Hydrofoil Surf Heaven in Hawaii (nov. 2019)
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Ema Krusi, Masques et solution (24 juillet 2020)
Chaîne Youtube : Ema Krusi
Nouveau coronavirus : masques
Juin 2020 - OFSP (Office Fédéral de la Santé Publique), Confédération helvétique
(...) Masque obligatoire dans les transports publics
Les personnes de plus de 12 ans doivent porter un masque dans tous les transports publics. Ceci inclut les trains, les trams, les bus, les chemins de fer de montagne, les télécabines et les bateaux. Pour ces derniers, les ponts extérieurs sont aussi concernés. Les téléskis et les télésièges sont exemptés de l’obligation.
Les enfants de moins de 12 ans ne sont pas obligés de porter un masque. L’obligation ne s’applique pas non plus aux personnes qui ne peuvent pas porter de masque pour des raisons spécifiques, notamment médicales. Ceci comprend les blessures au visage, les grandes difficultés respiratoires, les angoisses en cas de port d’un masque ou les handicaps divers empêchant d’en porter un. Le personnel des transports publics peut retirer son masque pour communiquer avec des personnes malentendantes.
(...) Les masques ne sont obligatoires qu’à l’intérieur des moyens de transport. Vous n’êtes donc pas obligés d’en porter dans les gares, sur les quais ou aux arrêts. Cependant, si vous ne pouvez pas garder la distance de 1,5 mètres avec les autres personnes à ces endroits, vous devriez porter un masque.
En revanche, les espaces de restauration dans les transports publics ne sont pas concernés par l’obligation. Vous n’avez pas non plus besoin de porter un masque si vous prenez un petit en-cas dans les transports publics.
Sinon vous pouvez aussi opter pour ce type de masque :
Manger avec le masque (23 juin 2020)
Le port du masque sera obligatoire dans tous les commerces du canton de Genève. La mesure, qui entre en vigueur mardi, a été annoncée ce vendredi par le Conseil d’Etat.
Extrait de : À Genève, masques obligatoires dans les magasins dès mardi, 24 juillet 2020, RadioLac
Pr Philippe Parola, A quoi servent les masques ? (IHU, 24 juillet 2020)
Le port du masque est essentiel pour les soignants, pour se protéger et pour les patients contagieux [pour protéger autrui]. Il peut tout-à-fait se comprendre en pleine période épidémique dans les lieux clôt, métros [transports en communs], rassemblements, associé au lavage des mains, (...)
Est-ce qu'il m'est possible de convaincre les gens de son utilité aujourd'hui ?
NON, parce que nous ne sommes pas en phase épidémique et je n'ai pas les arguments [scientifiques] pour le faire.
Lire aussi : Efficacité de l’hydroxychloroquine confirmée dans l’étude des données de l’essai clinique de l’Université du Minnesota (Boulware), 24 juillet 2020, France Soir / La clé pour vaincre la COVID-19 existe déjà. Nous devons commencer à l'utiliser [Harvey Risch, MD, PhD, professeur d'épidémiologie à la célèbre université de Yale], 24 juillet 2020, France Soir / Et si Didier Raoult avait raison ? Traiter et laisser prescrire, 24 juillet 2020, France Soir /
(MAJ 26) Gilead : Vingt et un milliards de raisons de discréditer l'hydroxychloroquine, par James M. Todaro, 26 juillet 2020, Anthropo-logique
Remarque :
Autrement dit l'obligation de porter le masque est une décision politique (tout comme l'ont été le confinement aveugle et la fermeture des écoles) et non une mesure nécessaire du point de vue épidémiologique.
Maître Carlo Alberto Brusa, avocat. Les masques de la honte, encore des abus de pouvoir (21 juillet 2020)
Maître Carlo Alberto Brusa, avocat à la cour de Paris et président de l’association Reaction19 justifie dans ce document l’illégalité des amendes pour « défaut du port du masque » précisant que « Toutes verbalisations effectuées par un policier, un gendarme ou toute autre personne habilitée par la loi sont ainsi entachées d’une illégalité manifeste, ainsi que d’un abus de pouvoir. »
Extrait de : L’avocat Me Brusa établit l’ILLÉGALITÉ des amendes pour « non port du masque », 24 juillet 2020, CovidInfo / Attestation à télécharger (PDF)
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Slobodan Despot, Antipress 243. Où il est question de bals masqués sans générique de fin, de gestion du bétail humain, ... (24 juillet 2020)
Site Internet : Antipress
Site Internet : Antipress
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Un couvre-visage plus symbolique que sanitaire
Par David Vachon, Doctorant en philosophie à l’Université de Montréal, 24 juillet 2020 - Le devoir
«Le masque permet d’entretenir un état anxiogène de peur, justifiant des mesures liberticides que plusieurs jugent disproportionnées», pense l'auteur.
Depuis son imposition par le gouvernement dans tous les lieux publics fermés le 18 juillet 2020, le masque est devenu un intense sujet de débat. Dans une lettre du 21 juillet publiée dans Le Devoir, Pierre Sévigny nous présente un cas d’école de la rhétorique pro-masque. En effet, la question est réglée d’un seul carreau tiré : on insulte les « dissidents » en les présentant en proie au delirium et on établit une analogie douteuse avec le tabagisme. Nous démontrerons dans cet article les biais méthodologiques de cette position, notamment la psychiatrisation systématique des esprits critiques, la reductio ad mortem et la vacuité abyssale de tout argument rationnel.
Au premier cours de philosophie au niveau collégial, Philosophie et rationalité, nos élèves apprennent les différentes stratégies rhétoriques utilisées par les sophistes. Tout en haut de la liste des sophismes, nous présentons généralement « l’attaque ad hominem », c’est-à-dire la stratégie par laquelle, pour faire l’économie des arguments, le protagoniste insulte et diffame le tenant d’une opinion.
De nos jours, les sophistes sont légion et ils monopolisent généralement le débat public. Cela est particulièrement visible avec la « crise sanitaire » actuelle. En effet, le sophiste se glose d’une rhétorique injurieuse contre ceux qui osent avancer une opinion divergente, en les stigmatisant comme des conspirationnistes, des sans-cœur qui se fichent des personnes fragiles, des oligophrènes ignorant les vertus de la science, ou, simplement, des fous. Toutefois, l’attaque contre une personne est toujours le signe d’un manque d’honnêteté intellectuelle et d’une absence d’arguments valables.
Le refus de la mort
L’argument de M. Sévigny se déploie ainsi : la COVID-19 est une maladie mortelle, or il faut tout faire pour éviter la mort des gens. Ainsi, puisque le masque diminue les chances de propager le virus, il faut donc rendre obligatoire le port du masque pour l’ensemble de la population. D’un point de vue logique, l’argument se tient. Toutefois, nous considérons que les trois prémisses sont problématiques et ne vont aucunement de soi. D’abord, le taux de létalité du virus semble avoir été surestimé. De plus, les études divergent quant à la réelle efficacité du masque pour protéger les individus.
Or, ce qui nous intéresse ici est la seconde prémisse : tout faire pour éviter la mort des gens. Comme l’affirme d’ailleurs le philosophe français André Comte-Sponville (« L’Écho », 27 mai 2020), notre rapport à la mort a radicalement changé depuis une ou deux générations. Nous nous souvenons de l’année 1969 non pas pour le confinement et les masques, mais plutôt pour le gigantesque festival Woodstock et pour l’amour libre des hippies — antithèse radicale de la distanciation. Pourtant, le nombre de morts au niveau mondial a dépassé le million lors de la grippe de Hong Kong. Idem pour la grippe asiatique la décennie précédente.
M. Sévigny compare le port du masque obligatoire à l’interdiction de fumer dans les espaces publics. Puisque les deux mesures coercitives gouvernementales ont pour vertu de « sauver des vies », le recours à l’argument de la liberté individuelle serait vide de sens. Pourtant, nous pourrions bien dire, étant donné par exemple que l’influenza tue plus d’un demi-million de personnes par année dans le monde, que le masque devrait être obligatoire chaque année pendant l’hiver, ainsi qu’un confinement général et une fermeture des commerces entre les mois de décembre et de février. Et pourquoi ne pas fermer tous les fast-food de la planète et obliger la population à faire 30 minutes de jogging par jour ? Cela permettrait de limiter plusieurs maladies dues à une mauvaise alimentation et à un mode de vie sédentaire, sauvant ainsi de nombreuses vies.
La réponse à ces questions est évidente : la liberté individuelle. Notre modèle politique est fondé sur le respect de la liberté individuelle, considérée comme un droit inaliénable. La rhétorique émotivo-sentimentale de la « peur de la mort » n’est que charlatanisme et arnaque intellectuelle. […]
Une question sanitaire ?
Nous entendons régulièrement les gens dire : Pourquoi imposer le port du masque au mois de juillet et non pas plutôt en mars ? Pourquoi n’importe quel masque, peu importe son efficacité, est-il toléré ? Ces questions, fort légitimes a priori, sont généralement laissées sans réponse. Pourquoi ? Parce que le port du masque obligatoire n’est pas une question sanitaire, mais plutôt symbolique. En effet, la raison pour laquelle c’est uniquement le port du couvre-visage qui importe, et non son efficacité, est que le masque sert principalement de symbole de réminiscence constante que nous sommes en période de pandémie. Ainsi, le masque permet d’entretenir un état anxiogène de peur, justifiant des mesures liberticides que plusieurs jugent disproportionnées.
Si le nombre de décès et de cas ayant justifié la normalisation du couvre-visage sont actuellement si bas, qu’est-ce qui nous permettra de l’enlever ? Si on applique un tel décret en plein été, quand retournerons-nous à la normale ? Devrons-nous porter ad vitam aeternam ce satané chiffon au visage ? Est-ce vraiment ce visage glauque et sinistre que nous désirons proposer aux prochaines générations ? Bref, devons-nous réellement museler la vie pour mieux sauver la mort ? Le questionnement et la pensée critique sont toujours un signe de santé, non de folie.
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(MAJ 26) Commission d'enquête extraparlementaire du Covid-19 par un collectif de médecin allemand regroupant plus de 2000 professionnels de santé (VOSTFR) (3 juillet 2020) - Transcript français (PDF)
Pourquoi la commission d'enquête extra-parlementaire sur la Corona est-elle nécessaire ?
Parce que nous avons affaire à un manque de proportionnalité.
Site internet : ACU2020
Chaîne YouTube : ACU2020
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Les sciences à l’épreuve de la pandémie
Par Wolf Linder, professeur émérite de sciences politiques à l'Université de Berne. Membre du Conseil suisse de la science de 2012 à 2019.
26 juin 2020 - Infoserber / Domaine Publique (trad.)
Dans le processus décisionnel de gestion de la crise liée au Covid-19, quid du rôle des scientifiques ?
Bien sûr la gestion de la pandémie par le Conseil fédéral peut susciter de nombreuses critiques à propos notamment de sa réaction tardive malgré les avertissements des épidémiologistes, de l’isolement auquel furent condamnés les résidents des EMS ou d’un confinement qui a provoqué des dégâts économiques de quelques centaines de milliards.
Toutefois le gouvernement n’a fait que suivre l’exemple de la plupart des pays européens, mais selon des modalités typiquement helvétiques: un interventionnisme modéré, ni trop précoce ni trop tardif, mais cohérent et finalement assez efficace.
On ne pouvait s’attendre de l’exécutif à ce qu’il suive l’exemple plus risqué de la Suède. La Suisse est trop proche de l’Italie du Nord, foyer de l’épidémie, et le Conseil fédéral ne dispose pas de cette assurance politique qui permet aux Scandinaves d’agir à contre-courant.
Le gouvernement s’est vu contraint de prendre des décisions dans une situation de totale incertitude. Seuls les épidémiologistes et les virologues semblaient disposer des connaissances nécessaires. Un peu à l’image du petit nombre de pilotes de la Royal Air Force qui, en gagnant la bataille d’Angleterre en 1940, sauvèrent leur pays de l’invasion allemande.
Effectivement les scientifiques ont détecté très tôt les deux principaux risques du Covid-19: sa possible extension pandémique et son taux de mortalité plus élevé que celui des virus connus de la grippe. Alertées par ces spécialistes, les autorités ont procédé quotidiennement au relevé du nombre de personnes testées positives et de décès, des chiffres diffusés en continu par les services officiels et les médias.
Deux indicateurs erronés
En tant que chercheur en sciences sociales, je fus pourtant dès le début consterné: «Comment pouvait-on effrayer la moitié de la planète en diffusant deux indicateurs totalement erronés?» En effet, la statistique additionnait aussi bien les décès «à cause» du virus que ceux «avec» le virus.
La comparaison avec le nombre de décès dans l’ensemble de la population durant une période de grippe sévère – la surmortalité – n’aurait-il pas constitué un indicateur peut-être moins spectaculaire mais beaucoup plus fiable?
Plus trompeur encore le fait de présenter le nombre des testés positifs comme un indicateur de la progression de la pandémie. Ces données mesurent plutôt le nombre de tests effectués que celui des personnes infectées, du moins aussi longtemps qu’augmente le nombre de tests et que le choix des sujets testés ne se fait pas de manière aléatoire.
Comment deux indicateurs erronés ont-ils pu conduire à déclarer la Suisse en «situation extraordinaire»? Ma première explication est politique.
En bas de page la suite du texte suivi de :
- Lettre ouverte du Dr. Zürcher au Parlement Suisse
À la mi-mars, après que le parlement se soit mis hors jeu, le Conseil fédéral a assumé seul la responsabilité de toutes les mesures à prendre. En situation de complète incertitude, les chiffres croissants d’«infectés» et de «morts» impressionnent plus que toutes les paroles. Si les autorités les avaient mises en doute, cela aurait désécurisé l’opinion et affaibli l’application des mesures prises.
Dès lors la véracité des chiffres quant à la gravité de la pandémie perdait de l’importance. Et c’est ainsi que des scientifiques d’autres disciplines, surtout des économistes et des juristes critiques, n’ont pas fait le poids face aux épidémiologistes et virologues.
Sciences dures, sciences molles
Ces derniers ont maîtrisé la définition du problème pandémique non seulement au début du processus, mais également tout au long de la gestion de la crise. Ce qui renforça une idée aussi ancienne que fausse, à savoir que seule «la» science trouve «la» réponse adéquate aux questions nouvelles.
C’est une raison rarement évoquée et interne à la science qui explique la quasi-absence de critique de ces indicateurs erronés de la part de beaucoup de spécialistes. On sait que la recherche clinique travaille avec un concept de représentativité différent de celui des sciences sociales.
Pour les cliniciens appelés à expliquer les effets thérapeutiques d’un nouveau médicament sur une maladie rare, la prise en compte de l’ensemble de la population n’est pas pertinente. Un échantillon d’individus présentant les caractéristiques des porteurs de cette maladie leur suffit.
Il en va tout autrement dans les sciences sociales. Ainsi dans une étude électorale, il est indispensable d’examiner également le comportement des abstentionnistes pour obtenir des résultats utiles. Alors que les épidémiologistes, pour autant que je puisse en juger, ont travaillé avec le modèle de représentativité des cliniciens, à savoir le petit groupe qui a eu accès au test de dépistage.
Dès lors, l’appel à tester et à tester encore n’aurait rien changé à la qualité limitée de leurs prévisions. Comme l’ont fait remarquer des économistes, surtout, les épidémies sont des phénomènes sociétaux dont l’analyse exige un échantillon représentatif de l’ensemble de la population.
Des voix critiques peu audibles
Il y a encore un autre problème. Parler «des» épidémiologistes est inexact, car les questions des causes de la mort par le Covid-19, de la surmortalité ou de l’extension de la pandémie, ont donné lieu à des controverses animées entre experts, controverses qu’on a pu suivre quotidiennement sur le web. Mais les voix dissidentes, en Suisse comme dans la plupart des pays, n’ont eu que peu d’écho auprès des autorités pour les raisons politiques que nous avons évoquées.
Par contre, que les médias dominants, au plus fort de la crise, aient tu ou minimisé les voix critiques s’avère problématique. Les comptes-rendus unilatéraux et la tentative de cataloguer ces voix comme des «théoriciens du complot» sont inexcusables. Ces pratiques violent les principes journalistiques de l’indépendance et de la présentation équilibrée des points de vue.
Pour résoudre ces problèmes de réception sélective et de communication unilatérale, peut-être faudrait-il imaginer des conseils consultatifs interdisciplinaires permettant le débat contradictoire?
Incertitudes et limites du savoir
«Quand la science est-elle politiquement pertinente?» D’anciennes études de cas ont permis au politologue Dieter Freiburghaus d’élaborer en 1985 des thèses toujours d’actualité. Seules deux des quatre phases du processus de décision font une place à la recherche scientifique. En tout début, lorsqu’il s’agit de définir un problème nouveau et en toute fin, quand plus personne ne sait comment se dépêtrer d’un échec de la mise en œuvre.
Au cours de la deuxième phase, celle du développement des programmes, la voix des groupes d’intérêt prédomine. Et dans la phase de la décision politique, lorsque les conflits atteignent leur point culminant, les scientifiques doivent se mettre à l’abri, car leur avis sert de munition aux parties.
La crise du coronavirus a représenté une situation inhabituelle pour la science car cette dernière fut sollicitée directement pour les quatre phases du modèle décrit par Freiburghaus, phases qui se sont déroulées simultanément.
Les rapports entre science et politique en «situation exceptionnelle» se situent en terrain inconnu et doivent faire l’objet dorénavant de tout programme de recherche sur la pandémie du coronavirus. Le risque est considérable que les connaissances scientifiques soient utilisées politiquement et médiatiquement à des fins sans rapport avec l’objet de la recherche.
C’est pourquoi les scientifiques ne devraient oublier ni les limites de leur savoir ni le principe du «doute systématique» et les assumer face à l’opinion publique, même en «situation extraordinaire». Par contre la manière de se comporter face à des comptes-rendus médiatiques unilatéraux ne relève pas de la science, mais du courage civique.
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(MAJ 25)
Lettre ouverte adressée au Parlement suisse [par le Dr. Zürcher. Source : Anthropo-logique]
Ce que vous devez encore savoir MAINTENANT – aides actualisées pour la prise de décision
Projet de loi fédérale sur le Coronavirus mis en consultation par le Conseil fédéral
Lettre adressée aux Parlementaires fédéraux – Conseillères et Conseillers nationaux et aux États
Berne, le 22 juillet 2020
Avec le début de la session d’automne, il se pourrait bien que soit prise par le Parlement fédéral une décision lourde de conséquences pour le futur du peuple suisse.
Entre autres, le Conseil fédéral souhaite, pour le moment du moins, prolonger jusqu’en 2022 les mesures imposées par la loi d’urgence. Il est important de savoir que la période de consultation, normalement fixée à 3 mois, a été raccourcie à 3 semaines et cela dans une situation générale de peur, de doutes et d’inquiétude.
Notre monde a été complètement chamboulé en très peu de temps.
Nous nous sommes vus confrontés à une situation effectivement très difficile, pour vous aussi sans aucun doute.
Nous formons un groupe de médecins avisés et engagés ainsi que des personnes n’appartenant pas au milieu médical. Nous sommes extrêmement préoccupés et tenons par ce document à vous fournir en résumé, des informations pas encore ou insuffisamment connues provenant du domaine de la médecine et de la science, pour vous aider dans votre processus de prise de décision.
Au vu des conditions uniques auxquelles nous nous voyons actuellement confrontés, nous nous permettons de vous solliciter et de partager avec vous nos préoccupations, des informations importantes et questions y relatives.
Un grand merci pour le temps que vous voudrez bien prendre pour lire notre lettre ouverte !
1. Coronavirus en 2020 – une interprétation erronée ?
1.1 Le coronavirus 2020 n’est pas un nouveau phénomène, même si certaines séquences de l’ARN (à mutation rapide) sont nouvelles. Chaque hiver, des coronavirus provoquant des maladies infectieuses respiratoires affectent environs 15% de la population, cela sans que cela n’entraîne habituellement de bouleversements majeurs.
1.2 Les raisons pour lesquels les virus causant des refroidissements ne doivent pas nous effrayer sont les suivantes : d’une part nous disposons d’une immunité collective naturelle (ce qui est également le cas pour ce coronavirus); d’autre part nous avons à disposition des mesures de protection plus efficaces, plus rapides et plus simples que l’option du vaccin communément connue (voir aussi sous 1.12) ; des options rapidement applicables tant au niveau médical que thérapeutique, non spécifiques aux virus, mais également efficaces pour les malades souffrant de maladies virales.
1.3. Ensuite, au niveau médical, il y a des maladies de refroidissement virales bien plus significatives que les coronavirus – par exemple le virus de la grippe qui a lui a seul a causé en 2015 la mort de 2’500 patients en Suisse. Comment se portait la population suisse en 2015 et comment se trouve-t-elle aujourd’hui par rapport à 2015 ?
1.4. La science – a-t-elle été ici un combat perdu d’avance ? En 2020, la science s’est vue confrontée à beaucoup de difficultés en Suisse (réponses sans instruments de mesure adaptées – une situation sans précédent dans le secteur de la médecine en Suisse. Connaissances décontextualisées, affirmations sans vrai débat ou même : un savoir-faire sous censure ? Des résultats académiques anticipés et décrétés en mode top-down, depuis en-haut ?)
1.5. Défense contre les infections accrue – nous connaissons parfaitement les moyens efficaces et déterminants à disposition pour nous protéger (en autres une durée de sommeil suffisante (8,5 heures), la réduction du stress, la prise de vitamine C et D3). Ces informations n’ont, ni avant ni après l’apparition du coronavirus 2020, été mises en exergue ou appliquées.
1.6. Le port du masque hors de l’environnement chirurgical est manifestement malsain tant au niveau corporel que psychique (arythmie, problèmes de concentration et autres effets sur le cerveau, bactéries, virus et attaques fongique en augmentation). Il s’agit d’un matériel présentant un danger réel, avec des effets psychologiques et sociaux dommageables, dont le soi-disant effet protecteur est très éloigné des promesses officielles.
1.7. Comment est-il possible qu’il n’y ait pas d’autopsies en 2020 ni en Suisse, ni en Europe ? Cela crée des statistiques falsifiées sur les causes des décès, qui ne sont plus ni crédibles ni sérieuses. Même des victimes de la route, pour autant qu’elles soient reconnues positives, viennent à être comptées comme des décès suite à la Covid !
1.8. Il y a une somme de contradictions évidentes dans les mesures imposées comme : l’urgence du port du masque en termes de durée et la distance sociale en théorie et en pratique. On voit aussi l’utilisation erronée de certains termes techniques (par exemple le mot « pandémie »).
1.9. La vaccination -dont le principe est propagé dans les médias traditionnels- n’a pas encore été testée et sous la forme prévue restera durablement inscrite dans le génome de la personne vaccinée. Elle se retransmettra d’une génération à l’autre de façon permanente. Nous disposons de rapports sur des expériences faites avec cette nouvelle technologie qui datent du temps de la grippe porcine – enregistrant un nombre de décès nettement plus élevés.
Pouvons-nous accepter ce risque pour nos familles et pour la population ? Des possibilités moins couteuses et des alternatives réelles au vaccin telles que l’appliquent de nos jours déjà la Chine et la Russie (vaccin inactivé sans impact sur le génome) sont restées sans attention.
1.10. Le soi-disant « nombre de cas » constitue un exemple révélateur du manque de sérieux récemment apparu (p.ex. validation de tests, spécificité des tests et sensibilité, indications concernant la fréquence de tests réalisés, saisie et répartition entre malades et non-malades, répartition selon gravité des malades).
1.11. La 2ème vague : mise en scène par les médias et les autorités ? En tant que phénomène, la deuxième vague n’existe pas. Ce fait est connu par tous les médecins et scientifiques qui se basent sur les faits. La meilleure des solutions serait que nous nous préparions à affronter une vague continue – tel que cela a toujours été le cas durant les dernières années (justification voir sous 1.1) sans bouleversement particulier.
1.12. Une vaccination ne protège pas complètement. Tous les essais à ce jour, même ceux de longue date pour trouver un vaccin contre les virus de refroidissements ont démontré une protection lacunaire.
1.13. Les virus ne peuvent être éliminés – même avec un grand effort. Nous devons plutôt nous demander : de quel effort avons-nous besoin pour rester dans une proportion coûts-bénéfices raisonnable ?
2. Droit et démocratie
2.1. Nous pouvons en effet aisément mettre en évidence que le Conseil fédéral avait dès le début de la crise connaissance d’informations indépendantes de sources spécialisées qui non seulement ont clairement dédramatisé la situation au sujet de la Covid, mais également conseillé de suivre une procédure des petits pas ou attiré l’attention sur des thérapies efficaces pour les malades du Sars-CoV-2. Il est révélateur que toutes ces informations viennent de faire surface ces derniers jours, ce qui va conduire à une relativisation sérieuse de la « crise sanitaire ».
2.2. Au deuxième plan – et non en première place au niveau médical – une crise globale s’est formée causant dans un temps record d’énormes dommages.
2.3. Les principes du droit constitutionnel du peuple suisse ont été violentés de façon massive et cela tout à fait inutilement.
2.4. De façon discrète, il a été révélé publiquement que, justement durant la crise du Covid, le Conseil fédéral a conclu des accords de relations commerciales avec la Fondation Bill Gates.
2.5. Une résistance est en train de se rmer et de prendre de la force contre la politique « Covid » officiellement menée (voir point 4 « État de la nation, volonté populaire »).
2.6. Il est juridiquement controversé que certains cantons usent de la possibilité de dépasser les mesures d‘urgence imposées à tous les Cantons (juin 2020), ceci constituant certainement une violation supplémentaire de la loi fédérale.
3. Médias - liberté d’expression en temps de paix
3.1. Un déclin évident des médias a été observé durant la dernière décennie pour cause de difficultés financières – avec le coronavirus, une manne pour la presse devient soudainement disponible. Quelles en sont les raisons et les répercussions possibles ?
3.2. Censure 2020 : entre autres, les hôpitaux en Suisse n’ont pas eu la permission d’informer librement la population.
3.3. On a observé une abondance de reportages provoquant panique et excès d’angoisse - sans possibilité de se soustraire ou de prendre du recul face à cette influence et ceci sur plusieurs mois. Ce qui constitue une nouveauté dans notre paysage sociétal. Nous avons vu une influence massive déployée avec l’appui des médias ainsi que des nouvelles technologies.
3.4. Combines journalistiques : fidélité aux bailleurs de fonds démontrée par la désinformation (ou même la dissimulation) au sujet d’affirmations fausses, manque de prise en considération de la proportionnalité, de la diversité d’opinions, déformation des propos ainsi que stigmatisation (par exemple calomnie) en cas d’opinions ou de publications contraires à l’opinion officielle.
3.5. Appel au suivisme servile et à la délation. Sommes-nous en train de revenir en temps de guerre ou sous loi martiale ?
3.6. Certaines informations erronées et même exorbitantes ne sont pas corrigées, par exemple l’extrapolation des décès pour cause de la Covid (7%).
4. Etat de la nation et volonté populaire
4.1. Maintenant, 3 mois après introduction de l’arrêté du confinement, la plupart des gens se frottent les yeux. Les économistes sont tous d’accord qu’il va falloir entre 2 et 10 ans pour récupérer économiquement.
Bien des médecins se sont retrouvés avec les mains liées pendent le confinement. Un grand nombre d’interventions urgentes et de traitements nécessaires n’ont plus pu être assurés, au péril et au dommage des personnes malades. Les souffrances psychiques sont immenses, en particulier celles qui ont été imposés aux personnes âgées. Jamais encore n’avons-nous, médecins et thérapeutes, noté une telle augmentation du nombre de patients désespérés et effrayés, ou souffrant d’affections psychiques, ceci au sortir d’une période de 3 mois seulement.
4.2. Plus jamais de confinement- la population ne veut plus jamais devoir passer ainsi 3 mois. Les dégâts collatéraux dépassent toutes les craintes.
4.3. La perte de confiance est immense, tant est grande la divergence entre la présentation de la Covid d’une part et l’évidence médico-scientifique ainsi que la réalité des maladies apparues dans la population d’autre part.
4.4. Des premières plaintes pénales contre le Conseil fédéral ont été déposées.
4.5. Des groupes référendaires se sont formés contre la menace de la chronicisation larvée de la loi d'urgence.
4.6. Nous exigeons la constitution d’une commission d’enquête sur l’épidémie de Covid-19, indépendante, extra-parlementaire et interdisciplinaire.
5. Le parlement - une ressource corrective ?
5.1. La population et en train de se réveiller, elle se rend compte, que quelque chose ne va pas. Visiblement, la situation telle qu’elle nous est présentée n’est pas en adéquation avec la réalité ; elle est largement mensongère et impacte de manière violente le bien-être et le sentiment de sécurité de la population.
5.2. Nous vous exhortons à considérer le moment actuel comme une opportunité unique d’aider la population en Suisse et les familles à dépasser cette période d’anxiété et de dommages en posant les actions nécessaires pour que dans le futur, une situation de crise ne se déroule plus jamais de cette façon.
5.3. « Task-Forces » pétrie de liens d’intérêts, de compromissions, de consultations prédéterminées ou bien commission indépendante, paritaire, et interdisciplinaire ? S’il vous plaît empêchez dorénavant la formation de tels groupes de consultation ad hoc déséquilibrés, qui ne sont systémiquement pas en position de faire preuve de la responsabilité requise.
5.4. La liberté de la presse est un autre bien collectif qui doit être rétabli immédiatement. Pendant des situations de crise, la liberté d’expression doit être garantie. Notre démocratie est assez forte pour assurer cela !
5.5. En temps de crise, les chargés de communication du gouvernement ainsi que l’engagement ici clairement disproportionné de la police et des forces militaires doit dorénavant être soumis au contrôle du parlement.
5.6. La prise d’engagements au niveau international (cf. la nouvelle loi sur les épidémies, l’obligation de vacciner) ne doit pas violer notre droit constitutionnel fondamental ; une correction par le parlement s’impose donc absolument.
5.7. Nous venons de le vivre en 2020 : sous la menace de la chronicisation de la loi d’urgence, une future restriction de nos droits est hélas tout à fait envisageable. Allons-nous vers une Suisse sans droits politiques accordés au peuple ? Nous avons impérativement besoin de réglementations strictes à ce sujet.
5.8. En temps de crise, notre parlement doit à l’avenir être capable d’agir. Le printemps 2020 nous a bien montré combien peuvent être néfastes la privation de liberté et les atteintes aux droits démocratiques et ce que cela signifie de devoir se soumettre à l’impact concentré des forces gouvernementales et de la technologie. La reproduction d’une telle situation est inacceptable et doit dorénavant être soumise au strict contrôle du parlement.
5.9. Par l’acceptation de la décision du Conseil fédéral vous contribueriez à la perpétuation de la situation étatique insidieuse vécue pendant la Covid. La décision de ne pas entrer en matière, vous offre, cependant, la possibilité de reprendre votre travail en toute tranquillité, au service du bien commun.
5.10. Profitez donc maintenant de cette opportunité ! Nous avons tous beaucoup souffert, dans notre travail et notre qualité de vie, des restrictions imposés en 2020. Cela avec des conséquences très néfastes pour chacun et la communauté dans son ensemble. Saisissez sans tarder la chance qui vous est donnée de pouvoir contribuer au rétablissement d’une situation normale avec certaines améliorations.
5.11. Nous nous souhaitons une Suisse- au cœur de l’Europe – qui continue à être reconnue pour son rôle de précurseur tant pour sa fiabilité que pour son niveau de vie élevé. Nous en sommes tous fiers – contribuez à ce que cela redevienne normal.
5.12. Laissez-nous reprendre nos activités et notre vie courante.
5.13. Veillez à ce que le fonctionnement parlementaire soit rétabli sans restriction et sans délai et que la crise du coronavirus puisse être considérée comme une interprétation erronée dans le contexte de notre histoire. S’il vous plaît veillez à ce qu’une telle interprétation erronée, avec toutes ses conséquences, ne puisse plus jamais se reproduire !
6. Références principales actuelles
6.1.https://www.merkur.de/welt/coronavirus-impfstoff-virologe-streeck-zweite-welle-warnung-deutschland-massentests-drosten-streit-zr-13834907.html
6.2. https://www.tagesanzeiger.ch/das-coronavirus-scheint-weniger-gefaehrlich-als- gemeinhin- vermutet- 552799806256
Nous vous remercions cordialement d’avoir pris connaissance de ce qui précède tout en vous souhaitant plein de courage pour le travail qui vous attend !
Veuillez agréer, Mesdames et Messieurs, nos salutations distinguées.
Dr Zürcher.png
Schmerzspezialist SGSS, Neuraltherapie SANTH
FA Allgemeine Innere Medizin FMH,
Association Santé Suisse
Case postale 3161
3001 Berne
corona@ass-vgs.ch
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En France : Covid-19 laissons les médecins prescrire
En Allemagne : Commission d'Etude extra-parlementaire (regroupant un collectif de médecin) ACU2020
Conférence de ACU2020 (10 juillet 2020) - à partir de 8'35'' (Trad. Silvano Trotta, 25 juillet 2020)
Transcript en français : ACU2020
Chaine YouTube : ACU2020
C est saisissant ! les masques ne sont pas obligatoires dans les salles de cinéma. https://mobile.francetvinfo.fr/sante/maladie/coronavirus/masques-sanitaires/coronavirus-pourquoi-le-port-du-masque-n-est-il-pas-obligatoire-dans-les-salles-de-cinema_4052021.html#xtor=EPR-2-
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