Alain Damasio, David Dufresne, Frédériqc Lordon, Résistance, résistances (19 août 2019)
C’est le Dictionnaire amoureux de la Résistance, de Gilles Perrault, qui sert de point de départ à cette rencontre. L’esprit de la Résistance peut-il encore nous être utile aujourd’hui ? Peut-on le voir à l’œuvre dans les mouvements des peuples actuels ?
Cette question qui leur est proposée, Alain Damasio, David Dufresne et Frédéric Lordon la débordent bien vite. Peut-on échapper à la société de contrôle ou doit-on la renverser ? Est-il possible de construire un archipel de dissidences qui résiste à la répression ? Le Grand soir n’est-il qu’un fossile d’une pensée politique ensevelie ?
Une rencontre proposée par Serge Quadruppani.
Enregistrée le 19 août 2019 avec la complicité du festival Les Écrits d’août et de l’Université populaire d’Eymoutiers.
Source : Télémillevaches
Exemple de "Gestion démocratique des foules" (sic) :
un policier de la BAC étrangle un vieil homme
un policier de la BAC étrangle un vieil homme
lors d'une manifestation à Nantes (3 août 2019) - Mediapart
Lire aussi : Le ministère de l’Intérieur commande en masse des munitions pour fusils d’assaut et des grenades de désencerclement, par Jean-Marc Manach, 12 juin 2019, Bastamag /
Du libéralisme au fascisme, le développement totalitaire de la civilisation par Bernard Charbonneau, 1948, Le Partage / Le néolibéralisme est un fascisme, par Manuela Cadelli, 2016 (sur le blog)
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No Pasaran (Ils ne passeront pas), chanson de résistance républicaine face aux nationalistes du général Franco lors de la guerre civile espagnole.
Les grands discours, Dolores Ibarruri, No Pasaran (Arte, 2017)
Au lendemain du coup d’Etat de Franco en 1936, Dolorès Ibarruri appelle à la résistance sur les ondes de la radio madrilène. Pendant les trois années de la guerre d’Espagne, « No Pasarán » et son oratrice sont l’un des symboles forts du camp républicain.
« No Pasarán » : on voit apparaître ce slogan sur les murs et sur les banderoles d’Europe et d’ailleurs dès que l’extrême-droite gagne du terrain ou que son retour au pouvoir semble probable. Ce cri est né en Espagne pendant l’été 1936. Au lendemain du coup d’État de Franco, à Madrid, une femme, Dolores Ibárruri, députée communiste, appelle à la résistance sur les ondes de la radio madrilène. Pendant les trois années de la guerre d’Espagne, « No Pasarán » et son oratrice seront l’un des symboles forts du camp républicain. Quel est le parcours de cette femme qu’on surnommait la Pasionaria ? Comment son cri est-il devenu un slogan universel dépassant les frontières et le temps ?
Source : Arte
Les grands discours, Dolores Ibarruri, No Pasaran (Arte, 2017)
Au lendemain du coup d’Etat de Franco en 1936, Dolorès Ibarruri appelle à la résistance sur les ondes de la radio madrilène. Pendant les trois années de la guerre d’Espagne, « No Pasarán » et son oratrice sont l’un des symboles forts du camp républicain.
« No Pasarán » : on voit apparaître ce slogan sur les murs et sur les banderoles d’Europe et d’ailleurs dès que l’extrême-droite gagne du terrain ou que son retour au pouvoir semble probable. Ce cri est né en Espagne pendant l’été 1936. Au lendemain du coup d’État de Franco, à Madrid, une femme, Dolores Ibárruri, députée communiste, appelle à la résistance sur les ondes de la radio madrilène. Pendant les trois années de la guerre d’Espagne, « No Pasarán » et son oratrice seront l’un des symboles forts du camp républicain. Quel est le parcours de cette femme qu’on surnommait la Pasionaria ? Comment son cri est-il devenu un slogan universel dépassant les frontières et le temps ?
Source : Arte
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