En plein scandale sur fond des dîners clandestins des élites dans des restaurants parisiens de luxe, un groupe d’amis venu à la plage dans l’Hérault se sont vus infligés une amende de 405 euros pour consommation d’alcool sur la voie publique.
Allemagne. Le juge a déclaré: « (...) les enfants ne sont pas seulement mis en danger dans leur bien-être mental, physique et spirituel, mais sont également actuellement endommagés par l'obligation de porter des masques pendant les heures d'école et de garder leurs distances les uns des autres et des autres. Cela viole de nombreux droits des enfants et de leurs parents en vertu de la loi, de la constitution et des conventions internationales.
Confinement, l'excuse des jeunes (Décoder l'éco, 2 avril 2021)
"Les moins de 65 ans ne meurt pas de la Covid (...) Les enfants ne sont pas des foyers infectieux"
Si vous avez moins de 30 ans, sans comorbidité, vous avez plus de risques de mourir foudroyé que de mourir du covid. Source : RéinfoCovid
DANGER DU PRELEVEMENT NASOPHARYNGE :
Le prélèvement nasopharyngé suivi de la détection du génome viral par RT-PCR est devenu la méthode de référence pour le diagnostic de l’infection par le SARS-CoV-2. L’écouvillonnage nasal est également nécessaire pour la réalisation d’un test antigénique. Devant la multiplication et la répétition des prélèvements, parfois effectués dans des conditions inadaptées, il importe de rappeler les précautions à observer et les risques encourus. Si certaines complications peuvent être considérées comme bénignes (désagrément, douleur ou saignement), de graves complications commencent à être décrites dans la littérature médicale depuis quelques semaines, notamment des brèches de l’étage antérieur de la base du crâne associées à un risque de méningite [1-3].
Les sophismes les plus utilisés sont ceux de généralisation. Quand il y a plusieurs dizaines d’études favorables et que l’on veut démontrer le contraire, on n’en prend qu’une, on n’en sort qu’une partie pouvant faire croire à une inefficacité, et on affirme que cela ne marche pas en généralisant. Pas besoin de regarder d’autres études, cela ne marche pas. Nous avons vu cette technique dans nombre d’articles et de décisions. On a ainsi arrêté les études en cours sur l’Hydroxychloroquine sur une seule étude, que l’on savait erronée, pour balayer toutes les autres. Dame Costagliola de l’Inserm nie ainsi l’efficacité de l’Ivermectine ne citant en général qu’une étude, qui de plus n’a rien à voir, et elle généralise.
Isoler les malades, tester et traiter le plus rapidement possible. Avec un traitement précoce, comme ceux évoqués dans mon livre, l’épidémie peut être contrôlée très vite. C’est ce qu’on voit avec ces pays qui ont des millions d’habitants et quelques dizaines de morts seulement. En Afrique aussi, ils traitent massivement et il y a plus de morts en France que dans tout le continent.
Et voici que le 26 mars dernier, le Pr Ioannidis a publié ses estimations révisées de la létalité réelle du Covis-19 (infection fatality rate). Résultat des courses ? 0,15%, soit exactement l’ordre de grandeur habituel de la grippe saisonnière.
Ces conclusions étant basées sur des études de sérologie (soit la détection d’anticorps spécifiques) et non pas les tests PCR qui déforment complètement les résultats du fait des innombrables faux positifs qu’ils signalent à tort. Si on devait établir le taux de létalité en fonction des tests PCR+, nous serions de fait très largement en-dessous de 0,15% !
Cette estimation mondiale (soit 3 millions de décès attribuées pour 2 milliards d'individus porteurs d'anticorps) se nuance selon les continents et les écosystèmes. En Europe, on est plutôt à 0,3-0,4% soit exactement les chiffres que j'avais mentionné en avril 2020. Cette différence tenant à trois grands facteurs :
1. La pyramide des âges : nos sociétés sont vieillissantes et donc le réservoir de victimes potentielles est proportionnellement plus fourni.
2. Le défaut de soins et de traitement précoce, qui aura prélevé un lourd tribut de mortalité. J'entends ici non seulement les médicaments qu'il aurait été utile bien sûr d'utiliser, mais aussi un simple monitoring de la saturation en oxygène sanguin permettant de prescrire au besoin une oxygénothérapie avant qu'il soit trop tard !
3. Le Covid-19 est fortement syndémique : l'infection est bénigne pour l'immense majorité de la population mais peut devenir sévère chez des personnes ayant des facteurs de risque spécifiques. Lesquels facteurs de risque (syndrome métabolique, état inflammatoire chronique de bas-grade, destructuration du microbiote) dépendent essentiellement du mode de vie. Or nos autorités sanitaires ont complètement négligé voire nié ce composant essentiel des formes graves, qui est réversible rapidement avec des interventions appropriées comme l'a rappelé fort opportunément le Dr Philippe de Toledo, auteur d'une pétition en ce sens.
Le docteur Bourgeon, médecin à la Réunion, affirme que le Conseil départemental de l’Ordre des Médecins le convoque car… il prescrit de la vitamine D et du zinc aux vieux dans les ehpad… !
Comme leurs homologues anglais, les modélisateurs de l'Institut Pasteur continuent à prédire des catastrophes et à se tromper. Leur objectif est désormais de justifier la vaccination de la totalité de la population, au lieu de réserver les vaccins aux personnes à risque et de prendre au sérieux la question du consentement. Il y a urgence à ouvrir un vrai débat démocratique sur cette question.
« nous avons identifié de nombreux dysfonctionnement au sein de la CEDH et notamment le fait que 22 magistrats sur 100 viennent des ONG comme l’Open Society de Soros. » Et il rajoute : « beaucoup n’ont pas de formation de magistrat. »
«En tant qu'OMS, nous disons à ce stade que nous ne voudrions pas voir le passeport de vaccination comme une condition d'entrée ou de sortie parce que nous ne sommes pas certains à ce stade que le vaccin empêche la transmission», a déclaré la porte-parole de l'OMS, Margaret Harris.
«Il y a toutes ces autres questions, à part la question de la discrimination contre les personnes qui ne peuvent pas se faire vacciner pour une raison ou une autre», a-t-elle déclaré lors d'un point de presse de l'ONU.
Me Clarisse Sand, avocat au barreau de Paris, spécialiste des libertés publiques et Vincent Pavan, Mathématicien et maître de conférence à Aix Marseille. Décision du Conseil d’Etat: les français vaccinés interdits de se déplacer car possiblement porteurs (Sud Radio, 6 avril 2021)
L’assurance-maladie donne le choix aux médecins qui vaccineront dans les centres de vaccination entre être rémunérés à l’acte ou au forfait. Les injections à la chaîne pourront donc s’avérer fort intéressantes financièrement parlant pour eux les jours d’affluence dans les 38 vaccinodromes annoncés.
Reiner Fuellmich, avocat, de plus en plus de compagnies d'assurances, au Japon, au Canada et aux Etats-Unis refuse d'assurer des personnes qui se font vacciner (mars 2021)
Le succès d’une vaccination de masse ne se mesure pas au pourcentage de vaccinés mais seulement à la diminution du nombre des contaminations et à la chute de la mortalité. Or dans tous les pays champions de la vaccination, on assiste au contraire à une augmentation forte de ces deux indices.
« La recrudescence des hospitalisations et des décès est dominée par ceux qui ont reçu deux doses du vaccin, représentant respectivement environ 60% et 70% de la vague. » Source : The Telegraph, (6 avril 2021)
Etat d’urgence sanitaire : le scandaleux déni du Conseil d’Etat ! (Décoder l'éco, 29 mars 2021)
Le 6 mars dernier, le mathématicien Vincent PAVAN représenté par son avocat Clarisse SAND a déposé un recours devant le Conseil d’Etat pour qu’il examine si la situation actuelle peut légitimement être qualifiée de « catastrophe sanitaire » et donc justifier un état d’urgence sanitaire. Cette demande a fait l’objet d’une réponse affligeante du gouvernement puis d’un rejet scandaleux de la part du Conseil d’Etat. (...)
Dans un Etat de droit, le dernier rempart, c’est la justice. Lorsque l’exécutif s’est fourvoyé et que le pouvoir législatif lui a accordé sa confiance, c’est au juge que revient le dernier recours, celui par lequel la vérité est rétablie.
« La plupart des États ont utilisé ou instrumentalisé le coronavirus ou ont été incapables de gérer son impact sur les populations les plus vulnérables. Le coronavirus a amplifié les inégalités et les discriminations qui étaient déjà sur place »
Jean Dominique Michel, Conférences vraiment très secrètes (mars 2021)
«Les conséquences économiques seront plus importantes que les conséquences sur la santé.» (...)
«Je ne fais pas partie des fanatiques ni des complotistes, même si je fais aussi des remarques critiques», prévient-il d’emblée. En discutant avec la population, il relève qu’elle lui dit de plus en plus: «On ne peut plus rien dire à haute voix.» Il fustige les battages médiatiques autour (...) du coronavirus, à propos duquel «les critiques et interrogations ne sont pratiquement pas admises».
Ueli Maurer [ministre des finances de la Suisse] y voit une évolution «dangereuse» et liberticide. Et de lâcher: «Est-ce que l’on doit uniquement croire ce qui nous est dit ? J’ai parfois l’impression d’être membre d’une secte et j’essaie d’en sortir. Ceux qui critiquent deviennent immédiatement des non-croyants dans le déni.»
A force de fuite en avant de nos gouvernements -acquis comme vient de le révéler une indiscrétion du Premier ministre belge à la cause du Great Reset et qu’importe le fait que ce projet de société n’a jamais été débattu et encore moins voté démocratiquement…- nous y voilà bel et bien : nos sociétés vivent désormais sous une dystopie fascisante, à Berne comme à Bruxelles, à Londres comme à Paris.
Pour Monique Lehky Hagen, co-présidente de la Conférence des sociétés Cantonales de Médecine (CCM), la manière de collecter et de présenter les données utilisée dans notre pays rend impossible la comparaison entre la première, la deuxième et la troisième vague de la crise sanitaire. Les changements actuels de la stratégie de tests du COVID mettraient à mal la possibilité d’anticiper correctement l’évolution future de la pandémie.
Avec les températures plus élevées que le printemps apporte inexorablement, l'envie des jeunes de se retrouver et de faire la fête monte. Ce qui n’est pas compatible avec les décrets d’urgence Covid. En Suisse et dans plusieurs autres pays, au nom de la santé, les droits fondamentaux sont restreints depuis une année. La police intervient régulièrement pour disperser ces jeunes. Avec comme résultat des vitres cassées, du gaz lacrymogène et des arrestations. Verra-t-on émerger un climat d’émeutes sporadiques à l’image des banlieues françaises? Le point sur la situation ici et ailleurs.
Bruxelles la belle qu'il ne faut pas faire emmerder (Nostradamart, 5 avril 2021)
Fin d'après-midi ensoleillée. Des centaines de personnes, quelques milliers, environ cinq mille, se retrouvent éparpillées et regroupées dans la grande plaine du bois de la Cambre à Bruxelles pour respirer, échanger, danser, respirer, chanter, crier après un an de régime sanitaire étouffant, enfermant, déprimant. Une véritable petite armée composée de plusieurs bataillons de policiers les attend à pieds accompagnés des brigades canines, équestres, en autopompes, en petits véhicules blindés, à vélo, l'ensemble surplombé par un hélicoptère tournant en cercles continus à quelques centaines de mètres d'altitude avec le bruit caractéristique des pales brassant les masses d'airs dans une atmosphère angoissante digne d'une scène collector du film culte Apocalypse Now.
Emmanuel Macron ex Young Global Leaders du WEF (2015-2016) retrouve son mentor Klaus Schwab (2020)
Voici l’histoire d’un forum peu connu du grand public: le Forum des Young Leaders du World Economic Forum. Dans ce lieu le professeur Klaus Schwab va veiller à former des personnes de moins de 40 ans, venues du monde entier (120 par an) pour éventuellement mettre en pratique la stratégie dessinée au niveau du WEF. Le site des Young Leaders ne se cache pas de la convergence parfaite -pour ne pas dire prolongement parfait- avec la mission du WEF. Il est dit: « Conformément à la mission du Forum économique mondial, le Forum des Young Leaders vise à stimuler la coopération public-privé dans l’intérêt public mondial. Les problèmes urgents d’aujourd’hui offrent selon le site une opportunité de construire un avenir meilleur à travers les secteurs et les frontières. (...)
Et dans l’annuaire des membres se trouve M. Emmanuel Macron, président de la République française, qui était alors ministre.
New community members include (...) French Minister of the Economy,Industry and Digital Affairs Emmanuel Macron (p.7) Partners and Engagement (...) Bill & Melinda Gates Foundation (p.24) Source : The Forum of Young Global Leaders Annual Report 2015-2016 (WEF) - PDF 28p.
Comment ? Comment sortir de l'impasse et sauver un pays qui étouffe sous ses charges, la médiocrité et l'impunité ? En abattant l'ennemi. Voilà la réponse de Juan Branco qui, pour les avoir beaucoup fréquentés, connaît ad nauseam l'égoïsme, la concupiscence mais aussi l'extrême fébrilité de ceux qui nous gouvernent. Tour à tour menacé, flatté, vilipendé par des médias aux ordres, lui qui a battu le pavé avec les Gilets jaunes, dont le mouvement de protestation, violemment réprimé, n'a rien perdu de sa vigueur ni de sa légitimité, appelle à un changement de paradigme majeur en proposant un programme révolutionnaire, incluant la création de tribunaux d'exception, et la mise à bas des coteries qui gouvernent le pays. Une véritable bascule pour permettre à la France de se libérer des forces nocives, et à son peuple de recouvrer sa souveraineté. Qu'est-ce qui transforme une révolte en révolution ?
Juan Branco, Abattre l'ennemi, éd. Michel Lafon, 2021
Quatrième de couverture
François Boulo, Dîners clandestins et «privilèges» des puissants: «les Français en ont ras-le-bol» (Sputniknews, 9 avril 2021)
Il faut comprendre qu’à travers les notions d’économie, de fiscalité, de libre-échange, de monnaie, de dette ou de chômage, c’est un système dit néolibéral au profit des ultra-riches qui nous a mené là nous en sommes. Ces notions en apparence complexes sont en réalité accessibles à tous à condition de prendre le temps de les expliquer simplement. Comprendre les rouages de cette mécanique bien huilée est le préalable indispensable pour quiconque souhaite faire advenir un modèle de société non plus basé sur la consommation et l’individualisme, mais sur la coopération et le bonheur pour tous. François Boulo, Reprendre le pouvoir, éd. Les liens qui libèrent, 2021
(extrait)
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Philippe Guillemant, physicien | Futur déjà créé ? (NTD, 4 avril 2021)
Le principal but de la vaccination est de parvenir à une normalisation du port d’identité numérique par chaque citoyen. (Philippe Guillemant, Docteur et ingénieur physicien, spécialiste d’Intelligence Artificielle exerçant au CNRS)
Me Emmanuel Ludot et Me François Korber, de l'association "Robin des Lois" : Assange (France Soir, 3 janvier 2020) Dupont-Moretti avait annoncé vouloir déposer une demande d'asile pour Julian Assange, après sa nomination comme Garde des sceaux il n'en a plus jamais parlé. (...) On a compris qu'il avait trahi. Quand vous vous engagé pour une cause et que vous ne respecté pas votre engagement...
Debriefing avec M Francois Korber président de l’association Robin des Lois et Me Emmanuel Ludot avocat. Le sujet évoqué ce jour est la décision attendue en Grande-Bretagne demain sur la possible extradition vers les Etats-Unis du lanceur d’alerte Julian Assange.
Julian Assange est de nationalité australienne et il a révélé au sein de Wikileaks des informations confidentielle. Ayant trouvé refuge dans une ambassade en grande Bretagne, il fait à ce jour l’objet d’une demande d’extradition des Etats-Unis. Il risque jusqu’à 175 années de prison.
Robin des lois et Me Ludot sont intervenus pour demander à ce que M. Assange bénéficie du droit d’asile en France. Ils nous expliquent pourquoi. Source : France Soir
Me Juan Branco, avocat, Crépuscule de la Justice ? (France Soir, 8 décembre 2020)
(Re)voir : Julian Assange, l'homme traqué (Arte, juillet 2019)
Une équipe d'ARTE Reportage avait rencontré Julian Assange 3 ans jour pour jour avant cette arrestation, pensant le retrouver rapidement en homme libre. Il dort désormais dans une prison de haute sécurité de la périphérie londonienne, entouré des plus dangereux terroristes du Royaume-Uni. Il risque surtout jusqu'à 175 ans de prison aux Etats-Unis, qui réclament son extradition. Mais que serait aujourd’hui un monde sans Julian Assange ? Et quel prix le lanceur d’alerte australien a-t-il payé pour nous permettre une meilleure compréhension de celui-ci ? Enquête sur le cas Assange, une affaire qui interroge les principes fondamentaux de notre liberté et de notre vie démocratique. Source : Arte
N'extradez pas Assange ! Le journalisme n'est pas un crime.
On voit d’ici à quoi pourra ressembler « l’éducation », ou plutôt la rééducation, aux médias. L’essentiel est que l’analyse du complotisme soit ramenée à son cadre : d’un côté le pathologique, de l’autre le pédagogique. Et puis, dans le camp-école réaménagé, les éducateurs, nous est-il désormais garanti, seront pleins d’empathie et d’écoute : « la diffusion du complotisme, conclut l’article du Monde, pose un défi à une multitude d’acteurs qui doivent plus que jamais prendre le temps d’expliquer, de démontrer, sans ostraciser ni caricaturer ». De ne rien comprendre à ce point, c’en est extravagant. Finalement, rien n’a bougé d’un iota, le complotisme a encore de beaux jours devant lui. On se croirait revenu dans Tintin au Congo, mais où on aurait rappelé les missionnaires pour leur faire faire une UV de psycho avant de les renvoyer sur le terrain : « Nous n’économiserons ni notre patience ni notre bonté pour vous faire apercevoir que les esprits de la forêt n’existent pas. Puisque ce qui existe, c’est Dieu ». Extrait de : Frédéric Lordon, Panique anti-complotistes (Le Monde diplomatique, 25 novembre 2020)
Assignée en référé devant le juge des affaires familiales à Belfort, Rachel est privée de la garde de son petit garçon de 7 ans. Au motif de l’avoir déscolarisé car elle est farouchement opposée au port du masque à l’école dès 6 ans.
En d’autres temps, les hommes ont dû lutter pour conquérir leur liberté. Faut-t-il désormais en faire de même pour la conserver ? Humains qui voulons le rester, il nous faut réclamer avec force une garantie de droit, pérenne et non négociable du pouvoir souverain de tout individu à disposer de son intégrité corporelle. Plus encore, la protection juridique contre toute discrimination d’accès à quelque service que ce soit au seul motif de la non-vaccination doit être, dans un état démocratique, garantie par la loi. Une ostracisassions par voie détournée équivaudrait à un asservissement déguisé en libre choix et reviendrait à mettre un costume de démocrate sur une dictature.
Le temps est venu de nous unir, indépendamment de toute appartenance, de toute nationalité, sur la base du seul attachement à une valeur universelle, qui fait de nous des êtres humains à part entière, porteurs de nos idées, de nos choix, de notre liberté.
Stéphane Hessel, Ne pensez pas que la France était résistante (2013) Ne pensez pas que la France était résistante ! La résistance c’était une petite fraction de la France. La France était vichyste dans sa grande majorité. Donc si aujourd'hui s'il y a beaucoup de gens qui baissent les bras, il ne faut pas s'en étonner. Il suffit qu'il y ait une minorité active, solide, des jeunes qui en veulent, qui considèrent que l'engagement cela signifie quelque chose, et qui ont une responsabilité, ils n'ont pas besoin d'être majoritaire, il suffit qu'ils soient le levain qui fait monter la pâte et à ce moment là nous auront une France résistante.
Le Larousse donne trois acceptions du terme, un régime historique (Italie, 1922-1945), une doctrine visant à créer un régime semblable et une attitude imposée avec les mêmes caractéristiques. Outre (1) le caractère autoritaire du fascisme historique (avec ses tenants et aboutissants) on peut relever un autre point important, (2) la composante corporatiste.
L'autorité naturelle est mesurée, fondée sur des compétences et ouverte au dialogue (pour expliquer un point de vue au risque de le modifier ou d'en changer), une autorité légitime est bornée par un règlement ou une législation, au contraire l'autoritarisme est excessif, démesuré, non plus basé sur la raison mais sur un arbitraire et par conséquent violent. La communication officielle, quelle qu'elle soit, ne supporte pas la critique. Car le critère du vrai n'est plus une adéquation au réel, ni même la cohérence du discours, mais sa seule origine : Est vrai ce que dit le pouvoir en place (même si du jour au lendemain on affirme tout et son contraire). Remettre en cause la vérité de son discours c'est alors remettre en cause le régime lui-même, sa légitimité.
Instrumentalisation de la crise sanitaire et fascisme 2.0.
On constate que les mesures liberticides imposées au prétexte de la crise sanitaire répondent à la première caractéristique du fascisme (1), l'autoritarisme. En effet, celles-là ne sont pas discutables et donc pas discutées (ni par les politiques ni par les médias mainstream). En premier lieu le postulat non formulé sans lequel toutes ces (dé)mesures sont un non sens : la Covid-19 est comparable aux plus graves pandémies. Ce qui est totalement faux, la mortalité de la Covid-19 est seulement de 0.05% (moindre encore si on la soigne précocement) alors que la Peste noire, par exemple, c'est entre 30 et 50%.
Le fascisme 2.0 est semblable au fascisme italien quant à son alliance avec (2) le corporatisme. Sauf que les corporations ne sont plus nationales mais transnationales, exerçant leur influence directement par infiltration des lieux de pouvoir et de décisions (comme à l'OMS), indirectement par un intense lobbying (Bruxelles) ou entre les deux, par des partenariats publics-privés. Le but de ces alliances n'est donc plus l'exaltation nationaliste mais la dissolution des identités et des frontières, des gouvernances encloses, au profit d'une nouvelle globalisation.
De quoi "The Great Reset" est-il le nom ?
"Nous devons changer de mentalité, passer d'une réflexion à court terme à une réflexion à long terme, passer du capitalisme actionnarial à la responsabilité des parties prenantes. La gouvernance environnementale et sociale et la bonne gouvernance doivent être des éléments mesurés de la responsabilité des entreprises et des gouvernements " Klaus Schwab, fondateur et président du WEF (World Economique Forum) Source : La "Grande Réinitialisation" : un sommet unique pour débuter 2021, 3 mai 2020
Le projet du Great Reset, au delà de son travestissement écologique et social, c'est cela : une gouvernance mondiale partagée avec les entreprises (partagée puis rapidement accaparée par elles) pour mettre en œuvre une Révolution industrielle 4.0 menant à un transhumanisme. L'ampleur du projet demande une capacité de surveillance et de contrôle 24/7 (rendu possible par un identifiant numérique, un crédit social à la chinoise et une cryptomonnaie).
Le compteur que le Great Reset veut remettre à 0 est d'abord celui de la démocratie. (Non pas pour le faire repartir mais seulement le mettre à 0 et le remplacer par un autre, celui du corporatisme).
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Covid-19(84) ou La vérité (politique) du mensonge sanitaire : le fascisme numérique Par Michel Weber, Professeur adjoint de philosophie à l’Université du Saskatchewan (Canada)
La crise de la Covid-19 n’est pas sanitaire, mais politique, et aucune des mesures liberticides n’est fondée scientifiquement ; par contre, la Covid-19 rend évidente la corruption complète du corps politique et de ses appendices médiatiques et scientifiques. Cette corruption reflète la crise du capitalisme financier, et la volonté des oligarques de détruire la démocratie représentative. Le système politique qui se met en place est bien totalitaire, c’est-à-dire que toutes les facettes de la vie des citoyens seront pilotées par une structure idéologique mortifère ne différenciant plus les sphères privées et publiques. Ce totalitarisme sera fasciste, sanitaire et numérique.
1. La vérité (politique) du mensonge sanitaire
L’événement Covid-19 a déjà fait couler beaucoup d’encre. Tout et son contraire ont été affirmés, parfois par les mêmes personnes, et au même moment. Ces contradictions pures et simples ont été fréquemment aggravées par l’usage de paradoxes, c’est-à-dire d’énoncés indécidables. Orwell a très bien décrit le processus de corruption en parlant de « double pensée », nous allons le voir.
Démêler l’écheveau nécessite donc de simplifier le récit. Il y a bien sûr un prix à payer pour ce faire ; il est double.
D’une part, il faut ignorer ce qui semble accessoire ; d’autre part, il importe de remettre l’événement dans son contexte historique, à la fois au sens perspectif (la crise culturelle qui se noue en 1968) et projectif (les conséquences politiques immédiates) [1].
1.1. La corruption des corps politique, médiatique et scientifique
Les faits ne pénètrent pas dans le monde où vivent nos croyances, ils n'ont pas fait naître celles-ci, ils ne les détruisent pas ; ils peuvent leur infliger les plus constants démentis sans les affaiblir, et une avalanche de malheurs ou de maladies se succédant sans interruption dans une famille ne la fera pas douter de la bonté de son Dieu
ou du talent de son médecin [2].
La gestion politique ubuesque de l’épidémie peut se définir par cinq traits plus ou moins hypothétiques.
Entretien entre Julian Assange et Juan Branco (sous-titres en Français)
Entretien exclusif entre Julian Assange, son avocat Juan Branco et le journaliste Martin Samson sur l'état du monde et l'état de Wikileaks.
Mené trois mois avant les DNC Leaks, il permet d'accéder à deux heures brutes de pensée, sans coupure, dans la tête de Julian Assange, loin des cadres formels des médias mainstream auxquels on est habitués. Source : Youtube Juan Branco
(MAJ 23) La bataille pour la liberté d'informer ne fait que commencer (Le Média, 22 novembre 2020)
Alexis Poulin : «L'article 24 est un détail par rapport à l'ensemble de la loi Sécurité globale» (RT, 21 novembre 2020)
Alexandre Langlois, Loi de Sécurité globale : «Quand un gouvernement ne veut pas agir, il fait une loi pénale» (RT, 21 novembre 2020)
Didier Maisto, Loi Sécurité globale : «Nous sommes en train de basculer dans un régime qui ne dit pas son nom» (RT, 19 novembre 2020)
L’article 24 de la loi Sécurité Globale ne doit pas devenir l’arbre qui cache la forêt d’une politique de fond, au cœur de ce texte, visant à faire passer la surveillance et le contrôle de la population par la police à une nouvelle ère technologique.
Quelques jours avant le vote de la loi Sécurité Globale à l’Assemblée Nationale, le ministère de l’Intérieur présentait son Livre blanc. Ce long rapport de prospective révèle la feuille de route du ministère de l’Intérieur pour les années à venir. Comme l’explique Gérard Darmanin devant les députés, la proposition de loi Sécurité Globale n’est que le début de la transposition du Livre dans la législation. Car cette loi, au-delà de l’interdiction de diffusion d’images de la police (article 24), vise surtout à renforcer considérablement les pouvoirs de surveillance des forces de l’ordre, notamment à travers la légalisation des drones (article 22), la diffusion en direct des caméras piétons au centre d’opération (article 21), les nouvelles prérogatives de la police municipale (article 20), la vidéosurveillance dans les hall d’immeubles (article 20bis). Cette loi sera la première pierre d’un vaste chantier qui s’étalera sur plusieurs années. Extrait de : La technopolice, moteur de la « Sécurité globale », 19 novembre 2020, La Quadrature du net
Félix Tréguer, sociologue, membre de la Quadrature du net. Les crises sont très souvent des moments d’intensification et d’accélération des logiques de contrôle. Depuis 2001, on s’est accoutumés aux crises terroristes et aux législations « d’exception ». Ce qui fait la particularité de ces derniers mois, avec notamment la crise sanitaire, c’est le fait qu’on assiste à une succession rapide de crises de différentes natures qui se superposent les unes aux autres et accélèrent la dérive autoritaire du pouvoir. Extrait de : Attentats, Covid... Les promoteurs de la société de contrôle en profitent (Reporterre, 20 novembre 2020)
Anne-Sophie Simpere, Amnesty France, "avec les restrictions envisagées sur les vidéos citoyennes de la police, il n’y aurait pas eu d’affaire Benalla, d’affaire du Burger King, d’image de croche-pieds de policiers..."
Loi Sécurité Globale: débat tendu Jean-Michel Fauvergue - François Bersani - David Dufresne (12 novembre 2020) Voir aussi : Frédéric Lordon et la loi Sécurité globale: «La police ne veut répondre de rien à personne» (14 novembre 2020)