jeudi 24 septembre 2020

Covid-19. Le grand cirque des crachoirs.

MAJ de la page : Coronavirus
   

Aram Khachaturian - Valse de la Mascarade (2020)   
    
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Sibeth Ndiaye « Je ne sait pas utiliser un masque »  (8 avril 2020) 
Apparemment elle n'est pas la seule, cinq mois après : 


Emmanuel Macron : comment porter un masque, le changer et respecter les gestes barrières ? (8 septembre 2020) 
Toussez dans votre masque plusieurs fois (sans le changer). Entre chaque éternuement prenez soin de vous gratter le nez. Enlevez le masque d'une seule main en le chiffonnant dans votre paume avant de le donner à autrui. Ne vous lavez pas les mains après avoir déposé le masque mais toussez dans votre poing plusieurs fois (sans oublier de vous toucher le nez). Si vous avez quelque chose en main donnez le à votre voisin le temps de mettre votre masque. Ne vous lavez surtout pas les mains avant de mettre le masque. Mettez-le en le tâtant pour vérifiez sa position sur votre visage. 

"Ils ne croient pas aux mesures qu'ils imposent" Pr. Jean-François Toussain

Shame on you. En France les enseignants doivent parler pendant toute la journée avec le masque et les enfants le porter (alors que les personnes de moins de 19 ans sont asymptomatiques et ne transmettent pas le virus). Idem pour les travailleurs, et les citoyens, dans les commerces et parfois même dans les rues (!) sous peine d'amende et de prison en cas de récidive. 

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Un chirurgien parle du masque, de son utilisation et de son utilité au bloc opératoire (14 septembre 2020) 
Lavage des mains avant de le mettre. Dans une salle d'opération l'air est renouvelé et rafraichi constamment ce qui permet au chirurgien de le porter jusqu'à deux ou trois heures de suite. Les chirurgiens sont en bonne santé, sur le plan cardiaque et respiratoire, et ne font pas d'efforts physiques. Aussitôt l'opération finie le masque est baissé et le chirurgien se désaltère. Le masque protège seulement des projections (mais non d'une diffusion bactérienne ou virale).

On les appelle des « masques ». C’est évidemment inexact. Un masque représente un visage ou dissimule un visage. Nos masques covid, eux, doivent recevoir et garder les multiples particules bucco-nasales que nous rejetons en parlant ou en expirant. Ce sont donc bien des crachoirs.

Liste des effets nocifs / indésirables
Dans le grand public, le port du masque par des personnes en bonne santé peut notamment présenter les désavantages suivants :
   risque potentiellement accru d’auto-contamination dû au fait de manipuler un masque facial puis de se toucher les yeux avec des mains contaminées ;
   auto-contamination possible si un masque non médical humide ou sale n’est pas remplacé, favorisant ainsi la prolifération de microorganismes ;
   mal de tête et/ou difficultés respiratoires possibles selon le type de masque utilisé ;
Conseils sur le port du masque dans le cadre de la COVID-19 : Orientations provisoires
   lésions cutanées faciales, dermite irritative ou aggravation de l’acné en cas de port fréquent et prolongé du masque ;
   difficulté de communiquer clairement ;
   sensation possible d’inconfort ;
   fausse impression de sécurité pouvant conduire à un respect moins scrupuleux des mesures préventives qui ont fait leurs preuves comme la distanciation physique et l’hygiène des mains ;
   port du masque mal supporté, notamment par le jeune enfant ;
   problèmes liés à la gestion des déchets ; l’élimination sauvage des masques peut entraîner une augmentation du volume des déchets dans les lieux publics, présentant un risque de contamination des préposés au nettoyage des rues et des risques pour l’environnement ;
   difficultés de communiquer en cas de surdité et de dépendance de la lecture labiale ;
   désavantages et difficultés liés au port du masque éprouvés par les enfants, les personnes atteintes de troubles mentaux ou de déficiences développementales, les personnes âgées atteintes de déficiences cognitives, les asthmatiques ou les personnes souffrant d’affections respiratoires chroniques, les personnes ayant récemment subi un traumatisme facial ou une intervention chirurgicale orale ou maxillofaciale, ainsi que celles qui vivent dans un environnement chaud et humide.

Cela veut-il dire que cette mesure soit systématiquement mauvaise, dans tous les cas de figure ? Bien sûr que non ! Je me suis opposé au vocable "anti-masques" employé par une presse désormais incapable de s'abstenir de raccourcis problématiques en soulignant que l'expression ne veut rien dire : qui serait par exemple opposé au port du masque en salle d'opération ?!
La question n'est donc pas masque ou pas masque, mais quand, où, comment, pourquoi, dans quel objectif et avec quels risques ? Ce type de questionnement pourtant basique semble un lointain souvenir désormais hors d'atteinte dans l'extinction du débat démocratique ! (...) 


Les crachoirs sont des nids à bactéries. 



Témoignage de la mère d'une enfant (Sud Radio, 21 septembre) 

Ce n'est pas que je veux pas mettre le masque, je peux pas (...) C'est des enfants de deux ans et de trois ans qui quittent pour la première fois leurs parents, de leur imposer une personne masquée c'est juste inhumain. 

Qui met nos enfants en danger, le SRAS-CoV-2 ou les mesures de nos gouvernements ?
Par le Dr. Pascal Sacré
Les enfants et les adolescents sont-ils concernés par la COVID-19 ?
Port du masque obligatoire pour tous, notamment à l’école pour les enfants et adolescents à partir de 11 ans [1]. Distance sociale obligatoire. Lavements incessants des mains au moyen de gels hydroalcooliques.
Les jeunes doivent rester masqués et se tenir à distance de leurs camarades, sans compter la peur permanente de l’autre entretenue par toutes ces mesures extrêmes.
Plusieurs personnes compétentes, scientifiques, médecins, disent que la pandémie COVID-19 est terminée [2], que nous avons aujourd’hui un nombre élevé de tests PCR positifs parce que trop sensibles [3-4] mais que la maladie COVID, elle, disparaît comme en témoigne la diminution des décès et la disparition de malades graves ou même hospitalisés, notamment en raison des mutations du virus, devenu moins virulent [5-6]. 

Le gouvernement fait enfin mine de reconnaître que les enfants sont innocents du Covid[1], qu’ils en risquent moins que de la grippe et qu’ils ne transmettent pas le virus. Mais  -en même temps- le gouvernement diffuse un clip mensonger terrorisant les enfants qui veulent embrasser leurs grands-mères en prétendant qu’ils pourraient ainsi la tuer. Et -en même temps- le ministère de l’éducation maintient contre toute logique l’obligation du masque pour les enfants et adolescents. Il faut exiger du ministère de l’éducation nationale d’aller plus loin et rapidement pour mettre fin à l’obligation du masque pour les enfants et adolescents. 
Pendant qu’un collectif de professionnels de santé alerte le monde [2] et  qu’un collectif de parents[3] enfin s’organise pour porter plainte contre le port du masque par les enfants et adolescents pendant les cours, avec interdiction de prendre une bouffée d’air, même pendant les récréations, ou les intercours[4], de nombreuses voix, un peu partout, s’élèvent pour expliquer le danger du masque permanent chez l’enfant [5], au-delà de la mise en condition de soumission et d’esclavage.



Dans la série les fous du Covid. Des bébés avec visières portés par des mères masquées (Bangkok, 19 avril 2020)

La pédopsychiatre Nadia Bruschweiler-Stern souligne l’importance de l’interaction avec un visage entier dans le développement des enfants.
Le visage est un tout
Pour développer ces facultés, le jeune enfant a besoin d’échanges dynamiques avec une personne – au départ sa mère ou son père, ensuite les éducateurs de la crèche. «Or une personne est un ensemble d’éléments, relève Nadia Bruschweiler-Stern. Le visage n’est pas la simple addition d’une paire d’yeux, d’un nez et d’une bouche. C’est une «Gestalt», un tout où l’ensemble cohérent des éléments transmet le message.»
On sait que, dès sa naissance, le nourrisson manifeste une attirance pour la voix de sa mère et cherche le contact avec son visage. «Son regard recherche les trois points mobiles formés par les yeux et la bouche. Cette structure triangulaire mobile est celle qu’il préfère. Le triangle inversé l’intéresse beaucoup moins. Les mères sont très sensibles à cette quête de rencontre, poursuit la pédiatre. Elles se sentent reconnues et choisies par leur bébé. C’est le début d’une histoire d’amour qui fait le lit du développement.»
Quand un bébé interagit avec la personne qui s’occupe de lui, l’échange est riche. «Il passe par les expressions du visage, les modulations de la voix, les mouvements du corps et un contact tactile, suivi d’une pause. C’est comme dans un orchestre: la cohérence de l’ensemble fait la musique. Le bébé apprend à entrer dans la musique de l’autre puis, grâce à la pause, à jouer la sienne.»
Communication entravée
Dans un échange face à face, le bébé se concentre sur les mimiques du visage: il cherche à capter leur sens et apprend à les imiter. «Mais comment deviner un sourire qu’on ne voit pas? Si l’on cache la bouche, la communication est entravée. On prive l’enfant d’une information très importante pour l’apprentissage de la régulation de ses émotions, de ses conduites, de l’empathie et du langage», poursuit la pédopsychiatre.
L’expérience dite de la «still face» illustre l’importance du visage. Elle consiste à présenter un visage impassible à un bébé. Voir l’autre devenir inaccessible le plonge dans la détresse. «Pour les mêmes raisons, le masque, qui cache une partie essentielle du visage, déstabilise complètement le bébé. Dans le cas extrême des enfants à risque de trouble autistique, je pense qu’il est très dangereux de perdre la continuité d’une stimulation cohérente.»


Magritte 2020

 
De plus en plus de bébés et d’enfants de moins de 12 ans sont testés au covid pour un nez qui coule ou un mal de gorge. Les autorités, par prudence, incitent en général au dépistage. Mais les pédiatres estiment ces mesures disproportionnées, et les parents sont désarmés. (...) 
Divergences
D’autant qu’un test PCR n’est pas une partie de plaisir pour un petit enfant. «Même si l’écouvillon est plus fin et plus petit, le prélèvement peut être douloureux et, pour qu’il soit réussi, le bébé doit parfois être contenu, ce qui peut s’avérer être une expérience traumatisante, explique Pierre-Alex Crisinel, médecin spécialiste en pédiatrie et infectiologie pédiatrique, conseiller scientifique du nouveau site de dépistage pédiatrique du Centre hospitalier universitaire vaudois (CHUV). La plupart des pédiatres souhaitent qu’on allège les critères de dépistage et d’isolement. Tester et isoler les enfants de moins de 12 ans n’empêchera pas forcément le virus de circuler et alourdira la charge des familles.»



Covidences 2020, témoignages du Québec (6 septembre 2020) 
11 femmes courageuses nous offrent leurs confidences et perceptions sur ce qu'elles ont vécues, ainsi que les situations qu'elles ont observées durant le confinement relié aux mesures d'urgence sanitaire.

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Marie-Sophie L. (...) autant se masquer d'une culotte (Instant Cru, 26 août 2020)
 
Masque obligatoire : vivons-nous déjà dans la science-fiction ?

En savoir plus sur RT France : https://francais.rt.com/opinions/78489-masque-obligatoire-vivons-nous-deja-science-fiction-eric-verhaeghe

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