une épidémie où il y a des porteurs mais il n'y a pas de malades et il n'y a pas de morts ! Donc une épidémie où il n'y a pas de malades et pas de morts ! (...)
A. Flahaut : On a jamais fait de tests d'une telle ampleur, 100 000 par jour en France, pour voir si le virus de la grippe circulait, on en sait rien [idem pour les autres coronavirus]. (...)

Remarque :
Il est donc possible (sinon probable) que nombre de virus saisonniers continuent de circuler à bas bruit pendant l'été. En multipliant leur test de détection on aurait également des "épidémies de cas".

Tous les jours, des gens meurent au travail ou en y allant. Les sauveteurs en mer nous demandent-ils d'arrêter baignade et plaisance au prétexte des risques ? Le virus est là. La majorité n'en subira pas de dommage significatif. Il est parfois virulent mais on sait maintenant soigner la majorité des cas graves. Alors remettons-le à sa juste place ; n'en faisons pas un terroriste, c'est-à-dire un agent dont l'impact psychologique et sociétal dépasse de loin son impact physique.
Extrait de : «Ne pas faire de ce virus un terroriste», Olivier de Soyres, médecin réanimateur, 16 août 2020, Le Parisien

Le coronavirus SARS-CoV-2, responsable de la pandémie, est-il en train de devenir tout à la fois plus contagieux mais moins dangereux ? Oui, affirment trois publications scientifiques qui se sont intéressées à une mutation génétique affectant la protéine Spike par laquelle le virus s'arrime aux cellules humaines. Explications.
Source (et suite) du texte : Covid-19 : une mutation aurait rendu le virus moins virulent, 20 août 2020, Les Echos
Lire aussi : Covid-19 : une mutation aurait-elle rendu le virus plus contagieux mais moins virulent ?, 21 août 2020, L'Express



La comparaison des statistiques de mortalité liée au Covid-19 entre la France et la Suisse révèlerait le rôle des thérapeutiques dans la lutte contre l'épidémie. L'usage, l'arrêt suite à l'affaire du Lancet, puis la reprise de l'usage de l'hydroxychloroquine aurait eu un impact direct sur la mortalité en Suisse et dans d'autres pays. Des morts auraient donc - hélas - pu être évitées en France.
Source (et suite) du texte : Mortalité du Covid-19 : ce que révèlerait la comparaison France-Suisse, par Laurent Mucchielli, 25 août 2020, Mediapart

Nous avons analysé les données historiques et récentes de mortalité toutes causes confondues pour la France et d'autres juridictions à des fins de comparaison, en lissant une courbe théorique pour quantifier les décès dus à la charge hivernale et les décès dus à des événements exceptionnels. De cette façon, on peut observer le COVID-19 avec une perspective historique. Ainsi, nous prouvons que le « pic COVID » présent dans les données de mortalité toutes causes confondues de certaines juridictions de l'hémisphère Nord à moyenne latitude, y compris la France, ne peut pas être un événement épidémiologique naturel ayant survenu de façon naturelle, en l'absence d'une grande perturbation non pathogène.
Nous sommes convaincus que le « pic COVID » est artificiel car :
(i) il s’est produit brusquement (largeur d'un mois) à une date sans précédent dans le cycle saisonnier de mortalité toutes causes confondues (milieu du pic à la fin mars),
(ii) il est absent dans de nombreuses juridictions (34 des États américains n'ont pas de « pic COVID »), et
(iii) l’ampleur de ce pic varie considérablement d’une juridiction à l’autre.
Nous suggérons que :
 - la quarantaine de masse et l'isolement strict sans précédent des personnes âgées malades et en bonne santé, ensemble et séparément, a tué beaucoup d'entre eux,
 - que cette quarantaine et cet isolement sont la cause de l'événement « pic-COVID » que nous avons quantifié,
 - et que le mécanisme médical expliquant ce pic passe principalement par le stress psychologique et l'isolement social des personnes vulnérables au niveau de leur santé.
Selon nos calculs, ces mesures ont provoqué quelques 30,2 K décès en France en mars et avril 2020. Cependant, même en incluant le « pic COVID », la charge hivernale de mortalité toutes causes confondues pour l’hiver 2019-2020 n'est pas statistiquement supérieure aux charges hivernales habituelles, ce qui nous amène à affirmer que le SARS-CoV-2 n'est pas un virus responsable de maladies respiratoires inhabituellement virulent.En analysant les données de mortalité toutes causes confondues de 1946 à 2020, nous avons également identifié une augmentation importante et régulière de la mortalité toutes causes confondues qui a commencé vers 2008, trop importante pour être expliquée par la croissance de la population étant donné la pyramide des âges, mais qui pourrait être liée à la crise économique de 2008 et à ses conséquences sociétales sur le long terme.
Source du Résumé et étude (en anglais) : Pr. Denis G. Rancour, Evaluation of the virulence of SARS-CoV-2 in France, from all-cause mortality 1946-2020, August 2020
Lire aussi : Une étude du Pr Denis Rancourt : Evaluation de la virulence du SRAS-CoV-2 en France, à partir de toutes les causes de mortalité 1946-2020, 22 août 2020, Guy Boulianne



La masque connecté ! (C Face, 12 août 2020)

Dans un nouvel avis publié lundi 24 août, l’Organisation mondiale de la santé (OMS) et le Fonds des Nations unies pour l'enfance (Unicef) recommandent le port du masque chez les enfants. À partir de 12 ans, le masque est conseillé au même titre que chez les adultes. En-dessous de cet âge, l’organisation estime que le port du masque peut être envisagé dès 6 ans [sic], sous réserve de bien peser les contraintes et le contexte.
Extrait de : L'OMS invite à considérer le port du masque dès l'âge de 6 ans, 25 août 2020, HeidiNews

Pour Antoine Flahault, le port du masque à partir de trois ans [sic] serait une mesure "d'apaisement", car elle va d'une part "rassurer les enseignants et les parents, et d'autre part diminuer le risque de clusters" dans les écoles.
Extrait de : Dès 3 ans, 6 ou encore 11 ans : à partir de quel âge les enfants doivent-ils porter un masque ? 25 août 2020, BFMTV

Remarque :
Comment l'OMS et l'UNICEF peuvent-ils recommander le port du masque chez les enfants (et ce dès l'âge de 6 ans !) alors que les enfants ne sont en rien des vecteurs de contaminations et que ces mesures s'apparentent à de la maltraitance !? La surenchère de Antoine Flahault, directeur de l'Institut de de santé globale, Université Genève, est une honte (dès 3 ans !)
A quelles conditions (cumulatives) le port du masque en classe pourrait-il se justifier ?
1) Il y a une épidémie en cours.
FAUX. L'augmentation des cas n'est pas corrélée à celle des malades et des décès. L'épidémie est finie. (Cf. les chiffres de l'OFSP).
2) Le virus se propage principalement par voie aérienne.
FAUX. Le virus se propage principalement par contact physique. (Cf. dernière interview du Pr. Raoult).
3) Les masques sont indispensable pour enrayer la propagation.
FAUX. Lavage des mains et distanciation sont les mesures barrières principales.
4) Les enfants porteront correctement le masque.
FAUX. Le masque est conçu pour une utilisation par des adultes en milieu hospitalier (salle climatisée) avec des règles stricts. (Cf. témoignage d'un biologiste, chirurgien ci-dessous).
5) Les enfants sont des vecteurs de transmissions.
FAUX. Les enfants ne tombent pas malade, ne se contaminent pas et ne contaminent pas les adultes. (Cf. Le port obligatoire du masque pour les enfants, c’est de la maltraitance !, 21 août 2020, France Soir)
Lire aussi :  Vers le port permanent d’un masque connecté. La maltraitance morale de nos jeunes en question. 23 août 2020. LHK


Laurent
19 août 2020 à 9 h 32 min

Madame Sandoz,

Merci infiniment pour cet article, cela me rassure de voir que des personnes spécialisées en droit puissent se rendre compte qu’il y a véritablement un problème avec les mesures prises actuellement. Je suis docteur en biologie cellulaire et moléculaire, j’ai un post-doctorat en chirurgie expérimentale et je travaille dans un hôpital du canton de Vaud. Il faut savoir que la situation est idéale aujourd’hui, et que tout les feux sont au vert, pour une propagation lente et contrôlée du virus. On tire la sonnette d’alarme avec 200 cas positifs/détectés (encore faut-il que les cas détectés soient vraiment des cas positifs) par jour, mais c’est faux même s’il y avait 500 cas par jour, il n’y aurait pas d’urgence. La situation est largement sous contrôle et les hôpitaux ne sont de loin pas débordés par les cas d’hospitalisations (et je rappelle qu’au pic de la pandémie nos hôpitaux étaient à 40-50% de leur capacité). La situation est donc parfaite pour obtenir au final l’immunité collective, tellement souhaitée par nos autorités en fin de confinement, et dont aujourd’hui plus personnes ne parle! Les médias assomment la population avec des chiffres alarmistes à longueur de journée, il est donc normal et naturel que ce sentiment anxiogène aie pris le dessus. Je souhaite vivement de tout cœur que la population en prenne conscience. Dans les chiffes officielles Influenza tue chaque année entre 300’000 et 650’000 personnes à travers le monde, et pourtant il s’agit d’un virus pour lequel nous avons un vaccin, mais il faut aussi savoir que pour cette année l’efficacité du vaccin n’est que de 53 %. Le nombre de mort en Suisse est environ de 70’000 personnes par année réparti de la manière suivante: +/- 21’000 pour les maladies cardio-vasculaire, +-/ 18’000 pour les cancers, +/- 6500 pour la démence, +/- 4500 pour les maladies respiratoires, +/- 3700 pour les accidents et morts violentes… regarder le nombre de morts du COVID aujourd’hui (1717) et tirez en vos conclusions. Je mets également en garde les gens contre le vaccin qui pourrait être mis sur le marché, la création d’un vaccin prend du temps et coûte beaucoup d’argent, je crains que dans la précipitation ce vaccin n’aie pas répondu à la majorité des tests toxicologiques et de tumorigénicités. J’ai également la chance dans l’activité de mes fonctions d’aller au bloc opératoire, où nous avons des protocoles très strictes d’entrée et d’usage du masque. Je vois aujourd’hui dans cette hystérie collective une utilisation honteuse (dans le transports publique et dans la rue) de cet outil de travail. Voici quelques exemples des règles du bon usage du masque de soins:
– Ne pas toucher le masque une fois en place
– Se désinfecter les mais par friction hydro-alcoolique avant la pose et après le retrait, ainsi qu’après chaque manipulation du masque pour le réajuster.
– Ne pas porter le masque sur le menton, sur les cheveux
– Ne pas mettre le masque dans la poche
– Ne pas poser le masque sur la table
je défie quiconque dans la population de me prouver qu’il respecte ces règles simples et basiques. j’en tire donc la conclusion que l’utilisation du masque par la population est totalement inutile, voir même idiote et stupide.
J’ai encore un grand nombre d’arguments scientifiques (traitement: Hydroxychloroquine vs Remdesivir, données: létalité vs mortalité) que je n’ai pas le temps de développer ici pour démontrer que la situation orchestrée par les gouvernements est ridicule mais j’espère pouvoir le faire prochainement.

Bien à vous,

    Épidémie de masque

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