vendredi 9 octobre 2020

Covid-19. Pour un retour au bon sens.

MAJ de la page : Coronavirus

Paganini Caprice No. 1. par Augustin Hadelich (janvier 2018) 

Ysaÿe Sonata No. 6 ("Manuel Quiroga") par Augustin Hadelich (octobre 2019)


Pablo de Sarasate: Spanish Dance, Op. 23, No. 2 "Zapateado" par Augustin Hadelich (mai 2010)

 
Pablo de Sarasate: Carmen Fantasy Op. 25. par Augustin Hadelich (octobre 2020)

Augustin Hadelich (né le 4 Avril, 1984) est un violoniste classique, Italien-germano-américain ayant obtenu un Grammy Award [1] (...)
En 1999, Augustin Hadelich a été blessé dans un incendie sur la ferme de sa famille en Italie et a été transporté par avion pour être soigné en Allemagne. [3] L'accident a laissé Hadelich incapable de jouer pendant plus d'un an. [5] "C'est peut-être à cause de cette expérience - parce que j'ai eu ce moment où je n'étais pas sûr de jouer à nouveau du violon - que j'apprécie davantage ce qui se passe dans ma vie. J'essaie vraiment de profiter de chaque instant Cela m'a fait réaliser à quel point la musique était importante pour moi », a commenté Hadelich.
Extrait de : Augustin Hadelich (wikipedia)
 
 
Félix Valloton, Le Violon (1896)

* * *

«  Le bon sens est la chose du monde la mieux partagée : car chacun pense en être si bien pourvu, que ceux même qui sont les plus difficiles à contenter en toute autre chose, n’ont point coutume d’en désirer plus qu’ils en ont. En quoi il n’est pas vraisemblable que tous se trompent ; mais plutôt cela témoigne que la puissance de bien juger, et distinguer le vrai d’avec le faux, qui est proprement ce qu’on nomme le bon sens ou la raison, est naturellement égale en tous les hommes ; et ainsi que la diversité de nos opinions ne vient pas de ce que les uns sont plus raisonnables que les autres, mais seulement de ce que nous conduisons nos pensées par diverses voies, et ne considérons pas les mêmes choses. » René Descartes, Discours de la méthode (1637)

Remarque
Le philosophe parle du bon sens ou de la raison comme capacité et non comme exercice. Car cette aptitude peut être mise en veille ou en sommeil (littéralement lorsque nous dormons), mais aussi entravée. Actuellement le bon sens est la chose du monde la moins bien partagée en raison d'un choc émotionnel collectif, et de mensonges répétés. 

Quand tout le monde vous ment en permanence, le résultat n’est pas que vous croyez ces mensonges, mais que plus personne ne croit plus rien. Un peuple qui ne peut plus rien croire ne peut se faire une opinion. Il est privé non seulement de sa capacité d’agir mais aussi de sa capacité de penser et de juger. Et avec un tel peuple vous pouvez faire ce qu’il vous plaît. Hannah Arendt (Entretien, 1974)

Recouvrer le bon sens consiste à prendre distance avec ce qui cause directement le problème (un emballement médiatique anxiogène), à laisser se dissoudre les émotions perturbatrices en recontactant ses sensations (à travers une activité corporelle ou artistique) et à faire le deuil d'une illusion. Celle d'un monde parfait où les gouvernements (mais aussi les organisations internationales) seraient forcément éclairés et bienveillants, et que, sinon, les médias joueraient leur rôle de contre pouvoir. Non pour tomber dans un excès inverse (en suivant un discours réellement complotiste) mais pour s'affranchir de tout préjugé, afin de retrouver une capacité de discernement et un sens critique. 


France. Une seconde vague impressionnante... 
de tests positifs (qui ne sont pas des malades).

Pour quelques cas de décès
(AVEC ou PAR le virus). 
Source : worldometers (9 octobre 2020)


Naissance de Votre Association (France) ! Bon sens (3 octobre 2020) 
Site internet : Bonsens.org / Adhérez ! 
Parmi les membres (avec des Vidéos plus bas dans la page) : Pr. Christian Perronne, épidémiologiste, Dr. Alexandra Henrion-Caude, généticienne, Dr. Martine Wonner, députée, Dr Gérard Guillaume, rhumatologue. 

Dans cette tribune, plus de 270 universitaires, scientifiques, professionnels de santé et juristes alertent sur les conséquences économiques et psychosociales de la gestion politico-sanitaire de la crise. Ils estiment que la prochaine catastrophe ne sera pas virale mais économique et sociale et qu’elle ne concernera pas les élites privilégiées mais des catégories sociales beaucoup plus vulnérables 

En conclusion, il faut bien comprendre que la crise de la Covid-19 n’est pas sanitaire, mais politique, et qu’aucune des mesures liberticides n’est fondée scientifiquement. Par contre, elle met en évidence la corruption complète du corps politique et de ses factotums médiatiques et scientifiques, et, plus particulièrement, leurs allégeances envers les puissances de l'argent et leur projet totalitaire. La crise constitue à la fois le symptôme de la faillite de la démocratie représentative, et le prodrome du retour d’une gouvernance uniquement respectueuse des droits du capital.
 
 
Suisse. Même topo.
(Echelle différente que pour la France).
Source : worldometers (9 octobre 2020)

Le silence ne sera pas le dernier refuge de la liberté[1]
Prenons la parole !
Nous, citoyens indépendants d’horizons différents, ne voulons pas d’une gouvernance liberticide et autoritaire, ni d’une société anxiogène et divisée.
Où est passée notre liberté ?
Nos gouvernements ont pris des mesures désastreuses pour nos libertés et notre démocratie:
Des millions de citoyens suisses voient leurs droits fondamentaux bafoués: la liberté de mouvement, de vivre sans peur, de mourir dignement et entouré des siens, de choisir de respirer sans masque, et tout simplement de vivre librement (réunions familiales, culture, sport, de rendre visite à ses aînés)[2]
Des centaines de milliers d’emplois sont menacés et des milliards de francs dépensés[3]
Des dizaines de milliers de personnes supplémentaires vivent dans la précarité [4]
Des nombreux jeunes sont déscolarisés et désocialisés[5]
Nos médias pratiquent une couverture alarmiste et biaisée, sans égard à toute proportionnalité[6] . Le débat est censuré ou jugé comme incivique, égoïste et complotiste[7]. Les sceptiques sont accusés de vouloir risquer la mort d’autrui.
Notre société se polarise[8] et le point de rupture approche dangereusement. La confiance envers nos gouvernements et nos médias, voire même entre concitoyens, faiblit, alors que l’anxiété, la dépression et les suicides augmentent[9].
La surenchère des mesures liberticides croît de jour en jour ; l’obligation de se masquer  se généralise, ainsi que le traçage et les menaces d’obligation de quarantaine collective, renforcée par des menaces d’amendes exorbitantes[10].
Nous voulons un avenir démocratique dicté par le bon sens
Tout glissement totalitaire[11] au nom du bien-commun est indéfendable dans une démocratie.
Nos libertés fondamentales sont bien trop précieuses pour être sacrifiées contre la promesse impossible du risque zéro.
Il en va de notre responsabilité individuelle de questionner, sans relâche, la proportionnalité de chaque atteinte à la liberté de tous.
Tous ensemble, gardons confiance!
Manifeste (et sources) : Tous.ch / Signez le manifeste !

1. La légitimation rétroactive des mesures est inadmissible.
2. Il deviendrait possible de rendre obligatoire la vaccination avec un vaccin génétique insuffisamment testé. 
3. Les mesures contre la pandémie ne doivent pas pouvoir être prolongées et étendues sans examen.
4. La "deuxième vague" est une projection erronée. 
5. La loi Covid-19 est superflue. Le Conseil fédérale pourrait très bien s'en passer. 
6. Il n'y a pas d'épidémie nécessitant une extension du droit d'urgence. 
7. Le Conseil fédéral s'arroge des pouvoirs extraordinaires qui n'ont pas lieu d'être. 
8. La légitimation rétroactive des mesures est inadmissible.
9. La gestion des crises contre l'avis du peuple ne fonctionne pas en Suisse. 
10. La loi fédérale d'urgence est un affront au peuple souverain. 


La Déclaration de Great Barrington

En tant qu’épidémiologistes des maladies infectieuses et scientifiques spécialisés en santé publique, nous sommes inquiets des impacts physiques et mentaux causés par les politiques actuelles contre le COVID-19 et nous recommandons une approche alternative que nous appelons Protection focalisée (Focused Protection). 
Que nous soyons de gauche ou de droite, et quel que soit notre pays d’origine, nous avons consacré nos carrières à la protection des populations. Les politiques actuelles de confinement produisent des effets désastreux sur la santé publique à court, moyen et long terme. Parmi les conséquences, on peut citer, entre autres, une baisse des taux de vaccination chez les enfants, une aggravation des cas de maladies cardio-vasculaires, une baisse des examens pour de possibles cancers ou encore une détérioration de la santé mentale en général. Cela va engendrer de grands excès de mortalité dans les années à venir, notamment dans la classe ouvrière et parmi les plus jeunes. Maintenir les écoliers en dehors de l’école est une grande injustice. 
Conserver ces mesures en attendant qu’un vaccin soit disponible causera des dégâts irréparables. Les couches sociales les moins favorisées seront les plus touchées. 
Heureusement, notre compréhension du virus s’améliore. Nous savons que la vulnérabilité à la mort par le COVID-19 est plus de mille fois plus haute parmi les personnes âgées et infirmes que chez les jeunes. En effet, pour les enfants, le COVID-19 est moins dangereux que bien d’autres maux, y compris la grippe. 
L’immunité grandissant dans la population, le risque d’infection baisse pour tout le monde, y compris les plus vulnérables. Nous savons que toutes les populations vont finir par atteindre l’immunité collective, c’est-à-dire le point où le nombre de nouvelles infections est stable, et que ce processus peut s’accompagner (sans pour autant dépendre) de l’existence d’un vaccin. Par conséquent, notre objectif devrait être de minimiser la mortalité et le mal fait à la société jusqu’à ce qu’on atteigne l’immunité collective. 
Une approche à la fois compassionnelle et prenant en compte les risques et les bénéfices consiste à autoriser celles et ceux qui ont le moins de risques de mourir du virus de vivre leurs vies normalement afin qu’ils fabriquent de l’immunité au travers d’infections naturelles tout en protégeant celles et ceux qui ont le plus de risques de mourir. Nous appelons cela la Protection Focalisée (Focused Protection). 
Le fait d’adopter des mesures pour protéger les plus vulnérables devrait être le but central des réponses de santé publique au COVID-19. A titre d’exemples, les résidences pour personnes âgées devraient être dotées de personnel qui a acquis l’immunité et qui réalise fréquemment des tests PCR pour les autres membres du personnel et les visiteurs. Par ailleurs, la rotation du personnel devrait être la plus faible possible. Les personnes retraitées qui vivent chez elles devraient se voir livrer leurs courses à domicile. Quand c’est possible, elles devraient rencontrer les proches en plein air plutôt qu’à l’intérieur. Une liste de mesure complète et détaillée, incluant des approches pour les foyers comprenant plusieurs générations, peut être mise en œuvre. C’est largement dans la capacité et les prérogatives des professionnels de la santé publique. 
Ceux qui ne sont pas vulnérables devraient immédiatement être autorisés à reprendre une vie normale. Des mesures d’hygiène simples, comme se laver les mains et rester chez soi si l’on est malade, devraient être pratiquées par chacun pour réduire le seuil de l’immunité collective. Les écoles et les universités devraient rouvrir pour des enseignements en présentiel. Les activités extrascolaires comme le sport devraient reprendre. Les jeunes adultes qui présentent peu de risques devraient travailler normalement plutôt que depuis chez eux. Les restaurants et les commerces devraient ouvrir. Les arts, la musique, le sport et les autres activités culturelles devraient reprendre. Les personnes qui présentent plus de risque peuvent participer si elles le souhaitent à ce processus tandis que la société dans son ensemble bénéficie de la protection ainsi conférée aux plus vulnérables par ceux qui ont construit l’immunité collective. 

Cette déclaration a été rédigée et signée le 4 octobre 2020 à Barrington, aux Etats-Unis, par : 
Le Dr. Martin Kulldorff, professeur de médecine à l’université Harvard, un biostatisticien et épidémiologiste spécialisé dans la détection et la surveillance du déclenchement des maladies infectieuses et l’évaluation de la sécurité des vaccins.
Le Dr. Sunetra Gupta, professeure à l’université d’Oxford, une épidémiologiste spécialisée en immunologie, dans le développement de vaccins et la modélisation mathématique des maladies infectieuses.
Le Dr. Jay Bhattacharya, professeur à l’Ecole Médicale de l’université de Stanford, un médecin, épidémiologiste, économiste de la santé et expert en santé publique spécialiste des maladies infectieuses et de leurs effets sur les populations vulnérables.
(Des dizaines de milliers de chercheurs dans le milieu de la santé et de médecins l'ont déjà signé ainsi que des centaines de milliers de citoyens du monde entier) 

Le royaume nordique, qui refuse le confinement et ne recommande pas le port du masque, affiche l’un des taux de contamination les plus faibles d’Europe.

* * *

Dans la série Les Fous du Masque :  


"Le masque m’empêchait de reprendre correctement ma respiration" raconte Lauranne : "Cela m'a donné des maux de têtes, des nausées. Donc cette phase a duré plus longtemps que prévu, et il a fallu sortir le bébé avec une ventouse après une épisiotomie." Des complications que la jeune femme met sur le compte du masque. Amère, elle regrette également de n'avoir pu découvrir le visage de son fils qu'à travers l'écran de smartphone de son compagnon, durant les deux heures qu'ont duré le "peau à peau" après l'accouchement, car le masque l'empêchait de voir clairement son nouveau né. 

Il y a quelques jours, nous écrivions sur les gestes barrières et plus particulièrement l’étude marseillaise de COMETE qui démontrait que le virus ne se propageait pas dans l’air, mais par contact. Une étude récente montre que le geste barrière du lavage de main est le plus important et le Dr Fauci lui-même déclare l’inutilité des masques.


François Ducrocq, Substances nocives relâchées par les masques "en papier" (29 septembre 2020) 

Pour les enfants et les adolescents, les masques sont un interdit absolu. (...) L'enfant a besoin du cerveau pour apprendre, et le cerveau a besoin d'oxygène pour fonctionner. Nous n'avons pas besoin d'étude clinique pour le savoir. C'est un fait physiologique simple et incontestable. Un manque d'oxygène provoqué consciemment et délibérément est un danger absolu pour la santé, et une contre-indication médicale absolue.
Lire aussi : 
 
(MAJ 11) Dans la série Les Fous du Covid : 

Source : RMC/BFMTV



(MAJ 11) Homes : 5.000 morts sur ordonnance (RTL, 7 octobre 2020) . Extrait
Source (et émission intégrale pour les belges) : RTLInfo
Dans le rapport j'ai vu qu'elle a marqué : Covid+++. Qu'est-ce que ça veut dire Covid+++ ? Il n'y a pas de test qui a été fait !
 
 
* * *


André Comte-Sponville, philosophe, sur les mesures sanitaires (CNews, 3 octobre 2020)


Dr. Nicole Delépine, pédiatre et oncologue, Autopsie d'un confinement aveugle (17 septembre 2020)

L’histoire des épidémies qui ont jalonné l’histoire montre que le traitement non médicamenteux le moins inefficace d’une infection transmissible repose sur la séparation des malades des personnes saines appelé couramment quarantaine (même si quinze jours sont largement suffisants pour le Covid).
Or le confinement qu’on nous a imposé a réalisé exactement le contraire en renvoyant les adultes malades sans signes de gravité à leur domicile (pour contaminer leur famille et éventuellement les voisins de la cage d’escaliers ?) et les pensionnaires des Ehpad, quel que soit leur état, sans traitement dans leur établissement d’origine (où faute de matériel, de personnel et de locaux adaptés et surtout de traitement simple par chloroquine et antibiotiques dès les premiers signes) ils contaminèrent leurs compagnons d’infortune et le personnel. 

Le Dr David Nabarro de l'OMS a lancé un appel aux dirigeants mondiaux hier, leur disant d'arrêter «d'utiliser les verrouillages comme méthode de contrôle principale» du coronavirus . (...)
«Les lock-out n'ont qu'une seule conséquence que vous ne devez jamais rabaisser, et qui rend les pauvres beaucoup plus pauvres» 

Ne soyez pas soumis l'avenir vos appartient !

* * *


Dr Louis Fouché, Réanimation et COVID – quelques points saillants ! (IHU, 6 octobre 2020)
Une excellente présentation d'un jeune réanimateur de l'équipe du Pr. Raoult. 


Pr. Didier Raoult (CNews, 6 octobre 2020)

 
(MAJ 9) Pr. Didier Raoult, (CNews, Morandini, 9 octobre 2020)
Les virus qui circulent maintenant sont des variants. L'hypothèse que nous avons c'est que c'est des remaniements de virus entre eux et pas strictement des mutations (...) Si on gère cette infection virale correctement, comme pour les autres infections, notamment la grippe, il n'y a pas de raison d'avoir un changement de l'espérance de vie. (...) 
Quand j'étais jeune on m'expliquait qu'on avait vendu 17 fois la tour Effel a des ferrailleurs. Là on vous a vendu la toxicité de l'HCQ. (...) Cela en dit long sur l'état de notre société qu'on peut berner à un point incroyable. Et elle est si facile a berner qu'elle oublie qu'elle a été bernée cinq minutes avant. 

Discovery, l’étude phare Française, a fait couler beaucoup d’encre et ses résultats se font désirer. Après deux enquêtes approfondies sur cette étude essayant d’en comprendre les tenants et les aboutissants, nous nous étions inquiétés sur la non diffusion des résultats qui devaient être publiés en mai.
Arrêt du bras hydroxychloroquine, une décision plus politique que scientifique (...)
Finalement on est en droit de penser que pour ne pas faire perdre de chance au remdésivir (du laboratoire pharmaceutique américain Gilead) nos chefs de départements cliniques ont évincé volontairement un traitement et entraîné ainsi une perte de chance pour des patients qui finalement n’auront pas été traités.  S’il est avéré ultérieurement et de façon irréfutable que le traitement par hydroxychloroquine montrait des signaux d’efficacité dans l'essai Discovery, alors ne pas l'avoir pris en considération serait indubitable une « faute médicale grave » méritant des poursuites à définir.


Dr. Alexandra Henrion-Caude, généticienne, ancienne directrice de recherche à l'Inserm,  (RT France, 5 octobre 2020)

Dès le début de l’été, un rapport original, avait été établi à titre personnel par le Dr Juan F. Gastón Añaños, du Service de Pharmacie de l’hôpital espagnol de Barbastro (province de Huesca) daté du 18 juin 2020 intitulé : « liens et causes possibles de la pandémie avec le vaccin contre la grippe actualisés», faisait état d’une interrogation sur le lien entre le vaccin contre la grippe saisonnière et les décès imputés à la Covid-19, en particulier chez nos aînés.


Dr. Martine Wonner, psychiatre, députée, à l'assemblée nationale (2 octobre 2020) 


Pr. Christian Perronne, actualité de la Covid (Québec, 8 octobre 2020)


Dr Gérard Guillaume, rhumatologue (CNews, 19 mai 2020)


Pr. Laurent Toubiana  (Sud Radio, 5 octobre 2020)


French expert [Pr. Jean-François Toussaint]: Covid has exposed the limits of the human species (24 septembre 2020) - Sous-titres automatiques disponibles


(MAJ 10)  Comment suivre l'épidémie et anticiper son évolution ? La keynote de Jean-François Toussaint (Le Point, Futurapolis, 10 octobre 2020)


Jean-Dominique Michel, Covid-19 anatomie d’une crise (Les Grandes Conférences Liégeoises, 4 octobre 2020)
  

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