Aldous Leonard Huxley est un écrivain britannique, né le 26 juillet 1894 à Godalming (Royaume-Uni) et mort le 22 novembre 1963 à Los Angeles (États-Unis), plus particulièrement connu du grand public pour son roman Le Meilleur des mondes.
Connu comme romancier et essayiste, il a aussi écrit quelques nouvelles, de la poésie, des récits de voyage et des scénarios de film. Dans ses romans et ses essais, Huxley se pose en observateur critique des usages, des normes sociales et des idéaux et se préoccupe des applications potentiellement nuisibles à l'humanité du progrès scientifique. Alors que ses premières œuvres étaient dominées par la défense d'un certain humanisme, il s'intéresse de plus en plus aux questions spirituelles, et particulièrement à la parapsychologie et à la philosophie mystique, un sujet sur lequel il a beaucoup écrit. (...)
Source (et suite) du texte : wikipedia
Bibliographie (en français) :
- Jaune de Crome, 1921, Ed. 10/18, 1998
- Tout du monde d'un sceptique, 1925, Ed. Payot, 2005
- Deux ou trois grâce, Ed. 10/18, 1998
- Contrepoint, 1926, Ed. Pocket, 1999
- Tour du monde d'un sceptique, 1926
- Le Meilleur des mondes, 1931, Pocket, 2002
- La Paix des profondeurs, 1936
- La Fin et les Moyens, 1937
- Jouvence, 1939, Ed. Livre de Poche, 2004
- L'Éminence grise, 1941
- L'Art de voir, 1942, Ed. Payot, 2004
- L'éternité retrouvée, Ed. Lettres Latines et Librairie Plon.
- En marge, essais et notes, 1945
- Temps futurs, 1948
- La Philosophie éternelle, 1945, Ed. Plon, 1948, Ed. Seuil, 1977
- Les Diables de Loudun, 1952, Ed. Tallandier, 2011
- Les Portes de la perception, 1954, Ed. 10/18, 2002
- Le Génie et la Déesse, 1955, Ed. Plon, 1963
- Le Ciel et l'Enfer, 1956) (sur les ECM - états de conscience modifiée)
- Retour au meilleur des mondes, 1958, Pocket, 2006
- Île, 1962, Pocket, 2010
- Moksha : Expériences visionnaires et psychédéliques, 1977 (Anthologie des écrits d'Aldous Huxley concernant les drogues hallucinogènes, en particulier la mescaline et le LSD)
- Le Sourire de la Joconde, Ed. Gallimard, 1981
- Le Jeune Archimède, Ed. Gallimard, 2007.
- Les Corbeaux de Pearblossom, Ed. Gallimard, 2007
- La Science, la Liberté, la Paix
- Des Caraïbes au Mexique
- Dieu et Moi, essai sur le mysticisme, la religion et la spiritualité, Ed. Seuil, 1994
Philosohia Perennis, la formule a été créée par Leibniz, mais la chose, - la métaphysique qui reconnait une Réalité divine substantielle au monde des choses, des vies et des esprits, la psychologie qui trouve dans l'âme quelque chose d'analogue, ou même d'identique, à la Réalité divine, l'éthique qui place la fin dernière de l'homme dans la connaissance du Fondement immanent et transcendant de tout ce qui est -, la chose est immémoriale et universelle. On trouve des rudiments de la Philosophie Perennis parmi le savoir traditionnel des peuples primitifs, dans toutes les régions de la terre, et, sous ses formes les plus pleinement développées elle trouve une place dans chacune des religions supérieures. Une version de ce Plus Grand Commun Diviseur de toutes les théologies antérieures et postérieures fut pour la première fois, mise en écrit il y a plus de vingt-cinq siècles, et depuis lors le thème inépuisable a été pris et repris, du point de vue de chacune des traditions religieuses, et dans chacune des langues principales de l'Asie et de l'Europe. Dans les pages qui vont suivre, j'ai rassemblé un certaine nombre de passages choisis parmi ces écrits, choisis surtout pour leur signification - parce qu'ils illustraient de façon efficace quelque point particulier du système général de la Philosophia Perennis -, mais aussi en raison de leur beauté intrinsèque et de ce qu 'ils ont de mémorable. Ces extraits sont disposés sous diverses rubriques et encastrés, pour ainsi dire, dans un commentaire à moi, destiné à illustrer et à relier, à développer, et, là où cela est nécessaire à élucider. (Début de l'Introduction)
La matière de la Philosophia Perennis, c'est la nature de la Réalité éternelle, spirituelle, mais le langage dans lequel il faut la formuler a été créé afin de traiter des phénomènes dans le temps. C'est pourquoi, dans tous ces exposés, on trouve un élément de paradoxe. La nature de la Vérité-Fait ne peut être décrite au moyen de symboles verbaux qui ne lui correspondent pas d'une façon suffisante. Elle peut tout au plus être indiquée dans un langage de non sequiturs et de contradictions. (Extrait du chap. De La Vérité)
Extrait de : La Philosophie éternelle, Philisophia Perennis
Commande sur Amazon : La philosophie éternelle
Interview d'Aldous Huxley par Mike Wallace, 1958
Le meilleur des mondes, Téléfilm, 1998
Le Meilleur des mondes (en anglais, Brave New World) est un roman d'anticipation dystopique, écrit en 1931 par Aldous Huxley. Il parait en 1932. Huxley le rédige en quatre mois seulement. Vingt-cinq ans plus tard, Huxley publie un essai dédié à ce livre, Retour au meilleur des mondes, insistant notamment sur les évolutions du monde qu'il perçoit comme allant dangereusement vers le monde décrit dans son ouvrage. Le titre original du roman, Brave New World, provient de La Tempête de William Shakespeare, acte 5 scène 1. John, le « Sauvage », reprend souvent cette phrase dans le roman (chap. 8, 11, 15). Dans la pièce de Shakespeare la phrase est ironique et la traduction française reprend la même ironie, mais en référence à la littérature française : le « meilleur des mondes possibles » du Candide de Voltaire.
Le roman a été adapté au cinéma en 1998. Même s'il reprend beaucoup d'éléments, le film présente une histoire assez différente.
Source (et suite) du texte : wikipedia
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire