Dr. Steve R. Pieczenik, psychiatre, consultant pour le ministère de la Défense, Sur le Coup d'état civil des Clinton et le Contre-coup du FBI et autres branches du renseignement (novembre 2016)
(...) Le 1er novembre 2016, Hillary Clinton, Bill Clinton et leur entourage qui les assiste, ont mené un Coup d’État civil. (...) mené silencieusement et très efficacement à travers deux méthodes : la corruption et la cooptation. (...)
Cependant, dans le but de stopper ce coup d’état, nous, au sein de la Communauté du Renseignement et d’autres personnes qui sont impliqués, nous nous sommes associés de façon informelle et avec leur permission, je commence à annoncer que nous avons initié un Contre-coup d’état via Julian Assange et WikiLeaks. Ceci a eu pour effet de forcer Comey à s’occuper de l’affaire d’Hillary Clinton et d’évoquer sérieusement ses e-mails en lien avec l’affaire Anthony Weiner : ce n’était pas cette affaire elle-même qui était importante, mais le fait que ça a pu être le déclic pour beaucoup d’entre nous, en vue d’un Contre-coup d’état signifiant à l’Administration : « nous vous avons à l’œil [nous avons votre numéro : nous savons où vous trouver]. (...)
Dr. Steve R. Pieczenik, psychiatre, consultant pour le ministère de la Défense, Sur la pédocriminalité des Clinton (novembre 2016)
(...) Le vrai problème sous-jacent des activités abominables de Bill Clinton aussi bien que les activités sexuelles d'Hilary Clinton est le fait que nous savons que les deux ont participé dans une grande mesure à ce qui s'appelle le "Lolita Express" qui est un avion appartenant à M. Jeff Epstein, un riche homme multi-millionnaire qui vole vers les Bahamas et permet à Bill Clinton et Hillary de se livrer à des relations sexuelles avec des personnes mineurs, ce qui s'appelle de la pédophilie [ou plus exactement de la pédocriminalité]. Et comme résultat de l'excellent travail que le New York Police Department fait dans la lutte contre la pédophilie, ils ont aussi un enregistrement d'Hillary, de Bill et d'autres gens associés aux Clinton au sujet de la pédophilie. Donc non seulement elle va être inculpée pour entrave à la justice, pour avoir menti à un procureur du FBI, mais aussi être inculpée de pédophilie, de relations sexuelles avec des personnes mineures et autres sordides questions. (...)
Son site internet : Steve Pieczenik / biography
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Clinton traitée d'Antéchrist par certains agents du FBI
Le 4 novembre 2016 - Sputniknews
Profondément impopulaire parmi les agents du FBI, Hillary Clinton est traitée d'«Antéchrist» par certains. Certains membres du FBI éprouvent une profonde antipathie envers la candidate démocrate à la Maison Blanche Hillary Clinton, écrit le journal britannique The Guardian se référant à ses sources au sein du Bureau.
« Le FBI — c'est le Trumpland », c'est-à-dire le « pays des partisans de Trump », a déclaré un agent du FBI.
Un autre agent en poste a indiqué que « pour plusieurs collègues, Clinton était la personnification de l'Antéchrist ».
Il a expliqué que les fuites d'informations nuisibles à la candidate démocrate étaient organisées par les agents de Donald Trump. Par ailleurs, d'autres agents ont déclaré qu'ils ne croyaient pas à l'existence d'un soutien inconditionnel à la candidature de Trump au sein du Bureau, mais reconnaissaient que Clinton était extrêmement impopulaire parmi les agents.
Les interlocuteurs du journal ont fait état d'un large mécontentement au sein du FBI provoqué par la décision du directeur James Comey prise en juillet de ne pas poursuivre Hillary Clinton pour avoir utilisé son serveur personnel pour sa correspondance professionnelle. Auparavant, l'agence Associated Press a annoncé que seul un groupe d'enquêteurs travaillant au bureau new yorkais du FBI était hostile à Clinton.
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Bill Clinton a pris 26 fois en seulement trois ans le « Lolita Express », l’avion de Jeffrey Epstein, le délinquant sexuel
Par Geoff Earle et David Martosko, le 13 mai 2016 - Daily Mail / Les Crises (trad.)
Bill Clinton a pris, pour des voyages tous frais payés, 26 fois en seulement trois ans le « Lolita Express », l’avion de Jeffrey Epstein, le délinquant sexuel tombé en disgrâce
- Le financier Jeffrey Epstein a eu une légère peine de prison de 18 mois pour avoir recruté des prostituées et s’être offert les services sexuels de jeunes mineures
- Bill Clinton, avec ses célèbres penchants donjuanesques, fait partie des célébrités qui ont fréquenté Epstein avant que la gravité de ses problèmes juridiques ne soit rendue publique
- Dans l’avion d’Epstein se trouvait un lit où les hôtes avaient des relations sexuelles avec de jeunes filles
- Les registres de vol montrent que l’ancien président s’est rendu à Brunei, en Norvège, en Russie, à Singapour, à Hong-Kong, au Japon, aux Açores, en Afrique, en Belgique, en Chine, à New York et en Belgique dans l’avion d’Epstein
Bill Clinton a passé tant de temps à bord de l’avion « Lolita Express » du nabab de Wall Street tombé en disgrâce qu’il pourrait prétendre à un programme de fidélité pour voyageur fréquent, selon de choquantes informations parues dans la presse qui dévoilent à quelle fréquence l’ancien président des E-U a fait route avec le délinquant sexuel condamné par la justice.
Les livres de vol analysés par Fox News montrent que Bill Clinton a fait 26 voyages à bord du Boeing 727 d’Epstein, ce qui est plus du double des 11 vols comptabilisés antérieurement.
Dans l’avion d’Epstein se trouvait un lit où les invités avaient des activités sexuelles de groupe avec de jeunes filles.
L’une d’elles, Virginia Giuffre, a soutenu avoir été amenée à rejoindre le harem d’Epstein quand elle n’avait que 15 ans et s’appelait alors Virginia Roberts.
L’ancienne adolescente prostituée a affirmé qu’on l’utilisait comme une « esclave sexuelle ».
GRAND VOYAGEUR : D’après une déclaration de Fox News, Bill Clinton a effectué bien plus de vols que précédemment admis sur l’avion « Lolita Express » du délinquant sexuel condamné Jeffrey Epstein
LA MAQUERELLE : Ghislaine Maxwell, l’ancienne maîtresse d’Epstein, qui l’étreint le jour où on a ouvert contre lui une enquête pour abus sexuels sur des enfants. Elle a nié avoir recruté de très jeunes filles pour son ex amant
Roberts, 32 ans, a prétendu avoir vu Clinton en 2002 lors d’un voyage tous frais payés de Saint Thomas aux îles Vierges étasuniennes.
Virginia Roberts, la femme au centre des allégations contre Jeffrey Epstein, photographiée l’an dernier au Colorado
Mais selon Fox News, les livres de vol n’indiquent pas que l’ancien président soit déjà monté à bord d’un vol dans cette direction. Saint Thomas a une piste d’atterrissage assez longue pour que le jet s’y pose.
Ces livres indiquent que l’ancien président s’est rendu, dans le jet d’Epstein, dans des endroits aussi exotiques que Brunei, la Norvège, la Russie, Singapour, Hong Kong, le Japon, les Açores, l’Afrique, la Belgique, la Chine, New York et la Belgique.
Ghislaine Maxwell, personnalité en vue de New York, que Virginia Roberts a accusée d’avoir agi envers elle comme une proxénète, voyageait avec Epstein.
La seule présence de Bill Clinton suffisait à apporter une protection.
Les registres de vol de l’administration de l’aviation fédérale indiquent que Bill Clinton était accompagné de pas moins de 10 agents des Services secrets lors de certains voyages.
Mais lors d’un voyage en Asie de 2002, on ne trouve aucun agent. En tant qu’ancien président, Bill Clinton dispose d’un service de protection payé par le contribuable jusqu’à la fin de ses jours.
Les médias du câble ont annoncé qu’on avait demandé à Bill Clinton de remplir un formulaire officiel pour partir sans ses agents de protection, même si le Service secret n’a pas répondu aux demandes officielles de renseignement.
Epstein a plaidé coupable pour avoir recruté une mineure pour prostitution en 2008 et n’a passé que 18 mois en prison en dépit de l’indignation des avocats des victimes.
Parmi les personnes censées avoir passé du temps avec Epstein, on trouve le prince Andrew de Grande-Bretagne et le célèbre avocat et professeur de droit, Alan Dershowitz.
« LOLITA EXPRESS » ET LE MILE-HIGH CLUB : Ce Boeing 727 appartenant à Epstein avait un lit à l’intérieur qui a été utilisé pour des ébats sexuels avec des jeunes filles mineures
EN AFRIQUE : Le vol au départ de l’aéroport JFK de New York pour les Açores, où a commencé une tournée en Afrique pour Bill Clinton, Kevin Spacey et d’autres à bord du jet privé d’Epstein. Il n’était alors pas encore condamné pour pédophilie
UN AUTRE VOYAGE : Bill Clinton, Naomi Campbell et l’assistant de Clinton, Doug Band, étaient à bord du Boeing 727 privé d’Epstein lors du vol au départ de l’aéroport de Londres-Luton vers JFK
Des documents de procédure montrent que la police a trouvé une « indication claire que le personnel d’Epstein recrutait régulièrement de multiples jeunes filles âgées de 12 à 16 ans tous les jours, et souvent deux ou trois fois par jour. »
Une victime a déclaré sous serment qu’Epstein avait abusé d’elle au moins 50 fois, et qu’il avait commencé alors qu’elle avait 13 ans.
Elle a dit qu’elle et d’autres filles avaient été attirées au domicile d’Epstein avec des promesses de centaines de dollars pour du modeling ou pour le masser.
Mais une fois qu’elles étaient chez lui, Epstein leur ordonnait de se dévêtir et de masser son corps nu — pendant qu’il se masturbait et abusait d’elles avec des sex-toys.
En définitive, l’appel d’Eptsein pour racolage a bloqué les efforts des procureurs fédéraux d’élargir l’acte d’accusation à l’abus sexuel sur enfants, subornation de témoins et blanchiment d’argent.
Le candidat présidentiel républicain Donald Trump a été accusé de fréquenter Epstein.
Mais des sources au club Mar-a-Lago de Trump, à Palm Beach en Floride, affirment que le milliardaire l’avait banni de ces locaux des années auparavant après qu’il ait été vu en train de draguer une adolescente.
Trump s’est refusé à tout commentaire quand le DailyMail.com l’a interrogé à ce propos.
Mais Alan Garten, l’avocat de Trump, a déclaré à Fox News : « Il n’y avait aucune relation entre Jeffrey Epstein et Donald Trump. »
« Ils n’étaient pas amis et ne se fréquentaient pas. »
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Bill et Hillary Clinton auraient aussi abusé de Cathy O'Brien (et autres "esclaves sexuelles") participant au programme MK-Ultra (maintenant connu sous le nom de MARATHON) : Lire (en anglais) un passage de Trance Formation of America
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Wikileaks, bras armé d’un « coup d’état » silencieux aux USA ?
Par Guillaume Borel, le 02 novembre 2016 - Arrêt sur info
Le directeur de campagne d’Hillary Clinton, John Podesta. © Carlos Barria Source: Reuters
La fuite continue de scandales émanant de Wikileaks et impliquant le couple Clinton semble avoir fait perdre la majeure partie de sa crédibilité à Hillary Clinton qui se retrouverait en cas de victoire, de plus en plus improbable, à l’élection présidentielle en position de justiciable potentielle et privée de légitimité.
La réouverture de l’enquête du FBI concernant le serveur de mails privé de Mme Clinton s’est ainsi traduite par un décrochement spectaculaire de la candidate démocrate dans les dernières enquêtes d’opinion. Ce énième scandale impliquant l’ancienne secrétaire d’Etat semble avoir achevé d’écœurer une partie de l’électorat américain.
Un sondage d’ABC / Washington Post, connus pour être des soutiens d’Hillary, publié mardi, c’est à dire après la divulgation de la réouverture de l’enquête du FBI, donne pour la première fois Donald Trump gagnant avec 46% des intentions de vote au niveau national contre 45% pour Hillary Clinton. L’échantillon du sondage d’ABC présente de plus une surreprésentation démocrate, ce qui laisse supposer que l’avance réelle de Donald Trump pourrait raisonnablement être plus conséquente…
Le même renversement de tendance s’observe dans les « swing states » qui font traditionnellement basculer l’élection. Selon l’institut Real Clear Politics, au 1er novembre, Trump devance Clinton de plus de neuf points dans le Missouri, d’un point en Floride, de quatre points en Géorgie, de presque un point en Caroline du nord, de plus de deux points dans l’Ohio, de plus d’un point en Arizona ainsi que dans l’Iowa. Il est à égalité avec la candidate démocrate dans le Névada. Au total, Trump est ainsi donné gagnant dans sept des seize « swing states » contre huit pour Hillary Clinton…
Plus inquiétant pour la candidate de Wall Street et des médias, la courbe de tendance des intentions de vote en faveur de la candidate démocrate dans les Etats susceptibles de basculer pour l’un ou l’autre camp, montre un véritable plongeon.
Le staff de campagne d’Hillary Clinton a ainsi réagi en mode panique à l’annonce de la réouverture de l’enquête concernant son serveur de mails privé, dénonçant une manœuvre « politique » visant à influencer l’élection de la part du directeur du FBI James Comey, relayé par une partie du département de la justice. L’ancien procureur général Eric Holder l’a ainsi accusé de vouloir « jeter le discrédit » sur la candidate démocrate et le Département de la justice, relayé par de nombreux procureurs fédéraux. Pourtant, selon le Daily mail, citant une source « proche de James Comey », sa décision aurait été motivée par le fait : « qu’il ne pouvait plus résister aux pressions venant des agents du FBI et de ses principaux adjoints », elle aurait donc été largement contrainte.
Selon la même source : « l’atmosphère était devenue toxique au FBI depuis que Jim avait annoncé en Juillet qu’il ne recommanderait pas de poursuites à l’encontre d’Hillary ». Il semble donc que, plus que la décision d’un homme, la réouverture de l’enquête concernant le serveur de mails d’Hillary Clinton soit l’aboutissement de pressions d’une partie de l’appareil de renseignement US opposé au « système de corruption » mis en place par le couple Clinton. C’est ce qu’affirme Steve Pieczenik dans une vidéo [voir plus haut] publiée par divers sites américains.
Pieczenik fut l’assistant du secrétaire d’Etat américain d’Henry Kissinger ; il a occupé les fonctions de sous-secrétaire adjoint sous les administrations Ford, Carter, Reagan, et Bush; il fut également membre du Council of Foreign Relations jusqu’en 2012. En 2014, il fut accusé par les magistrats italiens enquêtant sur l’assassinat de l’ancien premier ministre Aldo Moro, d‘avoir été directement impliqué dans son élimination. Il semble ainsi avoir joué un rôle de premier plan au sein des services et de la communauté du renseignement US, une des composantes essentielles du « Deep state ». Il déclare aujourd’hui que les révélations de Wikileaks sur le couple Clinton ont été fournies à l’organisation par une partie de la communauté du renseignement US, et qu’il s’agit d’un « contre coup d’état » qui répond au système de corruption mis en place par le couple Clinton. Selon lui, les Clinton ont ainsi réalisé un « coup d’état silencieux » en utilisant la corruption et la co-optation, comme je l’avais exposé dans un précédent article à propos du système de collusion mis en place par le staff de campagne d’Hillary Clinton avec les médias mainstream.
Julian Assange © Peter Nicholls / Reuters
Selon Pieczenik, le système de collusion mis en place par le couple Clinton, pour ce qui concerne les Etats-Unis, touche également le système judiciaire et les grandes agences de renseignement, CIA et FBI. Il cite à ce propos nommément son directeur James Comey. Pieczenik déclare ainsi qu’une partie de la communauté du renseignement s’est organisée en conséquence de manière à réaliser un « contre coup d’état », par l’intermédiaire de Julian Assange et Wikileaks auxquels elle a fourni ses informations. Le degré de corruption et de perversité du système et du couple Clinton a été l’élément déclencheur de ce « contre coup d’état » destiné à « sauver la république ». Il s’agit selon Pieczenik, d’une « seconde révolution américaine » engagée par des « vétérans » et une partie de l’appareil de renseignement US contre un pouvoir qui à leurs yeux a dépassé toutes les bornes de la corruption et de la compromission, notamment par l’intermédiaire de la fondation Clinton.
Voilà peut-être ce qui explique, malgré l’engagement massif des médias en faveur de la candidate démocrate, d’où Donald Trump tire l’assurance et l’aplomb avec lesquels il ne cesse de dénoncer la corruption du couple Clinton, allant jusqu’à affirmer que toute victoire d’Hillary serait entachée de fraude électorale.
Une partie du « Deep State » semble avoir lâché Hillary et s’être engagée de tout son poids pour lui barrer la route à la présidence. Si un « coup d’état silencieux » est bien engagé aux Etats-Unis à l’occasion de l’élection présidentielle, les semaines à venir seront sans nul doute historiques.
Guillaume Borel, documentaliste, analyste politique, est l’auteur de l’ouvrage Le travail, histoire d’une idéologie. Éditions Utopia: 2015. Il s’intéresse aux questions de macro-économie, à la géopolitique et aux questions de propagande et d’intoxications médiatiques.
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Compilation d'extraits vidéos choisis et hypothèses au sujet de la santé physique et mentale d'Hillary Clinton (à prendre avec circonspection) (InfoWar, août 2016)
Et son récent malaise du 11 septembre 2016, officiellement un coup de chaleur.
Mieux vaut ne pas en parler (ou ne pas en parler trop tôt) : Comment se faire lincencier du Huff Post ? Ecrire sur la santé de Hillary Clinton !, le 14 septembre 2016, RT
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