Kémi Séba critique le mouvement Black Lives Matter (MediapacTV, 27 juin 2020)
Kemi Séba, Black Lives Matter c'est l'instrumentalisation néolibérale de la cause noire (BBC, 25 juin 2020)
Lire aussi : Black Lives Matter : comment les globalistes manipulent la question raciale par Pierre-Antoine Plaquevent, 7 juillet 2020, Strategika
Kémi Séba sur la pseudo fin du Franc CFA (22 mai 2020)
Kemi Seba, Mes expulsions reflètent toutes les tares de la France Afrique (mars 2020)
Chaine Youtube : Kemi Séba
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476 - 1375 : Au-delà du désert | Les routes de l'esclavage Partie 1
Domination, violence, profit : le système criminel de l’esclavage a marqué l’histoire du monde et de l’humanité. Au fil de ses routes, cette série documentaire retrace pour la première fois la tragédie des traites négrières. Captivant et implacable. Premier volet : de la chute de Rome en 476 à la fin du XIVe siècle.
Après la chute de Rome en 476, les peuples (Wisigoths, Ostrogoths, Berbères, Slaves, Byzantins, Nubiens et Arabes) se disputent les ruines de l’Empire. Tous pratiquent l’asservissement – "esclave" viendrait du mot "slave". Mais au VIIe siècle émerge un Empire arabe. Au rythme de ses conquêtes se tisse, entre l’Afrique et le Moyen-Orient, un immense réseau de traite d’esclaves, dont la demande ne cesse de croître et qui converge vers Bagdad, nouveau centre du monde. Après la révolte des Zanj – des esclaves africains –, qui s’achève dans un bain de sang, le trafic se redéploie vers l’intérieur du continent. Deux grandes cités commerciales et marchés aux esclaves s’imposent : Le Caire au nord, et Tombouctou au sud, place forte de l’Empire du Mali d’où partent les caravanes. Au fil des siècles, les populations subsahariennes deviennent la principale "matière première" de ce trafic criminel.
Source du texte : Arte
Suite (partie, 2, 3, 4) : Les routes de l'esclavage Youtube
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