jeudi 17 décembre 2020

Ni vaccination ni passeport Covid. Initiative populaire.

MAJ de la page : Coronavirus
 

 
Myret Zaki, La gestion politique de la crise sanitaire. Interview par Patrick Decaillet (Léman Bleu, 16 décembre 2020)
MZ : On a un problème de débat, qui s'est envenimé, c'est préoccupant. On a eu un mépris, une hostilité très forte envers tout ceux qui contestent. On les met tous dans le même panier, depuis ceux qui ont des théories farfelues à ceux qui ont des questionnements extrêmement légitimes et nécessaires, cela ne va pas. On vient de dire que la légitimité en état d'urgence est vacillante, la seule chose pour compenser cela serait d'inclure toutes les voix dissonantes dans le débat, au lieu de les ostraciser. On ne fait qu'accroitre la contestation, la méfiance, la suspicion, c'est exactement le contraire de ce qu'on devrait faire. (...)
PD : La parole [des politiques] a perdu de sa valeur comme une monnaie perd de sa valeur. 
MZ : Excellemment dit (...)
PD : La démocratie, l'esprit critique n'est pas sorti gagnant de cette année 2020. Ce n'est pas une année de lumière critique mais d'obédience moutonnière.
 
Les médecins suisses restent prudents quant à l’usage du remdesivir pour traiter la Covid-19. L’Organisation mondiale de la santé (OMS) vient de publier des données sur l’inefficacité de ce médicament. Pourtant, les autorités suisses vont de l’avant vers l’autorisation de ce traitement et s’efforcent d’en obtenir plus.
Extrait de : Malgré la méfiance des médecins, les autorités achètent du remdesivir, Swissinfo, 14 décembre 2020 

Dans le tableau mis à jour l'hydroxychloroquine fait sa réapparition mais seulement pour une autorisation de deux semaines, jusqu'au 30 décembre 2020, alors que celle du remdesivir cours jusqu'au 29 octobre 2021 ! L'azithromycine est absente ainsi qu'une autre molécule ancienne très efficace, l'ivermectine ! Comment expliquer ces choix aberrants sinon par de la corruption ? Quelles pertes de chances pour les patients ?
Source des informations : Out-of-Stock. COVID-19. Autorisations pour l'importation temporaire et la distribution de médicaments à usage humain. Mise à jour, 16 décembre 2020, Swissmedic. 
(Re)voir le documentaire : Mal traités. Covid-19. Comment les malades ont été privés de remèdes efficaces
(Re)lire la page : Anomalie helvétique. Un scandale sanitaire ?
  
(MAJ 18) Lire aussi : Cumuler des mandats publics-privés doit devenir un critère disqualifiant en matière de politique de santé publique. LHK, 18 décembre 2020



(MAJ 18) Pr. Eric Chabrière, La vérité sur les conflits d'intérêt (IHU, 18 décembre 2020)
On constate une corrélation entre les conflits d'intérêts et l'opposition à l'HCQ
Lire aussi : Hydroxychloroquine approuvée en Italie : le rapport scientifique complet, France Soir, 16 décembre 2020
 

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Parce que la vie est un don... (9 décembre 2020)
Source : Covid-19: Non à la vaccination obligatoire. Collecte de signatures., 16 décembre 2020, LHK
  

Pour la liberté et l'intégrité (STOP à la vaccination obligatoire)
En quoi consiste le programme "STOP à la vaccination" ?
"STOPP Impfpflicht" exige du Conseil fédéral et des politiciens que chacun ait la liberté de décider s'il veut se faire vacciner ou refuser de se faire vacciner, sans subir aucun désavantage social ou professionnel.

SIGNER L'INITIAVIVE FORMULAIRE A REMPLIR (PDF à envoyer avant Noël)
Source : Stop à la vaccination obligatoire (MLS) / Stop à la vaccination obligatoire (Nous déterminons)
 
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INITIATIVE POPULAIRE FEDERALE ‘Pour la liberté et l’intégrité physique’ 

La Constitution1 est modifiée comme suit:

Art. 10, al 2bis
2bis Les atteintes à l’intégrité physique ou psychique d’une personne requièrent son consentement. Si la personne concernée refuse de donner son consentement, elle ne doit ni se voir infliger une peine, ni subir de préjudices sociaux ou professionnels.

Art. 197, ch. 122
12. Disposition transitoire ad art. 10, al. 2bis (Droit à l’intégrité physique et psychique)
L’Assemblée fédérale édicte les dispositions d’exécution de l’art. 10, al. 2bis, un an au plus tard après l’acceptation dudit article par le peuple et les cantons. Si les dispositions d’exécution n’entrent pas en vigueur dans ce délai, le Conseil fédéral les édicte sous la forme d’une ordonnance et les met en vigueur à cette échéance. L’ordonnance a effet jusqu’à l’entrée en vigueur des dispositions édictées par l’Assemblée fédérale.
Source : Confédération suisse (PDF)
 
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MORATOIRE des professionnels de la santé sur la vaccination ARN
Compte tenu que les promesses d’efficacité des vaccins à ARN annoncés font seul l’objet de communiqués de presse des laboratoires pharmaceutiques et d’aucune communication scientifique détaillée,
Source (et suite) du texte : Collectif santé
JE SUIS PROFESSIONNEL DE LA SANTE ET JE SIGNE 
 
REFERENDUM à signer (avant le 30 décembre 2020) : 
NON à la loi Anti-Terroriste  (MLS) / NON à la loi Anti-Covid (MLS)
  
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La fronde des anti-vaccins prend de l’ampleur
Par Michel Guillaume, 17 décembre 2020 - Source : Le Temps

En Suisse alémanique notamment, un mouvement d’opposition au vaccin contre le coronavirus monte en puissance. Selon un sondage, la moitié des citoyens douteraient du vaccin. Une initiative fédérale a même été lancée dans le but d’empêcher l’idée d’un «passeport covid»

Richard Koller est un informaticien proche de l’UDC. Il a été secrétaire général de la section cantonale lucernoise, avant de se faire licencier pour avoir lancé une initiative contre la libre circulation des personnes en concurrence avec celle du parti national. Il voulait protéger les emplois des seniors sur le marché du travail.
Lui aussi informaticien, Charly Pache s’est porté candidat au parlement de la ville de Berne sur la liste 13, celle des Verts du maire Alec von Graffenried. «Un amoureux de la nature, pacifiste et idéaliste qui veut améliorer le monde», se définit-il. Après l’introduction du passeport biométrique, il est devenu très critique envers les autorités. Cet ancien membre du Parti pirate prône une élection du Conseil national par tirage au sort, de manière à ce que des citoyens de toutes conditions puissent y siéger.

Empêcher un «passeport covid»
Qu’est-ce qui peut bien réunir ces deux personnalités aux antipodes de l’échiquier politique? Tous deux sont membres du comité d’initiative «Stop à la vaccination obligatoire», dont la récolte des signatures a débuté le 1er décembre dernier. Ce comité veut compléter l’article 10 de la Constitution fédérale en précisant que «toute personne a droit à l’intégrité physique et mentale». Plus loin, il spécifie que le refus d’un vaccin «ne doit pas entraîner de désavantages sociaux ou professionnels pour les personnes concernées».

A la base de la démarche, une nouvelle association («Le Mouvement de liberté suisse»), qui veut concilier patrie, liberté, responsabilité individuelle et protection de la nature. Le 3 septembre dernier, elle a déjà remis une pétition munie de 54 000 signatures à la Chancellerie fédérale. «En un seul jour le 2 juillet, nous avons même recueilli 10 000 paraphes», raconte Richard Koller.

C’est un fait: le Conseil fédéral n’a jamais envisagé de décréter la vaccination obligatoire. Mais les initiants, qui redoutent d’éventuels effets secondaires «potentiellement cancérigènes», n’écartent pas ce cas de figure. «Si la Confédération a déjà acheté plus de 10 millions de doses de vaccin, alors elle voudra les utiliser», fait remarquer l’informaticien lucernois. Mais l’objectif de l’initiative est d’empêcher toute velléité allant dans le sens d’un «passeport covid» privilégiant les citoyens vaccinés, une idée évoquée par la présidente de la Commission de santé du Conseil national Ruth Humbel.

Un surprenant paradoxe
Le paradoxe ne manque pas de surprendre: d’une part, l’arrivée des vaccins développés par les entreprises Pfizer, Moderna et AstraZeneca constitue le principal espoir de surmonter la pandémie, ainsi que n’arrête pas de le souligner le ministre de la Santé Alain Berset. Mais d’autre part, les Suissesses et les Suisses n’y croient pas vraiment. Le nombre de personnes prêtes à se faire vacciner a régressé de 59% à 49% de mars à octobre, selon un sondage des instituts Démoscope et Sotomo. Selon un autre sondage réalisé pour la SSR, les Alémaniques (48%) sont un peu plus sceptiques que les Romands (44%). C’est comme si les gens avaient plus peur des effets secondaires du vaccin que de la dangerosité de la maladie.

Le problème n’est pas nouveau. En 2013, la loi sur les épidémies avait déjà fait l’objet d’un référendum en raison de la crainte d’un vaccin obligatoire qu’elle suscitait. En votation populaire, elle avait certes été acceptée par 60% des votants dans un tout autre contexte. Mais la méfiance est restée la même. Père d’une fille de 4 ans, Charly Pache et sa femme ont renoncé à la faire vacciner. «Un vaccin n’est pas sans risques. J’attends toujours qu’on fasse une étude exhaustive entre les enfants vaccinés et les autres pour savoir qui se porte le mieux.»

Une question de liberté de choix
De son côté, Richard Koller assure ne pas faire de ce combat une question idéologique. Lui aussi a été vacciné dans son enfance. «C’est une question de liberté de choix. Je veux conserver le droit de dire non», insiste-t-il. «Notre initiative est préventive. Nous voulons empêcher que les personnes non vaccinées ne soient discriminées dans l’accès à certaines manifestations, dans leur liberté de voyager ou dans l’exercice de leur profession. Ce serait le début d’une société à deux vitesses indigne d’une démocratie comme la nôtre.»

Dans le viseur du comité d’initiative, trois accusés: les autorités – l’Office fédéral de la santé publique (OFSP) en tête –, puis l’industrie pharmaceutique et les médias, tous soupçonnés de présenter le vaccin sous un jour beaucoup trop favorable, relevant «la solution miracle». «Les fabricants qui testent eux-mêmes leurs produits n’ont pas intérêt à en révéler les faiblesses. Ce serait aux centres de recherche des universités d’assumer cette tâche, déplore Charly Pache. Il en découle un vrai déficit dans la neutralité de l’information.» Richard Koller va plus loin, dénonçant une «dictature de l’information».

Une chose est sûre en ce moment. Si la loi sur les épidémies permet effectivement de décréter une obligation de vacciner pour certaines catégories de personnes, personne n’y songe. S’il devait y en avoir une, ce serait en premier lieu le personnel hospitalier. Or, l’association faîtière des hôpitaux H+ ne l’envisage pas. «La nécessité de la vaccination est évidente, mais H+ s’appuie sur son caractère volontaire», déclare-t-on à l’association, qui précise que cette stratégie relève de la responsabilité des hôpitaux eux-mêmes. Contactés, les deux centres universitaires que sont les HUG et le CHUV confirment ce caractère volontaire. Des collaboratrices ou collaborateurs qui s’y opposeraient ne seront donc pas sanctionnés.

Les deux initiants refusent de passer pour des adeptes des théories du complot. Charly Pache balaie ce reproche. «En tant qu’informaticien, je suis une personnalité cartésienne», répond-il. «Aux Etats-Unis, les effets secondaires des médicaments sont la troisième cause de décès.» Directeur de l’institut de sondage Sotomo, Michael Hermann note qu’en Suisse, 28% des gens s’opposent par principe à tout vaccin. «La plupart sont des adeptes de médecines alternatives ou des ignorants optimistes. Seule une petite partie d’entre eux sont des complotistes.»

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Le passeport Covid encore plus dangereux que la vaccination ?
17 décembre 2020 - CSO

Le passeport Covid est une manière détournée d'imposer une vaccination obligatoire. 
Par définition un choix est libre si et seulement si le fait de choisir une option n'implique pas une différence de traitement. Une liberté vaccinale menant à des restrictions de déplacement au cas où on refuse le vaccin n'est donc pas une liberté vaccinale mais une contrainte. Celle-ci équivaut à une simple obligation si on touche à la vie même des personnes (en leur refusant toujours plus, voyages, restaurations, loisirs et finalement toute vie sociale). 
Si les mots ont un sens : la liberté vaccinale est incompatible avec un passeport Covid

Le passeport Covid est une forme de Crédit social relativement à la vaccination.
Le Crédit social à la chinoise consiste à donner des droits supplémentaires, ou à restreindre des droits existants, en fonction des comportements individuels. C'est exactement ce que fait le passeport Covid qui définit un bon comportement, se faire vacciner, et un mauvais, ne pas le faire, pour ensuite récompenser le premier et punir le second. 
 
C'est aussi un glissement vers une société de surveillance.
Le passeport Covid présuppose un identifiant numérique qui pourra servir à une surveillance plus large que la vaccination. Au prétexte de prévenir d'autres maladies toutes vos donnée médicales y seront rapidement associées, et bientôt votre dossier médical ne sera qu'une partie de votre dossier personnel, véritable double numérique comprenant tous vos faits et gestes.
On pourra alors passer du passeport Covid à un Crédit social généralisé sanctionnant toute contestation. 
 
Quel bénéfice-risque pour un passeport Covid ?
Si nous avions une pandémie de type Ebola (50% de mortalité), dont il n'existe aucun remède, la question ne se poserait pas mais la Covid-19 a une faible mortalité (0,05%) et possède des traitements efficaces pour peu qu'on les utilise (HCQ, AZM, Ivermectine, etc.). Au contraire les vaccins n'ont pas fait leur preuve, ni en terme de protection et de transmission, ni en terme d'innocuité sur les moyen et long terme. 
Le bénéfice d'un passeport Covid est donc faible et les risques élevés pour les libertés individuelles et la démocratie. 
   
   
  


« Le vaccin devient un produit de luxe pour les plus riches » (sic) (UNICEF Norvège, décembre 2020) 

Le vaccin Covid-19 promu par l'UNICEF (Fondation des Nations Unies pour l'Enfance) et présenter comme un objet de luxe inaccessible ! Sans commentaire. 
On peut lire le clip différemment : ce vaccin est un simple objet de consommation.



Une jeune infirmière, Tiffany Dover, s'effondre 15 min. après avoir reçu le vaccin Pfizer (Etats-Unis, 17 décembre 2020)
 
Une femme d'Alaska sans antécédents d'allergies a été hospitalisée après avoir subi un choc anaphylactique quelques minutes après avoir reçu le vaccin.
Extrait de : Deux soignants aux États-Unis subissent une réaction allergique au vaccin Pfizer COVID. Combien d'autres sont à risque ? The Defender, 17 décembre 2020
  
Lire aussi : FRANCE : Plainte pénale relative aux vaccins, Reaction19, 6 décembre 2020 (PDF - 46 pages) / Reactions19 / (MAJ 18) «Passeport Vert» pour les vaccinés: comment rendre indispensable un vaccin non obligatoire, SPutiniknews, 18 décembre 2020
            

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