Il commence ses études supérieures à l'Université de Montréal, obtient un doctorat de 3e cycle en 1971 à l'Université Paris-X Nanterre sous la direction de Clémence Ramnoux, puis un doctorat d'État en 1985 toujours à l'Université Paris-X Nanterre sous la direction de Clémence Ramnoux. Attaché de recherche du CNRS en 1974, est Chargé de recherche en 1981, et devient directeur de recherche en 1986 au Centre Jean Pépin. Il est spécialiste de philosophie antique, particulièrement de Platon. Luc Brisson est l'auteur de nombreuses publications consacrées à Platon et à la philosophie antique; il est également l'un des principaux collaborateurs de l'entreprise de traduction et de présentation des œuvres de Platon aux éditions GF Flammarion, et dirige avec Jean-François Pradeau la traduction des œuvres de Plotin chez le même éditeur.
Source (et suite) du texte : wikipedia
Bibliographie (en français) :
- Le même et l'autre dans la structure ontologique du Timée de Platon, ed. Klincksieck, 1974
- Le mythe de Tirésias, Essai d'analyse structurale, Ed. Brill, 1976
- Platon, les mots et les mythes, Ed. La Découverte, 1982
- Inventer l'univers, avec F. Walter Meyersteint, Ed. Les Belles Lettres, 1991.
- Orphée et l'Orphisme dans l'antiquité gréco-romaine, Ed. Aldershot, 1995.
- Puissance et limites de la raison, avec F. Walter Meyerstein, Ed. Les Belles lettres, 1995.
- Vocabulaire de Platon, avec Jean-François Pradeau, Ed. Ellipse, 1998.
- Lectures de Platon. Paris, J. Vrin, 2000.
- Platon, les formes intelligibles, avec Jean-François Pradeau, Ed. PUF, 2001
- Le sexe incertain, Androgynie et hermaphrodisme dans l'Antiquité grecque (2003), Ed Les Belles Lettres, 2008.
- Introduction à la philosophie du mythe, tome 1, Sauver les mythes (1996), Ed. Vrin, 2005
- Dictionnaire Platon, avec J.-F. Pradeau, Ed. ellipses, 2007
Bibliographie analytique sur Platon :
- Platon 1958-1975 / 1975-1980 / 1980-1985 / 1990-1995 (Ed. Vrin, 1999) / 1995-2000 (Ed. Vrin, 2007).
Traductions de Platon :
- Lettres, Paris, Flammarion, 1987.
- Phèdre, 6e éd., Suivi de : La pharmacie de Platon de Jacques Derrida. Paris, Flammarion, (1989) 2004
- Apologie de Socrate, Criton, 3e éd., Paris, Flammarion, (1997) 2005.
- Timée. Critias, 2e éd. Paris, Flammarion, (1992) 1995.
- Parménide, 2e éd. Paris, Flammarion, (1995) 1999.
- Banquet, 4e éd., Paris, Flammarion, (1999) 2005.
- Politique, en collaboration, Paris, Flammarion, 2003.
- Lois. Deux tomes (Livres I à VI et Livres VII à XII) avec Jean-François Pradeau. Paris, Flammarion, 2006.
- Oeuvres complètes, en collaboration, Paris, Flammarion, 2204 p., 2011.
Traductions de Plotin :
- Traités 27-29, Paris, Flammarion, 2005
- Traités 42-44, Paris, Flammarion, 2007.
- Traité sur les nombre, Ennéade VI 4, en collaboration, Ed. Vrin, 1980
- Traités 1-6, en collaboration, Paris, Flammarion, 2002.
- Traités 7-21, en collaboration, Paris, Flammarion, 2003
- Traités 22-26, en collaboration, Paris Flammarion, 2004
- Traités 51-54, avec Porphyre, Vie de Plotin, en collaboration, Paris, Flammarion, 2010
Autres traductions :
Porphyre, la Vie de Plotin, deux tomes, en collaboration, Ed. Vrin, 1982, 1992
Porphyre, Sentences, Ed. Vrin, 2005.
Jamblique, Vie de Pythagore, Ed. Les Belles Lettres, (1996) 2011
Diogène Laerce, Vies et Doctrines des Philosophes illustres, en collaboration, Ed. Le Livre de Poche, 1999.
Longin, Fragments et Art rhétorique, en collaboration, Ed. Les Belles Lettres, 2001.
Calcidius, Commentaire au Timée de Platon, t.I, en collaboration, Ed. Vrin, 2011.
Pour les articles (voir encarté en bas de page) :
CV et Publications complètes (Livres, Articles, ...) : CNRS (PDF)
- Dictionnaire Platon, avec J.-F. Pradeau, Ed. ellipses, 2007
Bibliographie analytique sur Platon :
- Platon 1958-1975 / 1975-1980 / 1980-1985 / 1990-1995 (Ed. Vrin, 1999) / 1995-2000 (Ed. Vrin, 2007).
Traductions de Platon :
- Lettres, Paris, Flammarion, 1987.
- Phèdre, 6e éd., Suivi de : La pharmacie de Platon de Jacques Derrida. Paris, Flammarion, (1989) 2004
- Apologie de Socrate, Criton, 3e éd., Paris, Flammarion, (1997) 2005.
- Timée. Critias, 2e éd. Paris, Flammarion, (1992) 1995.
- Parménide, 2e éd. Paris, Flammarion, (1995) 1999.
- Banquet, 4e éd., Paris, Flammarion, (1999) 2005.
- Politique, en collaboration, Paris, Flammarion, 2003.
- Lois. Deux tomes (Livres I à VI et Livres VII à XII) avec Jean-François Pradeau. Paris, Flammarion, 2006.
- Oeuvres complètes, en collaboration, Paris, Flammarion, 2204 p., 2011.
Traductions de Plotin :
- Traités 27-29, Paris, Flammarion, 2005
- Traités 42-44, Paris, Flammarion, 2007.
- Traité sur les nombre, Ennéade VI 4, en collaboration, Ed. Vrin, 1980
- Traités 1-6, en collaboration, Paris, Flammarion, 2002.
- Traités 7-21, en collaboration, Paris, Flammarion, 2003
- Traités 22-26, en collaboration, Paris Flammarion, 2004
- Traités 51-54, avec Porphyre, Vie de Plotin, en collaboration, Paris, Flammarion, 2010
Autres traductions :
Porphyre, la Vie de Plotin, deux tomes, en collaboration, Ed. Vrin, 1982, 1992
Porphyre, Sentences, Ed. Vrin, 2005.
Jamblique, Vie de Pythagore, Ed. Les Belles Lettres, (1996) 2011
Diogène Laerce, Vies et Doctrines des Philosophes illustres, en collaboration, Ed. Le Livre de Poche, 1999.
Longin, Fragments et Art rhétorique, en collaboration, Ed. Les Belles Lettres, 2001.
Calcidius, Commentaire au Timée de Platon, t.I, en collaboration, Ed. Vrin, 2011.
Pour les articles (voir encarté en bas de page) :
CV et Publications complètes (Livres, Articles, ...) : CNRS (PDF)
En ligne sur France Culture (Les Nouveaux Chemins de la Connaissance) :
Les Ennéades de Plotin : Au commencement était l'Un, 10 septembre 2012 :
Ecouter aussi : des mythes et des dieux, la mythologie platonicienne, 3 juillet 2012
Connaitre l'univers, c'est l'inventer. Certes, cette proposition hardie peut déconcerter à une époque comme la nôtre, qui a été le témoin d'une si prodigieuse accumulation de connaissances scientifiques; la remarquable théorie mathématique que la science contemporaine propose pour expliquer l'univers semble même la démentir d'entrée de jeu. Et pourtant, une étude attentive de ces modèles cosmologiques que sont le Timée de Platon et le modèle Big Bang standard montre à l'évidence que cette connaissance que nous appelons "scientifique" se fonde en dernière instance sur des propositions irréductibles et indémontrables, pures inventions de l'esprit humain, retenues seulement en faisant appel à cet argument opératoire : "ça fonctionne".
Devant cet état de fait, la spéculation philosophique semble n'avoir trouvé que deux issues : ou bien elle postule le saut vers le non-rationnel, en posant l'"axiome qui justifie tous les axiomes", ou bien elle constate ses propres limites, mais, ce faisant, elle risque de tomber dans l'absurde, car, poussée inlassablement par u appétit de comprendre, par une nostalgie de l'absolu, elle ne peut qu'essayer sans cesse de ré-inventer l'univers, tout en ayant une conscience lucide des limites indépassables inhérentes à cette démarche. (...)
Extrait de : Inventer l'univers (Introduction). Ouvrage épuisé.
La complexité fixe des limites étroites à la raison elle-même, dans la mesure où elle exige que la taille de complexité des conclusions recherchées ne dépasse pas celle des axiomes postulés. Par là, la possibilité de trouver des axiomes évidents, sur lesquels fonder des conclusions complexes, s’amenuise et disparaît en fait. En outre, puisqu'ils n'arrivent pas à traduire en un langage symbolique, donnant prise au nombre et à la mesure, les idées et les concepts qu'ils utilisent sans une perte d'information presque totale, les philosophes ne peuvent jamais évaluer la taille de complexité et des axiomes qu'ils posent et des conclusions auxquelles ils parviennent. Ils tâtonnent dans les ténèbres, puisqu'ils ne sont pas en mesure de déterminer si la déduction qu'ils développent est valide ou non. (...)
Dans ce livre, nous avons montré où se situaient les limites de la raison. Mais est-il possible de montrer que, en dépit de ces limites, la raison reste assez puissante pour garantir aux hommes une autonomie qui lui permette de se déterminer lui-même, sans qu'intervienne la peur, suscitée par l'usage de la force sous toutes ses forme ou incitée par diverses pressions morales ? Peut-être pas, mais une chose est claire. Seul cet usage de la raison, promue au premier rang par la philosophie pendant vingt-cinq siècles en Occident, a jusqu'ici permis et permet encore de prendre conscience du caractère injustifié et injustifiable d'un certain nombre de propositions mises en avant par la religion, par la science et par les grands moyens de communication, qui en sont les relais, pour modifier le comportement de l'être humain.
Extrait de : Puissance et limites de la raison (Conclusion). Ouvrage épuisé
Interview (extrait) :
- Comment vous situez-vous par rapport aux précédentes entreprises de traduction complète de Platon ? Celle des Belles-Lettres et celle de La Pléiade ?
- Luc Brisson : Je suis un admirateur de mes prédécesseurs, même si je peux les critiquer – et j’espère qu’on me critiquera aussi.
Les deux entreprises sont très différentes. Les Belles-Lettres ont commencé ce travail dans les années vingt et l’ont achevé dans les années soixante. Ce qui caractérise ces traductions est qu’elles correspondent parfaitement au découpage universitaire : les premiers dialogues ont été traduits par des agrégés de lettres classiques, tandis que les autres l’ont été par des agrégés de philosophie. Je pense que les premiers dialogues méritent mieux que ça. Leur traduction est très belle d’un point de vue littéraire, mais il y a beaucoup plus à tirer de ces dialogues que ce que l’on peut trouver dans ces traductions. Les derniers dialogues sont très dépendants de l’agrégation de philosophie de l’époque où la philosophie française dominait, mêlant néo-cartésianisme et néo-kantisme. Les limites de ces traductions tiennent donc à ce qu’elles sont très rattachées à une époque : les introductions par exemple sont faites pour des gens qui connaissaient la littérature allemande du XIXe siècle, mais aujourd'hui ce sont les commentaires écrits en anglais qui dominent et dont il faut tenir compte.
La traduction de La Pléiade a été menée par Léon Robin et Joseph Moreau dans les années cinquante. Pour des spécialistes comme moi, ces traductions sont merveilleuses : quand on a le texte grec devant les yeux, on s’aperçoit qu’il ne manque rien à ces traductions, et qu’elles ont un souci de rendre compte de tous les mots. Le problème, c’est ce que cela ne représente à mon avis qu’une partie du travail du traducteur. J’avais beaucoup insisté pendant les vingt ans où nous avions traduits les textes de Platon en GF sur le fait que le traducteur doit comprendre le grec, mais que cela ne suffit pas : ce que le traducteur comprend, il doit le faire comprendre à la personne qui se tient devant lui. Dans les années 50 en Europe, peut-être sous l’influence de Heidegger ou de certains poètes sophistiqués, on se souciait peu de la communication. Les traductions de Robin et Moreau, admirables lorsqu'il s'agit de comprendre le grec, restent difficiles à lire pour les étudiants. La phrase est trop heurtée, la langue correspond à un français de moins en moins accessible.
Le souci de la traduction entreprise a en GF a donc été de rester fidèle au texte grec, mais en se faisant comprendre d’entrée de jeu par le lecteur, certains passages des dialogues de Platon conservant une grande complexité. Les notes sont importantes aussi, dans la mesure où auparavant le grec, le latin et l’histoire antique faisaient partie de l’éducation de base et où aujourd’hui certaines choses doivent être expliquées. Alors que les GF sont destinés à des lecteurs qui travaillent sur les textes, cette édition est davantage prévue pour une lecture rapide, les index et les annexes des deux cent dernières pages permettant d’apporter les informations utiles à la compréhension, sur des éléments de mythologie et d’histoire par exemple.
Source (et suite) du texte : nonfiction
Les Ennéades de Plotin : Au commencement était l'Un, 10 septembre 2012 :
Ecouter aussi : des mythes et des dieux, la mythologie platonicienne, 3 juillet 2012
Connaitre l'univers, c'est l'inventer. Certes, cette proposition hardie peut déconcerter à une époque comme la nôtre, qui a été le témoin d'une si prodigieuse accumulation de connaissances scientifiques; la remarquable théorie mathématique que la science contemporaine propose pour expliquer l'univers semble même la démentir d'entrée de jeu. Et pourtant, une étude attentive de ces modèles cosmologiques que sont le Timée de Platon et le modèle Big Bang standard montre à l'évidence que cette connaissance que nous appelons "scientifique" se fonde en dernière instance sur des propositions irréductibles et indémontrables, pures inventions de l'esprit humain, retenues seulement en faisant appel à cet argument opératoire : "ça fonctionne".
Devant cet état de fait, la spéculation philosophique semble n'avoir trouvé que deux issues : ou bien elle postule le saut vers le non-rationnel, en posant l'"axiome qui justifie tous les axiomes", ou bien elle constate ses propres limites, mais, ce faisant, elle risque de tomber dans l'absurde, car, poussée inlassablement par u appétit de comprendre, par une nostalgie de l'absolu, elle ne peut qu'essayer sans cesse de ré-inventer l'univers, tout en ayant une conscience lucide des limites indépassables inhérentes à cette démarche. (...)
Extrait de : Inventer l'univers (Introduction). Ouvrage épuisé.
La complexité fixe des limites étroites à la raison elle-même, dans la mesure où elle exige que la taille de complexité des conclusions recherchées ne dépasse pas celle des axiomes postulés. Par là, la possibilité de trouver des axiomes évidents, sur lesquels fonder des conclusions complexes, s’amenuise et disparaît en fait. En outre, puisqu'ils n'arrivent pas à traduire en un langage symbolique, donnant prise au nombre et à la mesure, les idées et les concepts qu'ils utilisent sans une perte d'information presque totale, les philosophes ne peuvent jamais évaluer la taille de complexité et des axiomes qu'ils posent et des conclusions auxquelles ils parviennent. Ils tâtonnent dans les ténèbres, puisqu'ils ne sont pas en mesure de déterminer si la déduction qu'ils développent est valide ou non. (...)
Dans ce livre, nous avons montré où se situaient les limites de la raison. Mais est-il possible de montrer que, en dépit de ces limites, la raison reste assez puissante pour garantir aux hommes une autonomie qui lui permette de se déterminer lui-même, sans qu'intervienne la peur, suscitée par l'usage de la force sous toutes ses forme ou incitée par diverses pressions morales ? Peut-être pas, mais une chose est claire. Seul cet usage de la raison, promue au premier rang par la philosophie pendant vingt-cinq siècles en Occident, a jusqu'ici permis et permet encore de prendre conscience du caractère injustifié et injustifiable d'un certain nombre de propositions mises en avant par la religion, par la science et par les grands moyens de communication, qui en sont les relais, pour modifier le comportement de l'être humain.
Extrait de : Puissance et limites de la raison (Conclusion). Ouvrage épuisé
Interview (extrait) :
- Comment vous situez-vous par rapport aux précédentes entreprises de traduction complète de Platon ? Celle des Belles-Lettres et celle de La Pléiade ?
- Luc Brisson : Je suis un admirateur de mes prédécesseurs, même si je peux les critiquer – et j’espère qu’on me critiquera aussi.
Les deux entreprises sont très différentes. Les Belles-Lettres ont commencé ce travail dans les années vingt et l’ont achevé dans les années soixante. Ce qui caractérise ces traductions est qu’elles correspondent parfaitement au découpage universitaire : les premiers dialogues ont été traduits par des agrégés de lettres classiques, tandis que les autres l’ont été par des agrégés de philosophie. Je pense que les premiers dialogues méritent mieux que ça. Leur traduction est très belle d’un point de vue littéraire, mais il y a beaucoup plus à tirer de ces dialogues que ce que l’on peut trouver dans ces traductions. Les derniers dialogues sont très dépendants de l’agrégation de philosophie de l’époque où la philosophie française dominait, mêlant néo-cartésianisme et néo-kantisme. Les limites de ces traductions tiennent donc à ce qu’elles sont très rattachées à une époque : les introductions par exemple sont faites pour des gens qui connaissaient la littérature allemande du XIXe siècle, mais aujourd'hui ce sont les commentaires écrits en anglais qui dominent et dont il faut tenir compte.
La traduction de La Pléiade a été menée par Léon Robin et Joseph Moreau dans les années cinquante. Pour des spécialistes comme moi, ces traductions sont merveilleuses : quand on a le texte grec devant les yeux, on s’aperçoit qu’il ne manque rien à ces traductions, et qu’elles ont un souci de rendre compte de tous les mots. Le problème, c’est ce que cela ne représente à mon avis qu’une partie du travail du traducteur. J’avais beaucoup insisté pendant les vingt ans où nous avions traduits les textes de Platon en GF sur le fait que le traducteur doit comprendre le grec, mais que cela ne suffit pas : ce que le traducteur comprend, il doit le faire comprendre à la personne qui se tient devant lui. Dans les années 50 en Europe, peut-être sous l’influence de Heidegger ou de certains poètes sophistiqués, on se souciait peu de la communication. Les traductions de Robin et Moreau, admirables lorsqu'il s'agit de comprendre le grec, restent difficiles à lire pour les étudiants. La phrase est trop heurtée, la langue correspond à un français de moins en moins accessible.
Le souci de la traduction entreprise a en GF a donc été de rester fidèle au texte grec, mais en se faisant comprendre d’entrée de jeu par le lecteur, certains passages des dialogues de Platon conservant une grande complexité. Les notes sont importantes aussi, dans la mesure où auparavant le grec, le latin et l’histoire antique faisaient partie de l’éducation de base et où aujourd’hui certaines choses doivent être expliquées. Alors que les GF sont destinés à des lecteurs qui travaillent sur les textes, cette édition est davantage prévue pour une lecture rapide, les index et les annexes des deux cent dernières pages permettant d’apporter les informations utiles à la compréhension, sur des éléments de mythologie et d’histoire par exemple.
Source (et suite) du texte : nonfiction
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