Pr. Laurent Toubiana, Il y a une surmortalité relativement faible en 2020, de 3,66 % (Sud Radio, 26 mars 2021)
L’arrivée de l’épidémie de Covid-19 en France a provoqué la mise en place, dans l’urgence, d’un confinement généralisé de la population. Cette contrainte (et d’autres par la suite) a été acceptées étant donné l’anxiété induite par le spectre d’une catastrophe sanitaire sans précédent. Après une année d’une crise, quel a été l’impact réel de l’épidémie ? Pour évaluer la gravité d’un fléau, la référence absolue est la mortalité. Nous publions donc une analyse détaillée de la surmortalité liée à la Covid-19, en France, en 2020. Le texte complet, actuellement en pré-print sur MEDRXIV, est disponible sur le site de l’IRSAN.
La Covid a mis au grand jour la ruine de notre système de santé. De numéro 1 mondial en 1970, il est tombé au 24e rang des pays de l’OCDE ! Pour la première fois depuis la Guerre, l’espérance de vie recule en France. Dans les hôpitaux, 30.000 patients décèdent d’accidents médicaux chaque année.
Dans cet essai, Bernard Kron analyse les causes de cet échec. Il décortique les principales réformes (en particulier la diminution drastique du nombre de médecins et d’infirmières) qui ont mené à cette catastrophe.
Pour sortir de cette impasse, l’auteur milite pour redonner le pouvoir aux médecins et plus largement aux soignants, qui sont en colère contre leur administration et les agences de santé. Quatrième de couverture
Rosemary Frei, biologiste moléculaire, journaliste scientifique, Cette science frauduleuse qui dicte votre vie (France Soir, Jeanne trad., 24 mars 2021)
Pr Hector Carvallo, Argentine : Les régions qui utilisent l'ivermectine s'en sortent beaucoup mieux ! (France Soir, Jeanne Trad., 25 mars 2021)
Dr. Gérard Delépine et Martin Blachier, Décès d'un jeune de 24 ans suite au vaccin Astrazeneca (Canal+, 23 mars 2021)
En acceptant de prendre en considération les résultats de 8 méta analyses de par le monde et les nombreux témoignages de traitants, en comparant tous les aspects pratiques, médicaux, économiques d’une campagne massive de vaccination ou de traitement à l’Ivemectine, l’avantage de l’Ivermectine serait considérable.
Il est particulièrement important pour nous de souligner une fois de plus, que seule la coopération internationale très bien coordonnée des professions juridiques, en particulier des professions juridiques allemandes, autrichiennes, françaises et italiennes avec les professions juridiques anglo-américaines qui seules disposent du puissant outil de la « class action » et d’un véritable droit de la preuve, permettra d’atteindre notre but.
Car ce que nous voyons ici dans le monde entier, encore laborieusement déguisé en “pandémie”, mais néanmoins de plus en plus clairement visible, est en vérité la plus grande attaque contre la démocratie qu’il n’y ait jamais eu, menée par des élites politiques et économiques transnationales. Le but de cette attaque est de spolier la richesse de la classe moyenne et des contribuables par ces soi-disant “élites” autoproclamées et, à l’aide du passeport numérique de vaccination, d’obtenir un contrôle permanent sur chaque citoyen, en particulier, sur ceux qui se laissent “vacciner”.
Pierre Jovanovic, Epstein : parcours d'un monstre de l'Etat profond (TVL, 23 novembre 2020)
Pour la première fois, voici la vie détraquée du milliardaire Jeffrey Epstein, confident de Bill Clinton, qui a piégé, pendant 20 ans, pour le compte des services israéliens, des milliers de députés, sénateurs, hommes d’affaires, journalistes, stars de cinéma, scientifiques de renom, recteurs et doyens d’universités, premiers ministres, princes et princesses (dont le prince Andrew), et même des présidents avec son réseau de prostitution de jeunes filles.
De son ascension en tant que professeur de mathématiques en passant par une carrière ratée à Wall Street, on le suit jusqu’à sa gloire et sa déchéance, en passant par sa rencontre capitale avec Ghilaine Maxwell, la fille d’un autre très grand espion du Mossad, Robert Maxwell qui avait acheté les médias britanniques pour le compte d’Israël.
Alors qu’il se prétendait millionnaire grâce à Wall Street, en réalité Epstein s’était transformé en proxénète spécialisé pour les seuls ultra-riches et tout-puissants qui n’exigent qu’une seule chose: la discrétion la plus totale. Il invitait tout ce qui était célèbre dans ses différentes luxueuses propriétés, îles privées ou encore à Paris, où toutes les chambres étaient sonorisées et équipées de caméras très discrètes. En leur fournissant régulièrement des gamines, Epstein avait monté le plus grand réseau international de pédophiles, au point que son avion a été surnommé par les contrôleurs aériens le « Lolita Express », avion que prenaient régulièrement Bill Gates comme Bill Clinton. Et ensuite il vendait les vidéos aux services.
Arrêté par la police américaine une seconde fois pour « trafic de mineures » il a été retrouvé mort dans des conditions spectaculaires en août 2019 dans sa cellule du Metropolitan Correctional Center de New York. Un suicide qui a arrangé toutes les célébrités dont les noms se trouvent dans son fameux « Carnet Noir ».
Cette enquête, menée par le grand reporter Dylan Howard et aidé par deux autres journalistes américains, apporte des révélations incroyables sur les activités d’Epstein, de sa « Madame » Ghislaine Maxwell et sur la manière dont ils mettaient ces jeunes filles en esclavage pour les ultra-riches, et les abus qu’elles vivaient.
Ce livre n’est pas censuré et contient des documents jamais publiés, obtenus par l’auteur qui a suivi l’affaire Epstein depuis son tout premier séjour en prison en Floride. Ce qui n’a pas empêché Bill Gates, l’homme qui veut vacciner tous les habitants de la planète, de reprendre en sa compagnie le « Lolita Express » au moins 4 fois, et cela bien après sa sortie de prison !
Question: combien de députés, de journalistes, de présentateurs tv français et de fonctionnaires ont été filmés par Epstein dans son appartement parisien ou même Bill Gates se rendait souvent ? Quatrième de couverture
Affaire Epstein : un réseau de trafic sexuel aussi en France ? (RTL, L'Heure du crime, 28 septembre 2020)
Extrait du documentaire "Plandemic" sur les liens entres Bill Gates & Jeffrey Epstein (août 2020)
Non seulement Bill Gates avait entamé une relation avec Jeffrey Epstein bien après sa condamnation pour crimes sexuels, mais les deux hommes étaient également impliquer dans le processus de co-fondation d'un fond caritatif de plusieurs milliards de dollars.
Audition de Jack Dorsey, PDG de Tweeter par le sénateur Ted Cruz au sujet de la censure (Sénat américain, 17 novembre 2020) Auditions intégrales (Mark Zuckerberg et Jack Dorsey), en anglais : Youtube
Lire en bas de page : Lawrence Lessig, Le code fait loi. De la liberté dans le cyberespace (janvier 2000)
* * *
Grâce à ses liens avec Bill Gates, la Banque mondiale, le Forum économique mondial, la finance internationale et même Twitter, Ngozi Okonjo-Iweala est bien placée pour superviser l’imposition prévue de l’agenda totalitaire du Great Reset Gates-World Economic Forum. Le fait qu’elle doive son élection à l’OMC au soutien des gouvernements africains et d’autres pays en développement est un commentaire amer sur les manipulations cyniques des puissances du moment dans le monde d’aujourd’hui.
Radical : il cherche à aller à la racine. À comprendre la crise dans sa globalité en profondeur, quitte à se perdre et faire des fautes.
Spéculatif : Au sens intellectuel de contempler, de faire un pas de côté et se demander… Et si.
Surtout, ce film est une révolte au sens de Camus, la révolte contre notre condition et la révolte qui nous unit contre l’arbitraire qui gouverne cette crise (...) À cause de cela, ce document est critiquable : digne de critique. Malgré toutes ses erreurs et malgré ses fautes, il mérite notre attention.
"À sauver chaque homme on est peut-être en train de préparer la mort de l’espèce humaine. Chacun de ces progrès (médicaux) et au bout, l’organe artificiel génétique qui ne sort pas de nulle part c’est la suite de l’organe artificiel électronique et la langue de la génétique est la même que la langue de l’informatique, on parle de code et l’aboutissement de cette logique est qu’au lieu de réparer les hommes on va les produire sains. Un peu comme les objets.
À partir du moment où l’homme devient une production de l’homme il devient comme tous les objets. Il est façonné par l’homme.
Il me semble qu’un homme produit par l’homme n’est plus un homme, il est une machine. C’est là où le glissement est fascinant : progrès par progrès pour sauver chaque homme on prépare les conditions d’un homme qui est produit par l’homme et qui n’est plus un homme". Jacques Attali (1979)
La théorie du complot est définie en 1945 par Karl Popper et consiste à attribuer la cause d’un événement à l’action concertée et secrète d’un groupe de personne alors que c’est dû au hasard ou à un déterminisme historique.
Mais il n’y a rien de hasardeux dans les projets de gouvernance mondiale de Davos. Il n’y a rien de secret non plus. Il n’y a rien de complotiste : c’est étalé chaque jour dans la presse.
La question du transfert de souveraineté vers l’Europe puis vers des instances mondiales est elle aussi essentielle. Il est criminel de l’affubler du masque grotesque du complotisme. (...)
Et autant je NE peux PAS souscrire à l’idée que le virus ait été fabriqué et lâché dans la nature de manière délibérée pour mettre en place ce projet de gouvernance mondiale et de protection ultime des fortunes.
Autant il est raisonnable de penser qu’ils sont pragmatiques et utilisent cet événement inattendu dans ce but. (...)
Aujourd’hui lorsque l’on veut généraliser le digital. Il y a un enjeu majeur qui est totalement occulté dans le débat public.
Cet enjeu majeur c’est CODE IS LAW.
Code is Law est un article du professeur de droit Lawrence Lessig qui date de 2000. Cela a déjà 20 ans !
Lessig a cette analyse visionnaire : La production de la loi ne se fait plus à l’Assemblée avec le gouvernement et le pouvoir judiciaire mais dans le code informatique. (...)
La loi se déporte de l’Assemblée vers la sphère privée des Big techs et d’une gouvernance mondiale.
Bien sûr personne ne veut de cet avenir orwellien.
Mais la peur du virus rend cet avenir si ce n’est acceptable, tout du moins imposable.
Pas le virus, la peur du virus.
Et Hold-Up a le grand mérite de tenter de nous sortir de cette tétanie, avec toutes ses erreurs et toutes ses fautes, ses exagérations, Hold-Up réveille, secoue, met du mouvement, de la polémique.
Et cela est bon.
Et pour cela je salue le courage et le travail de Pierre Barnérias et de tous ceux qui ont accepté de témoigner devant sa caméra.
Hold-up à l'ancienne.
* * *
Le code fait loi. De la liberté dans le cyberespace
Lawrence Lessig, janvier 2000 - Source : Harvard Magazine / Trad. : Framablog
À chaque époque son institution de contrôle, sa menace pour les libertés. Nos Pères Fondateurs craignaient la puissance émergente du gouvernement fédéral ; la constitution américaine fut écrite pour répondre à cette crainte. John Stuart Mill s’inquiétait du contrôle par les normes sociales dans l’Angleterre du 19e siècle ; il écrivit son livre De la Liberté en réaction à ce contrôle. Au 20e siècle, de nombreux progressistes se sont émus des injustices du marché. En réponse furent élaborés réformes du marché, et filets de sécurité.
Nous sommes à l’âge du cyberespace. Il possède lui aussi son propre régulateur, qui lui aussi menace les libertés. Mais, qu’il s’agisse d’une autorisation qu’il nous concède ou d’une conquête qu’on lui arrache, nous sommes tellement obnubilés par l’idée que la liberté est intimement liée à celle de gouvernement que nous ne voyons pas la régulation qui s’opère dans ce nouvel espace, ni la menace qu’elle fait peser sur les libertés.
Ce régulateur, c’est le code : le logiciel et le matériel qui font du cyberespace ce qu’il est. Ce code, ou cette architecture, définit la manière dont nous vivons le cyberespace. Il détermine s’il est facile ou non de protéger sa vie privée, ou de censurer la parole. Il détermine si l’accès à l’information est global ou sectorisé. Il a un impact sur qui peut voir quoi, ou sur ce qui est surveillé. Lorsqu’on commence à comprendre la nature de ce code, on se rend compte que, d’une myriade de manières, le code du cyberespace régule.
Cette régulation est en train de changer. Le code du cyberespace aussi. Et à mesure que ce code change, il en va de même pour la nature du cyberespace. Le cyberespace est un lieu qui protège l’anonymat, la liberté d’expression et l’autonomie des individus, il est en train de devenir un lieu qui rend l’anonymat plus difficile, l’expression moins libre et fait de l’autonomie individuelle l’apanage des seuls experts.
Mon objectif, dans ce court article, est de faire comprendre cette régulation, et de montrer en quoi elle est en train de changer. Car si nous ne comprenons pas en quoi le cyberespace peut intégrer, ou supplanter, certaines valeurs de nos traditions constitutionnelles, nous perdrons le contrôle de ces valeurs. La loi du cyberespace – le code – les supplantera.
Le médecin du monde (dixit Paris Match), Bill Gates, voudrait-il aussi devenir le Chef du monde ? (Pour notre santé et plaisir gastronomique). Dans une économie circulaire, et durable, en toute démesure (comme semble le promouvoir The Great Reset), n'est-il pas normal de tout recycler ? (A) Les cadavres (Soleil vert, "ton prochain tu mangeras") comme (B) les excréments (Soleil noir, ton caca tu mangeras) ? On y vient progressivement en trois étapes : 1) comme compost pour nourrir la terre (1A), (1B), 2) comme nourriture pour les animaux mangés par l'homme (2B, article ci-dessous), et finalement, 3) comme nourriture transformée (3A, film Soleil vert).
Remarque : Ce procédé autophage (Soleil rose) peut aussi se décliner en version cannibale (Soleil vert), les cellules cultivée pouvant aussi bien provenir de sa propre joue que de celle d'une autre personne mais aussi d'autres parties du corps.
* * *
Bill Gates a un projet alimentaire sain pour vous à base… d’excréments humains ? L’exemple de la Swiss Food Valley. Par Vincent Held, le 4 novembre 2020 - Source : Liliane Held-Khawam
La Fondation Gates s’intéresse de près à la production de
diverses ressources à partir des excréments humains – dans le domaine
alimentaire, notamment. Siège de la Toilet Board Coalition, la Suisse
semble être particulièrement impliquée dans le projet peu ragoûtant de
la « toilet economy »…
Il y a un peu plus de deux ans de cela, l’ONG Foodwatch défrayait la
chronique en révélant quelques uns des « ingrédients cachés » de la
nourriture industrielle française. Et la presse de pointer la présence
de résidus et autres sécrétions d’insectes dans les bonbons, les glaces, les sodas… et ce, notamment dans certains produits commercialisés par Danone et Nestlé.
De fait, il semblerait bien qu’aujourd’hui, l’emploi d’insectes ait vocation à se généraliser
dans nos productions agroalimentaires. C’est ce que la prestigieuse
École polytechnique de Zurich (EPFZ) appelle, dans un jargon d’affaires
un peu comique, les « insect value chains ».
Au cœur de cette « révolution alimentaire », un certain Alexander Mathys, ancien chargé de projets chez Nestlé et aujourd’hui professeur assistant à l’EPFZ, dont il dirige une unité consacrée à « l’agroalimentaire durable ».
Le Prof. Mathys a ainsi été récompensé cette année par la société d’agroalimentaire Kellogg pour ses travaux sur « l’utilisation efficiente de larves dans la production d’aliments pour animaux sûrs et plus durables. » Une offre destinée à l’élevage de poules, par exemple…
Le site de l’EPFZ précisant que les
chenilles en question (larves de mouches soldats noires) peuvent en
réalité aussi bien être utilisées comme nourriture pour animaux (feed) que pour servir de base à l’alimentation humaine(food).
Une idée qui ne date pas d’hier ! Car en 2013 déjà, une
mini-opération marketing avait été lancée en Autriche pour vanter la
comestibilité de ces insectes à haute teneur protéinique.
Or, voilà que, de façon inattendue, l’égérie de cette campagne publicitaire reconnaissait elle-même que le goût de ses productions culinaires n’avait rien de très attrayant…
Pourquoi alors avoir choisi précisément de cultiver ce type de larves
plutôt que d’autres mieux adaptées à la consommation humaine – tels que
les vers à farine, par exemple ? Car ceux-ci ne sont pas seulement extrêmement faciles à cultiver, mais également déjà autorisés à la vente en Suisse ! Par ailleurs, une étude de l’Université d’Oxford
a récemment démontré (sans grande surprise) que ces protéines de
mouches (!) présentaient de médiocres caractéristiques nutritionnelles
pour les humains… Pourquoi alors persévérer dans cette voie ?
Les lecteurs les plus intuitifs ont sans doute déjà deviné la réponse…
La coprophagie comme avantage compétitif imbattable
Dès 2010, un étudiant de l’EPFZ expliquait dans sa thèse de doctorat :
« La technologie de traitement des déchets organiques utilisant
les larves de mouches soldats noires (hermetia illucens) ouvrent la voie
à une option économiquement viable […] L’alimentation
[des larves] réduit jusqu’à 80% de la biomasse des déchets organiques
tels que les restes de marché/cuisine, le fumier animal ou même les excréments humains. »
Le doctorant en question, un certain Stefan Diener, n’allait pas
tarder à rejoindre l’Institut fédéral des sciences et technologies de
l’eau (EAWAG), où il allait notamment travailler sur des questions liées
aux « boues fécales »… et au « compostage à l’aide de mouches soldats noires » ! Car il est de fait,que pour l’EAWAG les mouches soldats noires peuvent être nourries « de manière appropriée » avec des « excréments humains » et autres détritus provenant de « fosses septiques »…
En juillet 2018, Stefan Diener allait ainsi cosigner un article
scientifique avec le Prof. Mathys portant, précisément sur cette
thématique du « traitement des déchets à l’aide de mouches soldats
noires »… Le texte précisant que les « excréments humains » faisaient
partie de « l’alimentation naturelle » des mouches soldats noirs – et qu’ils permettaient de maximiser la production de protéines des larves en question.
Et voilà que dès le mois suivant, le Prof. Mathys faisait breveter ses méthodes innovantes pour tuer les insectes « de manière éthique » avant des les transformer en aliments. (« Anesthésier les insectes par refroidissement, puis les couper, ce qui détruit leur système nerveux ».)
Étant donné l’intérêt persistant de l’EPFZ pour ces nouvelles
techniques « alimentaires », on devine que l’élevage de poules n’est pas
la seule activité qui pourrait bénéficier (financièrement) de la
culture de larves coprophages… Ce type de protéines n’aurait-il pas, en
effet, vocation à être employé dans la fabrication de viande synthétique ? Il se trouve en effet que Micarna, la filiale du groupe Migros chargée de développer des produits à base de viande synthétique, est membre du réseau Swiss Food Research, qui s’intéresse tout particulièrement à l’emploi d’insectes « comme source de protéines ».
Or, pour développer son offre de « protéines saines », le Swiss Food
Research fait bel et bien appel aux compétences scientifiques… du Prof.
Mathys de l’EPFZ !
Se pourrait-il alors que la future viande synthétique
« végane » des supermarchés suisses ait vocation à être produite à base
de chenilles broyées – elles-mêmes nourries aux excréments humains ?
Le pharmacologue néerlandais Mark Post, qui a co-fondé la société Mosa Meat en 2013, travaille depuis plusieurs années avec les supermarchés Coop au développement d’assortiments de viande synthétique, destinés au public suisse. Avec l’objectif assumé de supprimer totalement la viande naturelle du marché…
Il nous faut encore souligner ici le fait qu’Alexander Mathys
travaille avec Nestlé depuis une bonne dizaine d’années déjà – et qu’ils
ont développé ensemble la quasi-totalité des brevets de son institut « d’agroalimentaire durable ».
Mais au fait, que viennent faire les algues dans tout cela ?
Des algues saines et véganes cultivées avec… l’eau des égouts ?
Avant tout, précisons que l’EAWAG – qui propose de cultiver des
larves de mouches soldats noires en les nourrissant d’excréments – est
l’un des « partenaires-clés » de la Swiss Food & Nutrition Valley, lancée par Nestlé en janvier dernier.
Précisons enfin que la chlorella, la « micro-algue » dont le Prof. Mathys (EPFZ) souhaite développer l’exploitation à des fins alimentaires, peut être cultivée en utilisant exclusivement de l’urine humaine. De fait, diverses études ont été conduites à ce propos au cours des dernières années, avec des résultats visiblement très probants.
Il est ainsi passablement troublant de constater qu’Alver, une start-up issue de Nestlé et qui collabore justement avec l’EPFZ, commercialise déjà divers produits « véganes » et « détox » à base de chlorella.
N’y a-t-il pas quelque raison de supposer que les protéines de synthèse
avec lesquelles cette société fabrique ses « pâtes véganes » et autres
« barres de protéines » (en attendant les « steaks » et autres
« muesli »), ont été cultivées avec l’eau des égouts ?
Une chose est certaine. C’est que le Prof. Mathys a participé à une récente étude vantant les qualités nutritives de la poudre de chlorella commercialisée par Alver – celle-ci pouvant servir à créer des « analogues de viande »…
On notera d’ailleurs que la « Golden Chlorella » produite par Alver se présente sous la forme « d’une poudre jaunâtre et sans goût ».
Or, il se trouve justement qu’un autre membre de la Swiss Food &
Nutrition Valley, le parfumeur Firmenich, propose précisément de rendre
les protéines végétales « délicieuses » – en y ajoutant des arômes
« naturels »… avec la possibilité, par exemple, de donner un goût de « bœuf légèrement grillé » à des « analogues de viandes » créés à base de « protéines végétales » !
Se pourrait-il alors que Firmenich ambitionne de donner bon goût à des algues insipides cultivées à l’urine humaine ?…
Amélie Paul rencontre Ghis. Dr. Guylain Lanctôt : Le malade ne devrait pas être au service du système de santé mais le système de santé au service du malade (28 août 2020)
Auteur de : La Mafia médicale - Comment s'en sortir en vie et retrouver santé et prospérité, 2002
* * *
Pr. Peter Gotzsche, Physicien et épidémiologiste, dénonce l'industrie pharmaceutique (2017)
Il y a deux ans (en 2015), j'ai découvert que nos prescriptions de médicaments étaient la troisième cause de mortalité après l'autisme et le cancer. Nos médicaments tuent environ 200 000 personnes chaque année aux Etats-Unis [soit autant sinon davantage que la Covid-19 chaque année], et la moitié de ces personnes meurent en suivant ce que leur dit leur médecin.
« Cet ouvrage va provoquer un orage, car il apporte des preuves détaillées démontrant que le pouvoir d’intimidation de l'industrie pharmaceutique est colossal, ce qui explique la gravité des dégâts infligés partout. » Fernand Turcotte, médecin et traducteur
Description
Dans cet ouvrage révolutionnaire, Peter C. Gøtzsche lève le voile sur les comportements frauduleux de l’industrie pharmaceutique dans les domaines de la recherche et de la commercialisation et sur son mépris moralement répugnant pour la vie humaine. L’auteur établit des rapprochements convaincants entre l’industrie pharmaceutique et l’industrie du tabac et révèle l’extraordinaire vérité derrière les efforts déployés pour semer la confusion et détourner l’attention du public et des politiciens.
Le livre du Dr Gøtzsche a remporté le premier prix dans la catégorie « Basis of Medicine » en 2014 présenté par la British Medical Association. Il a également reçu un prix de la Société internationale de psychologie éthique et psychiatrie.
Le coronavirus est-il beaucoup plus mortel que le virus de la grippe ? Il ne semble pas. L’estimation à 3,4% de l’OMS est largement exagérée. La Corée du Sud a parfaitement fait face à la situation et elle a été leader pour le nombre de tests par habitant. Le taux officiel de mortalité n’est que de 0,9% et il doit être encore plus faible en réalité car nombre de gens atteints souffrent de symptômes bénins et n’ont pas été testés.
Big Pharma, Les labos tout puissants (Arte, septembre 2020)
Documentaire de Claire Lasko et Luc Hermann (France, 2018, 1h28mn)
Plus riches et plus puissantes que jamais, les firmes pharmaceutiques orientent la recherche et le remboursement des soins. Enquête sur une industrie hors de contrôle, dont les intérêts ne coïncident pas toujours avec les impératifs de santé publique.
On les surnomme les "Big Pharma" : à eux seuls, les suisses Novartis et Roche, les américains Pfizer et Johnson & Johnson, et le français Sanofi contrôlent la majeure partie de la fabrication de médicaments. Pour conserver leur monopole, ces grands laboratoires minimiseraient, voire occulteraient, certains effets indésirables causés par leurs produits.
En Europe, la Dépakine, un antiépileptique responsable de malformations congénitales et de troubles neurodéveloppementaux chez des enfants exposés in utero, est au cœur d’un retentissant scandale. Soupçonné d’avoir tardé à alerter les autorités sanitaires et les consommateurs sur ces risques pourtant connus, Sanofi a été mis en examen pour "tromperie aggravée", "blessures involontaires" et "homicides involontaires".
Aux États-Unis, où la crise des opioïdes fait des ravages (plus de cent morts par jour), les multinationales pharmaceutiques sont accusées d’avoir encouragé la prescription massive de ces antidouleurs en dissimulant leur caractère hautement addictif.
En 2019, Johnson & Johnson a ainsi été condamné à payer 572 millions de dollars à l’État d’Oklahoma pour avoir mis en danger la vie de ses citoyens.
Alors que l’industrie pharmaceutique bénéficie largement des innovations de la recherche publique, les prix des médicaments atteignent des sommets : facturé 84 000 dollars aux États-Unis, où la tarification n’est pas encadrée, le traitement contre l’hépatite C coûte 24 000 euros en France, quand la nouvelle thérapie génique contre la leucémie commercialisée par Novartis avoisine les 300 000 euros.
Entre intense lobbying et ententes illicites, les laboratoires déploient d’efficaces stratégies pour préserver leurs exclusivités, à l’instar du même Novartis, qui est parvenu à imposer sur le marché un médicament contre la DMLA (dégénérescence maculaire liée à l’âge) quarante fois plus coûteux que son concurrent.
Le 9 septembre 2020, Novartis, Roche et Genentech ont ainsi été condamnés par l’Autorité française de la concurrence à payer 445 millions d’euros pour pratiques abusives dans le traitement de la DMLA.
Source : Arte
Big Pharma - Entretien avec Luc Hermann (Arte, septembre 2020)
L’industrie pharmaceutique tisse la toile de son pouvoir à travers le monde entier. Sa politique de contrôle et d’inflation des prix place les systèmes de santé publics en grande difficulté. La récente condamnation des laboratoires Roche, Novartis et Genentech envoie un signal encourageant pour l’avenir de la santé publique. Émilie Aubry s'entretient avec Luc Hermann, réalisateur du documentaire "Big Pharma, labos tout-puissants".
Big pharma, labos tout-puissants (France Culture, La Fabrique Médiatique, 12 septembre 2020)
Big Pharma, c’est le titre d’un documentaire de grande qualité qui sera diffusé mardi prochain sur Arte, et qui a pour objet l’un des plus puissants lobbys économiques de la planète, à savoir l’industrie pharmaceutique. Alors que les plus grands laboratoires mondiaux, le géant français Sanofi, les Suisses Novartis et Roche et les Américains Johnson & Johnson, Pfizer ou Gilead se battent aujourd’hui pour trouver un traitement et un vaccin contre le Coronavirus. Cette enquête éclairante, réalisée avant la crise sanitaire du moment, fruit d’un an de travail, fait froid dans le dos et jette un pavé dans la mare de la politique de santé publique. Luc Hermann, réalisateur.
La situation a encore beaucoup empiré depuis 2017, au point que l'on peut se poser la question si un tel reportage de la RTS (voir plus bas) serait encore possible aujourd'hui (probablement pas).
Bill Gates est maintenant le premier donateur de l'OMS (certains salariés sont payés directement par la Fondation Bill Gates, de nombreux lobbyistes ont infiltrés l'Organisation, le directeur lui-même, Tedros Adhanom Ghebreyesus, qui n'est pas plus médecin que Bill Gates, a été élu avec le soutien de la Fondation Gates). GAVI (L'Alliance pour le Vaccin) est le second donateur de l'OMS (créé par la Fondation Gates dont il est aussi le premier donateur) et a obtenu un statut équivalent à la BRI (Banque des Règlements Internationaux) de la part de la Confédération helvétique (aucun impôts, immunité juridique totale de l'Organisation et de ses membres).
Le fondateur de Microsoft Bill Gates lors d'une assemblée au siège de l'OMS, à Genève. [Anja Niedringhaus - Keystone]
Le financement de l'Organisation mondiale de la santé (OMS) soulève de plus en plus de questions. Les dons représentent une part toujours plus importante du budget, influençant les priorités de l'organisation.
Avec ses 7000 collaborateurs dans le monde entier, l'OMS dirige et coordonne la santé mondiale, avec à sa disposition un budget annuel de 2,4 milliards de francs.
Depuis 1990, son budget a quasi triplé, alors que les cotisations des Etats membres – dont l'OMS peut disposer librement – sont restées stables. Ce sont en fait les dons qui ont explosé. Il s'agit de financements liés à des projets précis ou des causes spécifiques. Ces sommes sont versées par des gouvernements, des fondations privées ou des entreprises.
80% du budget provient de dons
Alors que les cotisations des pays membres représentaient 80% du budget dans les années 1970, le rapport s'est aujourd'hui complètement inversé. En 2016, près de 80% du budget total de l'OMS provient des dons, soit 1,7 milliards de francs.
En 2016, ceux qui ont donné le plus à l'OMS sur une base volontaire sont les Etats-Unis (plus de 310 millions de francs), la fondation Bill & Melinda Gates (280 millions), puis la Grande-Bretagne (près de 140 millions de francs).
En quatrième position se trouve GAVI Alliance (près de 55 millions de francs), dont le principal financeur est la Fondation Bill & Melinda Gates. Suivent avec plus de 50 millions de francs de dons: le Japon, le National philantropic trust et le Rotary International. Cette dernière association est également financée en partie par la Fondation Bill & Melinda Gates.
Sur les trois dernières marches du top 10 figurent, avec près de 50 millions de dons, la Commission européenne, le Fonds central d'intervention d'urgence et l'Allemagne.
Questions de dépendance
Ce type de financement soulève des questions, notamment de dépendance de l'Organisation vis-à-vis de ses bailleurs de fonds. Or, dans ce top 10, il y en a un qui crispe beaucoup: Bill Gates. C'est l'homme le plus riche de la Terre. Il pèse 86 milliards de francs. Depuis 2008, le fondateur de Microsoft est devenu philanthrope, au sein de sa gigantesque fondation.
La position dominante de cette dernière interroge. Antoine Flahault, directeur de l'Institut de Santé Globale de la Faculté de Médecine à l'Université de Genève, craint que l'institution ne devienne un instrument pour servir les intérêts de ces donateurs privés. "Si un jour on éradique la polio de la planète, on pourra le devoir en grande partie à la Fondation Bill Gates. En revanche, l'OMS est moins libre, parce que les dons vont orienter la politique là où le donateur souhaite l'orienter, puisqu'il donne pour une cause. Il ne donne pas pour l'OMS".
37 cas de polio notifiés en 2016
Ainsi, la directrice de l'organisation Health innovation in practice (HIP), Nicoletta Dentico, souligne le fait que certains départements de l'OMS sont presque entièrement financés par la Fondation Bill & Melinda Gates. "Cela a inévitablement un impact. Pas forcément sur ce que dit l'OMS, mais plutôt sur ce que l'OMS décide de ne pas dire".
L'exemple le plus frappant est la lutte pour éradiquer la polio, cheval de bataille de Bill Gates. Il s'agit du programme de l'OMS dont le budget pour l'exercice 2016-2017 est le plus élevé, avec une enveloppe de 870 millions de francs pour les deux ans.
Selon les chiffres de l'OMS, seuls 37 cas de polio ont été notifiés en 2016, tandis que 1,1 million de personnes sont décédées d'une cause liée au VIH dans le monde, par exemple.
Depuis que l'OMS s'est fixée l'objectif d'éradiquer la polio, le nombre des cas a diminué de plus de 99%, évitant la paralysie à plus de 16 millions de personnes.
Pas de débat public
Pour Jean-Marie Kindermans, président de l'Agence Européenne pour le Développement et la Santé (AEDES), éradiquer la polio est certes un objectif de santé publique qui peut être envisagé, mais qui mobilise des ressources financières et humaines conséquentes. "Le gros problème est comment cette allocation de ressources est décidée, sans débat public, au regard d'autres priorités". On peut donc se poser la question de la pertinence de l'investissement pour éradiquer la polio par rapport à la lutte contre d'autres maladies.
Pour Jean-Marie Kindermans, l'enveloppe budgétaire de l'OMS devrait bénéficier à d'autres maladies qui tuent beaucoup plus à l'heure actuelle, et qui justifient d'être prioritaires, comme la tuberculose, le VIH, l'hépatite C, ou d'autres maladies négligées comme le paludisme, ou simplement les infections pulmonaires aiguës et les diarrhées de l'enfant.
L'Organisation mondiale estime de son côté que Bill Gates a le mérite de pallier un financement insuffisant de la part des Etats membres, comme l'affirme Gaudenz Silberschmidt, directeur ad interim de la mobilisation de ressources coordonnées à l'OMS: "S'il ne faisait pas ce travail, cela poserait un plus grand problème." Et le fait qu'il soit "relativement dominant", comme deux trois acteurs étatiques, est "un risque qu'on doit gérer et qu'on gère activement".
Pourquoi l'irrigation nasale ? [Prévention]
Comme l'a noté Amy Baxter, les chercheurs ont découvert que la charge virale du SRAS-CoV-2 a tendance à être plus forte dans les sinus et la cavité nasale. Il est donc logique de rincer régulièrement vos sinus car cela contribuerait à éliminer l'agent pathogène et l'empêcherait de s'installer et de migrer dans vos poumons. (...) Comment irriguer vos sinus [Infection]
Amy Baxter suggère d'irriguer vos sinus chaque fois que vous avez été exposé à une personne infectée ou que vous avez été testé positif au COVID-19. Elle recommande de rincer vos sinus le matin en utilisant un mélange d'eau tiède bouillie (235 ml) et de povidone iodée (une demi-cuillère à café). Il a été démontré que la povidone iodée (...) inactive rapidement le SRAS-CoV, le MERS-CoV, le virus de la grippe A H1N1 et le rotavirus après 15 secondes d'exposition. (...)
Le soir, Amy Baxter recommande de rincer à nouveau vos sinus avec un mélange de :
235 ml d'eau bouillie tiède
0,5 cuillère à café de bicarbonate de soude
1 cuillère à café de sel fin Se gargariser peut également s'avérer utile
Extrait de : L'irrigation nasale est-elle plus importante que le lavage des mains ?, 14 juillet 2020, Mercola
Pot (neti) en céramique pour l'irrigation nasale
* * *
Donc, si on vous dit que l’hydroxychloroquine ne fonctionne pas, posez donc la question : pour quels patients ? Est-ce que ce ne fonctionne pas chez ceux qui viennent de commencer à avoir des symptômes, ou bien ceux qui sont à un stade de la maladie nécessitant une d’hospitalisation
La deuxième chose à savoir est que la plupart des patients à faible risque survivent sans traitement. Les patients à faible risque peuvent être décrits comme : vous avez moins de 60 ans et que vous n’avez pas de maladies chroniques comme le diabète, l’obésité, l’hypertension, de traitement antérieur du cancer, de problème immunitaire, etc. Ceux à haut risque : vous avez plus de 60 ans ou que vous souffrez d’une ou de plusieurs de ces maladies chroniques. Les patients à haut risque ont besoin d’un traitement immédiat lorsqu’ils présentent leurs premiers symptômes.
Extrait de : L’hydroxychloroquine agit chez les patients à haut risque, et dire le contraire est dangereux, par le Pr Harvey Risch, Yale School of Medecine, 12 août 2020, France Soir
La Fondation Gates a fait une contribution financière de 750 millions de dollars pour fonder Gavi en 1999. La Fondation est un partenaire clé de Gavi dans la formation de marchés pour les vaccins. (Gavi) (...)
Bill Gates finance donc « la plus grande initiative de développement de vaccins », la CEPI, et une myriade d’autres sociétés et institutions impliquées dans le développement de vaccins, il finance également la formation de marchés pour les vaccins (Gavi), il investit dans les sociétés pharmaceutiques qui profitent de la vente de vaccins, et à titre de donateur privé numéro un et deux (Gavi) de l’OMS, il est dans une position idéale pour influencer les politiques mondiales de santé publique du genre « vaccinons la planète ».
Ce beau modèle philanthropique d’intégration verticale nous amène à la question suivante : l’OMS agit-elle en fonction des intérêts de ses donateurs ou dans l’intérêt des peuples ?
L’ancienne directrice de l’OMS Margaret Chan, a répondu à cette question en entrevue au New York Times en 2014 : Q: Quel rôle le financement joue-t-il dans la réponse de l’OMS aux éclosions? R: Mon budget est largement affecté, il est donc motivé par ce que j’appelle les intérêts des donateurs.
Dans cet ouvrage révolutionnaire, Peter C. Gøtzsche lève le voile sur les comportements frauduleux de l’industrie pharmaceutique dans les domaines de la recherche et de la commercialisation et sur son mépris moralement répugnant pour la vie humaine. L’auteur établit des rapprochements convaincants entre l’industrie pharmaceutique et l’industrie du tabac et révèle l’extraordinaire vérité derrière les efforts déployés pour semer la confusion et détourner l’attention du public et des politiciens.
Le livre du Dr Gøtzsche a remporté le premier prix dans la catégorie « Basis of Medicine » en 2014 présenté par la British Medical Association. Il a également reçu un prix de la Société internationale de psychologie éthique et psychiatrie.
Quatrième de couverture Pr Peter C. Gatzsche, Remèdes mortels et crime organisé. Comment l'industrie pharmaceutique a corrompu les services de santé, éd. PUL, 2019
Joseph Tritto, Covid-19, La Chimère qui a changé le monde
Le 17 avril 2020, sur Cnews, le professeur Luc Montagnier, Prix Nobel de médecine en 2008 pour sa participation à la découverte du virus responsable du sida, confirmait sa déclaration que le SARS-CoV-2 est une fabrication humaine.
Ce virus aurait été fabriqué en laboratoire à partir du virus du sida (VIH). « Nous en sommes arrivés à la conclusion qu’il y a eu une manipulation sur ce virus. Une partie, je ne dis pas le total. Il y a un modèle qui est le virus classique, mais auquel on a ajouté par-dessus des séquences du VIH ». (...) « La chimère qui a changé le monde : covid-19 vient de Wuhan » par Joseph Tritto
Ce livre paru récemment en Italie arrive aux mêmes conclusions, relançant certainement le débat qui intéresse le monde entier car pour l’instant la doxa, c’est son « origine naturelle », même si les autorités américaines ont déclaré être attentives aux nouvelles informations. (...)
Joseph Tritto son auteur, est un Italien à la carrière médicale et universitaire internationale. Il est microchirurgien, expert en biotechnologie et nanotechnologie et président de la WABT (Académie mondiale des sciences et technologies biomédicales). « La chimère qui a changé le monde », est destiné à provoquer un débat mondial, car l’ouvrage montre, avec des preuves scientifiques, que le coronavirus SARS-Cov-2 responsable de la Covid-19 était le résultat d’une ingénierie de laboratoire. En l’occurrence, le laboratoire de haute sécurité de Wuhan.
Extrait de : Covid-19 : l'origine du virus - L'analyse du Pr Tritto confirme celle du Pr Montagnier, 13 août 2020, France Soir
* * *
Pas de progression exponentielle en Suède
En Suède, non confinée, la progression initiale de l’épidémie n’a pas été exponentielle, mais linéaire, totalement contraire aux prédictions des articles de Nature et du rapport 9 de Ferguson, et là aussi les hôpitaux, pourtant mis à mal par des politiques permanentes de restriction budgétaire depuis près de vingt ans, ont pu faire face aux besoins sans difficultés majeures. (...)
Le confinement a augmenté le risque d'infection en Belgique
Cette augmentation du rythme des contaminations par le confinement aveugle rappelle que la seule mesure préventive prouvée d’une épidémie à transmission inter humaine sans traitement connu est la séparation des malades des sujets sains le temps que les premiers ne soient plus contagieux, (la quarantaine).
Extrait de : NatureGate et la fable du confinement aveugle, 12 août 2020, France Soir
* * *
Suite de la série Les fous du masque
France. Obligation du port du masque pour pratiquer un sport à l'extérieur [!] (Sud radio, 3 août 2020)
Espagne. Après l'obligation du port du masque dans la rue, l'interdiction de fumer dans la rue [!] (CNews 14 août 2020)