(MAJ 16) Fabrice Luchini, On ne comprend pas ce que fait ce gouvernement, la panique de Véran, l'accent qui s'éteint de Castex... C'est terrifiant, c'est morbide, c'est sordide. On a plus envie d'aimer ce gouvernement, ni rien. (14 octobre 2020)
"1984" : l’oeuvre d’Orwell, un miroir de nos existences en 2020 ? 14 octobre 2020, France Culture Le 8 octobre 2020 plusieurs oeuvres de l'écrivain britannique George Orwell sont parues dans la prestigieuse collection « La Pléiade » des Editions Gallimard - plusieurs oeuvres dont "1984", une dystopie initialement parue en 1949, qui fait écho au monde d'aujourd'hui.
Pr. Christian Perronne, Les autorités sont en train de délirer (Sud Radio, 15 octobre 2020)
«Aucune seconde vague n’est en cours à en juger par les types et formes du coronavirus» Dorit Nitzan, directrice régionale de l’OMS en charge des situations d’urgence .
Parmi les médicaments testés sur des patients hospitalisés pour Covid-19, c’est l’hydroxychloroquine du Pr Raoult qui obtient les meilleurs résultats. (...) Une autre étude française, Hycovid, a été stoppée alors qu’elle donnait des résultats encore plus spectaculaires[2] ! Dans cette étude randomisée contre placebo menée à Angers, les malades traités par HCQ étaient 48 % de moins à mourir des suites de la Covid, par rapport au placebo !
Dr. Laurent Toubiana, Nous sommes l'objet d'injures, de diffamations et d'intimidations (CNews, 14 octobre 2020)
Une tribune parue hier dans le Monde mettait en scène un collectif de 90 sociétés savantes académiques et médicales demandant un élargissement des prérogatives de l’Office français de l’intégrité scientifique dans la loi de programmation de la recherche. « Nous demandons la définition dans la loi de règles garantissant l’honnêteté et la rigueur scientifique ». Extrait de : La science met-elle la démocratie en risque ? La science en danger, 15 octobre 2020, France Soir
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Les frondeurs anti-masques (FranceTV, Envoyé spécial, 11 octobre 2020)
Ses vidéos sont suivies par des dizaines de milliers de personnes. Elle se bat contre l’obligation de porter un masque et pour sa liberté d’expression. Qui est vraiment Ema Krusi, patronne d’une boutique de chaussures à Genève, «lanceuse d’alerte» adulée et décriée ? Rencontre. Source (et suite) du texte : «Je ne suis pas complotiste, mais j’ai plein de questions», 30 septembre 2020, Illustré
Qu'est-ce qui a fait la réputation de l'infiltration dans le journalisme d'investigation? Des enquêtes de contre-pouvoir, des enquêtes qui révèlent des agissements illégaux ou abusifs restés cachés au public, comme celle de Roberto Saviano au cœur de la mafia napolitaine ou d'autres au cœur de réseaux pédophiles. Qu’a-t-on avec la dernière «opération undercover» de Heidi.news? Rien de tout cela. En rupture avec ce qui a fait la grandeur du journalisme infiltré, on voit de simples citoyens se faire «infiltrer» et dénigrer pour leurs idées. Des idées parfois fausses, certes. Contestataires assurément. Souvent valables et stimulantes aussi pour la démocratie. Folles parfois. Mais tout sauf secrètes, car très largement répandues. Source (et suite) du texte : Myret Zaki, L'«infiltration» dans la «complosphère» de Heidi.news interroge, 2 octobre 2020, L'impertinent Média
A mon avis au printemps les tests avaient un Ct normal de 25, (...) Or en septembre des législations de Swissmedic on permis des tests rapides (normalement on devrait mettre le virus en culture pendant une semaine pour confirmer si le virus est actif, ..) avec des amplifications de 40 à 45 fois ! (...) [positifs avec ce nombre de Ct] vous n'êtes ni pathogènes ni contagieux mais vous pouvez être immunisés, et on vous met en quarantaine ! (...) Tous les pays devraient être transparent sur le nombre d'amplification. (...)
Au niveau politique et scientifique il y a des choses qui ne jouent pas. (...) Dans le Règlement sanitaire international on mentionne qu'il faut prendre des décisions fondées sur l'évidence, qu'il faut toujours réévaluer, être transparent dans la communication (...) Cela n'a pas été appliqué, il faudra rendre des comptes ! Au niveau international et national il y a énormément de procès en cours, (...) en Suisse aussi, contre l'Etat pour mise en danger, fausses informations, atteintes aux libertés, etc.
(...) ces perquisitions interviennent dans le cadre de l'information judiciaire ouverte par la Cour de justice de la République le 3 juillet sur la gestion de la crise sanitaire [au printemps] pour «abstention de combattre un sinistre».
(...) la génétique ne détermine que 25% du vieillissement en bonne ou mauvaise santé, 75% étant déterminés par l’épigénétique, (expression des gènes) qui peut être modifié chaque jour selon trois types de facteurs: subjectif, style de vie et environnement. Chacun vieillit différemment, ce sont donc bien les biomarqueurs qui reflètent les risques, curseurs de l’âge biologique, et non l’âge chronologique.
(...) la dernière année de vie, en particulier les trois derniers mois, est la plus coûteuse pour le système de santé, quel que soit l’âge (cf. Zweifel, PNR 32)! Ce n’est donc pas l’âge lui-même mais le temps proche du décès qui est un facteur de risque élevé. La fragilité y étant un biomarqueur.
A partir de 35 cycles d’amplification, les HUG estiment que la charge virale est très faible et ils recommandent de refaire le test. Mais les certitudes quant à la contagiosité du patient n’existent pas. Dr. Pascal Cherpillod
« Les tests PCR permettent de détecter des traces de virus après 40 cycles, c’est techniquement spectaculaire, mais est-ce que cette information a une signification clinique ? Probablement pas pour tous les patients.» Les traces de virus qu’on retrouve dans ces tests positifs « montrent par exemple que la personne a côtoyé quelqu’un qui lui a transmis le virus, mais la maladie n’a pas pu se développer chez elle, parce que son système immunitaire a réussi à contrôler le Covid-19 », explique l’expert d’Unilabs [Giuseppe Togni]. Il y a de nombreux autres scénarios quasi indolores, « par exemple quand une personne a le virus en quantités très faibles et qu’elle est asymptomatique. Si elle ne tousse pas et qu’elle n’éternue pas, elle ne va pas catapulter le virus dans l’air et le transmettre. »
La contagiosité est probablement faible voire négligeable au-delà d’un Ct de 36, correspondant à environ 1000 copies/ml (...)
Dans notre laboratoire, nous n’avons pas fixé de seuil. Le nombre maximal de CT est différent selon la méthode et correspond au nombre maximal de cycles effectués.
En l’occurrence, nous utilisons 3 types de RT-PCR SaRS-CoV-2 distinctes :
- Une RT-PCR utilisant une extraction Magnapure (Roche) suivit d’une retro-transcription et amplification à l’aide de machines de type Applied Biosystems, avec des sondes Taqman; le tout est automatisé à l’aide de 3 robots Hamilton. Avec cette plateforme automatisée, nous faisons 45 cycles d’amplification.
- Une RT-PCR appelée « Cobas », commercialisée par Roche, avec un maximum de 50 cycles.
- Une RT-PCR appelée « GeneXpert», commercialisée par Cepheid, avec un maximum de 45 cycles.
La fiabilité est grande (...) se témoigne par le fait que si on fait deux tests successifs et que le premier était positif on a, dans nos labos, observé que dans 96% des cas le deuxième sera de nouveau positif.
«Ici, le risque de faux positif a été ramené à moins de 1 cas sur 10’000 tests», précise le professeur, avant de reconnaître que «tous les laboratoires du pays ne bénéficient pas de telles conditions de travail».
Dans d’autres laboratoires suisses, moins bien équipés, «on peut imaginer qu’il y ait des erreurs, par exemple quand il y a des manipulations d’échantillons à la main, mais elles sont extrêmement rares, et on peut estimer le taux de faux positifs à 0,5%-1%», précise Gilbert Greub.
Il faut bien distinguer entre : 1) les faux positifs à proprement parler qui sont relatifs à la détection du coronavirus SARS-Cov-2 ou plus précisément aux gènes E, RdRP et parfois N, et 2) les faux positifs relatifs à la maladie Covid-19. Les premiers sont faibles, entre 0,01 et 0,5%, alors que les seconds peuvent atteindre 90%. La question est donc de savoir quel est le pourcentage de faux positifs relatifs à la maladie autrement dit le pourcentage de tests devenus positifs après le 35e cycle d'amplification (Normalement les labos ne devraient jamais atteindre ce nombre de cycle). D'autres questions se posent également sur les critères pour déterminer un décès Covid.
Mise à jour (article du 15 octobre 2020) :
Les résultats sont là : quelle que soit la zone génétique examinée, les tests ont montré entre 98,9 et 99,7% de résultats correctement attribués positifs et entre 97,8 et 98,6% de résultats correctement attribués négatifs.
Selon cet article du jour la marge des faux positifs en Europe (relatifs aux matériel génétique détecté) serait un peu moins bonne que la marge d'erreur en Suisse (selon le Pr. Greuber) entre 0,3 et 1,1 % et non plus entre 0,01 et 0,5 %.
Autre extrait (hypothèse sur l'augmentation des cas) :
Les cas positifs augmentent-ils parce que davantage de tests sont effectués ? C’est mathématique: plus on teste, plus on détecte de personnes infectées. Mais en proportions, l’augmentation que l’on observe aujourd’hui n’est pas seulement liée à l’augmentation du nombre de tests comme on le prétend parfois.
Deux faits le prouvent:
- Il y a eu jusqu'à présent trois phases de tests accrus en Suisse: Au début de la pandémie en mars, puis en juin et enfin la période actuelle. La deuxième phase, en juin, est particulièrement significative: les tests ont augmenté, mais pas le nombre de cas positifs.
- L’augmentation réelle du nombre d'infections est démontrée par la proportion de tests positifs en augmentation constante par rapport au nombre total de tests effectués. Il y a seulement un mois, entre trois et quatre pour cent des tests étaient positifs. Actuellement, ce chiffre est de huit à dix pour cent. Et la tendance est à la hausse.
Une grande différence avec la première vague. Actuellement, le nombre de cas augmente tous les jours. Cependant, un facteur est décisif pour comparer les chiffres actuels par rapport à ceux du printemps: le nombre de cas non signalés. Selon une étude de l'Université de Berne, ce facteur était de dix en mars. Aujourd'hui, en revanche, il est de seulement deux ou trois, comme l'a expliqué l'épidémiologiste Christian Althaus dans une interview au Tagesanzeiger.
Cela peut s'expliquer par les capacités de tests, largement inférieurs au printemps. L'étude n'est que préliminaire et n'a pas encore été évaluée par des pairs. Cependant, si ces chiffres sont corrects, environ 10’000 personnes auraient été nouvellement infectées chaque jour en mars. À l'heure actuelle, ce chiffre ne serait que de deux à trois mille personnes par jour.
L'hypothèse de Higgs/Heidinews est incohérente. Il est vrai que de la deuxième à la troisième phase de test il y a eu une augmentation des cas non seulement en valeur absolue mais relative (pourcentage de nombre de tests positifs par rapport au nombre total). Cette augmentation atteindrait actuellement 1/5 du nombre de cas du printemps (selon Christian Althaus) ce qui expliquerait une courbe de mortalité moindre. On serait alors dans une période pré-épidémique (comme en janvier ou février) ce qui justiferait des mesures de précaution pour prévenir ou aplanir la seconde vague en cours (masques et divers interdictions). Mais au printemps les personnes testées étaient toutes des personnes malades sinon hospitalisées, aujourd'hui un grand nombre sont des personnes jeunes et en bonne santé. Si on avait fait plus de tests lors de la première phase, sur cette même population, on aurait certes eu davantage de positifs en valeur absolue mais non en terme de pourcentage. Bien au contraire. Corrélativement si on testait comme au printemps le pourcentage de positifs pourrait être semblable. Or la mortalité ne suit pas, elle reste très faible. La progression est la même (selon Jean-François Toussaint) que celle des autres infections respiratoires en raison de la saisonnalité.
Quelques hypothèses alternatives pour expliquer la situation actuelle (augmentation de ce pourcentage de positifs) :
- immunité en cours, c'est elle que l'on détecte (Pr. Jean-François Toussaint)
- cas épisodiques provenant de la vie d'une épidémie (Pr. Laurent Toubiana)
- mini épidémies provenant de mutants ou de recombinaisons (Pr. Didier Raoult)
- augmentation du Ct détectant des positifs non contagieux (Dr. Astrid Stuckelberg)
A noter que ces différentes hypothèses ne sont pas exclusives les unes des autres (et parfois partagées par les personnes).
2 THERAPIE (DE VOTRE PROPRE RESPONSABILITE): pour les patients à risque présentant des symptômes - possibilité de traiter les symptômes de l'infection par le biais d'un rinçage buccal.
3 LE SAVOIR: seul la connaissance, l'authenticité et l'expérience nous rassurent.
Le port du masque divise profondément en Suisse alémanique où des médecins délivrent des dispensent médicales (RTS, 8 septembre 2020)
Pour la plupart des gens le masque ne sert à rien et met la santé en danger. Dr. Christian Zurcher
Journaliste : Vous voulez un masque ?
Beda Stadler, immunologue (70 ans) : Non je ne suis pas malade. (...) L'actuel virus provient d'une autre souche, il se transmet facilement mais s'est affaibli, il ne rend quasi plus malade.
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