MAJ de la page : Coronavirus
Amélie Paul, Les 10 raisons pourquoi je veux absolument me faire vacciner. Partie 2 (15 novembre 2020)
Amélie Paul, Système immunitaire, Sagesse et Fréquence Énergétique (Radio Médecine Douce, 16 novembre 2020)
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Dans la série les fous du Covid :
Déployer des policiers contre une poignée de seniors sur la plage de Biarritz, longue d’un kilomètre, est l’une des conséquences des nombreuses règles autoritaires contre le coronavirus prises par le gouvernement parisien. Les citoyens doivent rédiger un certificat auto-signé expliquant pourquoi ils sortent à chaque fois qu’ils quittent la maison. Par exemple, un certificat pour emmener les enfants à l’école, un deuxième pour obtenir du sirop contre la toux à la pharmacie, un troisième pour acheter des baguettes, un quatrième pour aller travailler. Les Français ne peuvent faire de l’exercice que dans une mesure limitée : ils ne sont autorisés à faire de l’exercice que pendant une heure, et seulement dans un rayon d’un kilomètre. Randonnées, balades à vélo, baignade sont impossibles.
Extrait de : La réglementation contre la Covid19 en France, L’ABSURDISTAN AUTORITAIRE, par Anika Joerres, 12 novembre 2020, Die Zeit / Trad. UPR
Voir aussi : Bienvenue en "Absurdistan" : un journal allemand dénonce la politique sanitaire de la France, 16 novembre 2020, BFMTV (Vidéo)
À Dunkerque, un homme de 22 ans a été présenté à un juge en comparution immédiate et incarcéré, pour avoir été contrôlé à trois reprises sans attestation de déplacement dérogatoire.
Extrait de : Confinement : il se fait contrôler trois fois sans attestation et finit en prison, 16 novembre 2020, Sud-Ouest
Lire aussi : Manifestation à Paris devant l'Assemblée nationale. Canon à eau, lacrymogène sont utilisées, 17 novembre 2020, France Soir
Alexandre Jardin - "Le rôle de l'État est de soutenir les libraires, pas d'envoyer les flics !" (Sud Radio 17 novembre 2020
Lire aussi : Santé mentale et crise sanitaire : l’inquiétante augmentation des états dépressifs, 16 novembre 2020, France Soir
Un économiste de la santé propose de défavoriser les «rebelles du corona» en cas de surcharge hospitalière.
Extrait de : Faut-il priver les coronasceptiques de soins intensifs ?, 17 novembre 2020, TdG
Cette crise doit interpeller sur l’évolution structurelle de notre système de santé. En Suisse, en 2000, avec 7,2 millions d’habitants et 1,3 million de séjours hospitaliers par année, le pays disposait de 45 500 lits de soins aigus. Environ vingt ans plus tard, pour 8,5 millions d’habitants et 1,45 million d’hospitalisations annuelles, nous disposons de 38 000 lits. Soit une perte de capacité d’environ 30% par rapport à la population et à l’activité. Ce resserrement des ressources a été encore bien plus dur dans le reste de l’Europe et il explique pourquoi, au moindre événement particulier, le système arrive à saturation. On peut bien agiter comme un épouvantail le spectre de la Lombardie, ce printemps, mais pour l’éviter durablement, il faut aussi aborder cette réalité.
Extrait de : Pierre-Yves Maillard: «Il faut moins culpabiliser la population et investir dans la santé publique», 15 novembre 2020, Illustré
Par contraste, Hold-Up révèle la pauvreté et le huis clos du débat de grand public. Comment se fait-il qu’à la place de ces gens qui pensent, qui cherchent et qui s’interrogent, pratiquement tout le temps d’antenne soit occupé par de péremptoires semeurs de panique, souvent criblés de conflits d’intérêts, et qui ne font que légitimer sans preuve ni discussion les décisions les plus extrêmes des autorités ? Sommes-nous soudain tombés en Union Soviétique, pour que le vrai débat social, philosophique et scientifique doive se faire malgré le système et non plus en son sein ?
Extrait de : Hold-Up, la part infalsifiable par Slobodan Despot, 17 novembre 2020, France Soir
Lire aussi : Un braquage du Contrat Social ? Retour sur le Hold Up !, par Louis Foucher, 13 novembre 2020
Pour voir le film (et vous faire votre propre opinion) : Hold-up. Retour sur un chaos
Toute contestation d'une affirmation officielle ou d'une croyance
largement répandue est désormais considérée comme "complotiste"
Edgar Morin, sociologue et philosophe
(MAJ 18) « Loi Sécurité Globale » : La dérive autoritaire du pouvoir (Le vent se lève, 5 novembre 2020)
Voir aussi : Manifestation pour stopper la loi sécurité globale 17/11/2020 : un policier en civil provoque une charge de CRS en poussant un manifestant pacifique, Tweeter
(MAJ 18) Paris : manifestation contre la loi de «sécurité globale» devant l’Assemblée nationale (RT, 18 novembre 2020)
Contre la loi « sécurité globale », défendons la liberté de manifester
Nous nous opposons à la proposition de loi « sécurité globale ». Parmi les nombreuses propositions dangereuses de ce texte, trois articles risquent de limiter la liberté de manifester dans des proportions injustifiables, liberté déjà fortement restreinte sur le terrain et de nouveau remise en cause par le Schéma national du maintien de l’ordre.
Extrait de : 106 Organisations contre la « Sécurité globale », 12 novembre 2020, La Quadrature du net
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En conclusion, d’une part la poussée épidémique que nous connaissons actuellement ne diffère en rien des poussées épidémiques grippales banales (de moyenne intensité). Les mesures de limitations de nos libertés actuelles ne se justifient en rien. Elles doivent être levées en urgence. Christophe de Brouwer, professeur et président émérite de l’École de santé publique de l'Université Libre de Bruxelles,
Extrait de : Covid – différences entre la grippe influenza et le covid-19, 16 novembre 2020, Anthropo-logique
Pr. Didier Raoult, Arrêtons d'avoir peur ! (IHU, 17 novembre 2020)
La situation s'est améliorée avant le confinement. (...) C'est avec une prise en charge médicale que l'on fait tomber la mortalité. Chez nous le taux de mortalité est alors de 0,6 pour 1000 ! Si on s'occupe des gens suffisamment tôt la mortalité est extrêmement faible.
L'hydroxychloroquine est-elle efficace pour COVID-19 ? Un historique vidéo des 134 études HCQ à ce jour (4 novembre 2020)
Source : https://hcqmeta.com/
La COVID 19 est une maladie le plus souvent bénigne, ressemblant le plus souvent à une grippe, mais pouvant néanmoins évoluer vers des formes plus graves nécessitant hospitalisation, chez environ 2 à 3% des personnes touchées. A l'échelle de la population d'un pays, ces formes graves sont nombreuses en valeur absolue et susceptibles d'engorger un système de soins de santé historiquement fondé sur une gestion de la pénurie.
L'infection par COVID-19 peut évoluer en trois phases distinctes : une première phase de réplication virale au cours de laquelle un traitement antiviral peut être efficace. Une phase intermédiaire d'aggravation des symptômes au cours de laquelle les patients présentant des comorbidités ou une déficience immunitaire s’aggravent. Une troisième phase : "tempête de cytokines" ou "cytokin storm", au cours de laquelle le virus a disparu des voies respiratoires mais où une réaction immunitaire excessive détruit des poumons parfois déjà endommagés par les micro-embolies consécutives à un trouble de la coagulation. À ce stade, l'oxygénothérapie et un traitement anti-inflammatoire par cortisone semblent être les plus efficaces, bien que l'hydroxychloroquine puisse également présenter une action immunomodulatrice.
La nécessité d'un traitement précoce et la fréquence élevée des formes bénignes rendent indispensables que le traitement soit bien toléré et ne présente pas un risque excessif. C'est le cas de l'hydroxychloroquine dont l’innocuité est largement démontrée (3, 4). La rétractation d’étude malhonnêtes telles celle du Lancet (LancetGate) ne fait que conforter ce point pourtant connu depuis des décennies. Plus intéressant, l'efficacité de l'hydroxychloroquine comme agent antiviral dans le traitement précoce de la COVID-19, c’est à dire chez des patients ambulatoires a été démontrée pendant la première phase de l'épidémie à Marseille (5) et aux États-Unis (2) et pourrait faire l'objet d'une évaluation plus approfondie.
Inversement, on peut s'interroger sur la pertinence de l'indication pour le remdesivir.
1. Le remdesivir ne peut pas être administré à grande échelle à un stade précoce de la maladie. En premier lieu, son coût est 400 fois supérieur à celui de l'hydroxychloroquine (2000 euros contre 5 euros pour un traitement de 10 jours). Deuxièmement, il est injectable (10 injections), ce qui rend son administration plus difficile que per os. Troisièmement, il présente une forte toxicité rénale qui empêche son utilisation précoce puisque la majorité des cas de COVID 19 évoluent spontanément de façon favorable.
Extrait de : Du traitement de la Covid-19 à l'euthanasie ? : hydroxychloroquine, remdesivir et rivotril, 16 novembre 2020, France Soir
Lire aussi : Italie : première ouverture de l’Aifa à l'hydroxychloroquine comme traitement pour la Covid-19, 15 novembre 2020, France Soir / Ehpad : maltraitance et surmortalité de nos anciens, cela suffit !, par Nicole Delépine, 16 novembre 2020, Riposte laique
(Re)lire : Covid-19 : Hydroxychloroquine, aucun obstacle à sa prescription ni délivrance et engagement de la responsabilité de l'Etat, 24 août 2020, France Soir
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