Pour commencer, des questions. Va-t-on installer définitivement dans nos pratiques le dénombrement quotidien de nos concitoyens atteints par tel ou tel virus ? Au même titre que le bulletin météo, chiffres et pourcentages des victimes s’afficheront-ils désormais sur nos téléphones, influant sur la coloration de nos journées ? La perspective d’un voisinage tendu avec le monde des virus se dessine-t-elle et avec elle celle d’une vie attentive aux moindres soubresauts de ce comparse réfractaire auxquels il conviendra de répondre sans tarder ? Un combat de longue haleine est-il entamé dans lequel se déploient, pour notre survie, toutes les ressources de l’intelligence humaine ? Entrons-nous dans une nouvelle ère, celle d’une humanité en croisade contre les nuisibles naturels qui la mettent en péril ? Est-ce le projet grandiose de l’avenir pour pérenniser notre existence sur terre ? (...)
On ne peut impunément mettre à l’arrêt un pays pour combattre un agent infectieux, certes contagieux mais dont la létalité n’excède pas celle de la grippe. Qu’on continue à le surveiller à l’abri de tout tapage médiatique, l’affaire est du ressort de toute nation chargée de protéger ses citoyens. Mais maintenir pour cela un état de guerre est un non-sens qui nous conduit à un naufrage collectif. Il est malheureusement à craindre que nos gouvernants renâclent à se remettre en cause. Sans compter que le sacro-saint principe de précaution et la peur des juges risquent de conforter pareille obstination. Pourtant l’urgence est là. La vie doit reprendre ses droits dans notre pays, toute latitude étant restituée à l’activité socio-économique et à la culture pour s’exprimer, l’individu retrouvant quant à lui dans son quotidien les ingrédients qui le motivent et le structurent. En somme une existence libre, sans peur et ouverte sur l’avenir. Garder un œil sur le virus, comme d’ailleurs sur toutes les menaces qui nous entourent, ne doit pas mettre en péril nos raisons de vivre.
La stratégie de la peur pour se maintenir au pouvoir (...) La morale comme instrument de domination (...)
Face à l’inquisition de l’infosphère.
J’ai qualifié ce tintamarre « d’infosphère ». Nouvelle inquisition, celle d’une élite déphasée regardant « de travers » tout à la fois le peuple malséant et tous ceux n’adhérant pas au catéchisme de la bienpensance. « Regarder de travers », c’est considérer ceux et ce que l’on regarde en coin comme étant particulièrement dangereux. Et, en effet, le peuple est dangereux. Ils ne sont pas moins dangereux tous ceux n’arrivant pas à prendre au sérieux la farce sanitaire mise en scène par les théâtrocrates au pouvoir.
Il faudrait la plume d’un Molière pour décrire, avec finesse, leurs arrogantes tartufferies. Leur pharisianisme visant à conforter la peur, peut aller jusqu’à susciter la délation, la dénonciation de ceux ne respectant pas la mise à distance de l’autre, ou de ceux refusant de participer au bal masqué dominant. Leur jésuitisme peut également favoriser la conspiration du silence vis-à-vis du mécréant. (celui qui met en doute La Science). Et parfois même aller jusqu’à leur éviction pure et simple des réseaux sociaux.
Dans tous ces cas, il s’agit bien de la reviviscence inquisitoriale. La mise à l’Index : Index librorum prohibitorum. Délation et interdiction selon l’habituelle manière de l’inquisition : au moyen de procédures secrètes. L’entre-soi est l’élément déterminant de la tartufferie médiatico-politique. L’omerta mafieuse : loi du silence, faux témoignages, informations tronquées, demi-vérités, sournoiseries etc. Voilà bien le modus operandi de la fourberie en cours. Et tout un chacun peut compléter la liste de ces parades théâtrales.
Comment s'engager en pandémie ? Avec Barbara Stiegler, philosophe (France Culture, La Grande Table, 4 janvier 2021)
La conviction qui nous anime en prenant aujourd’hui la parole, c’est que plutôt que de se taire par peur d’ajouter des polémiques à la confusion, le devoir des milieux universitaires et académiques est de rendre à nouveau possible la discussion scientifique et de la publier dans l’espace public, seule voie pour retisser un lien de confiance entre le savoir et les citoyens, lui-même indispensable à la survie de nos démocraties. La stratégie de l’omerta n’est pas la bonne. Notre conviction est au contraire que le sort de la démocratie dépendra très largement des forces de résistance du monde savant et de sa capacité à se faire entendre dans les débats politiques cruciaux qui vont devoir se mener, dans les mois et les années qui viennent, autour de la santé et de l’avenir du vivant.
Eric Sadin, philosophe, Nos psychés sont marquées par des désillusions successives (France Culture, La Grande Table, 29 décembre 2020) Source : France Culture (en cas de problème du lecteur)
L’écran s’est érigé comme l’instance d'interférence majeure entre les êtres. (...) La crise du Covid a mis en avant le fait que la structure pyramidale de gestion technocratique, qui s’est traduite par une infantilisation des citoyens, n’est plus opérante (...) Le monde scientifique s’est vu complètement inféodé au monde économique et, plus tard, à l’industrie numérique (...) Nous devons défendre le droit d’expérimenter, sur le terrain de nos réalités quotidiennes, d’autres modalités d’existence plus épanouissantes et cherchant à ne léser personne. C’est la seule manière de chasser notre ressentiment et d’éprouver la joie unique d’être pleinement acteurs de nos destins.
Le « passeport vaccinal » occupe beaucoup de monde depuis un moment: les géants du numérique, les industriels de la santé, et même la commission européenne. Un document de la commission européenne daté de mars 2019 fixe le rétroplanning pour la mise en place d’une vaccination massive et du passeport vaccinal. Extrait de : L’Europe prépare son « passeport vaccinal » depuis 2019, pour 2022. (CoroInfos, 16 janvier 2021)
Dr. Gérald Kierzek, urgentiste, sur le passeport vaccinal (LCI, janvier 2021)
Martine Wonner, députée du Bas-Rhin, L’État a réussi à terroriser la population (Nexus, 23 janvier 2021)
(MAJ 25) Clarisse Sand, avocat, spécialiste des libertés publiques, Refus de la transparence : quand le conseil scientifique flirte avec l'illégalité (Bas les masques, 25 janvier 2021)
La recombinaison virale existe aussi bien entre ADN viraux d’une part qu’entre ARN viraux d’autre part. Et dans ce dernier cas, cela ne nécessite nullement une rétrotranscription - c’est à dire une conversion de l’ARN viral en ADN. Les ARN viraux recombinent directement. Comment le Pr. Fischer peut-il ignorer cela alors que c’est connu depuis les années 1990 ? Pour en attester, voir ci-dessous un article scientifique de 1992, publié dans une grande revue scientifique internationale à comité de lecture - Microbiological Reviews -, et intitulé « RNA recombination in animal and plant viruses ». (Version en ligne)
Dolores Cahill, biologiste moléculaire et immunologiste. Les dangers de la technologie ARN (World Freedom Alliance, 21 janvier 2021 / Jeanne trad. 24 janvier 2021)
Dr. Simone Gold, La vérité sur les vaccins Covid-19 - Parties 1, 2 et 3 (America's Frontline Doctors, 14 janvier 2021 / trad. Miniver_1984, 22 janvier 2021)
La téléconsultation vaccinale d'Albert et son médecin Dr Poussa, avec Louis Fouché et Un être humain (RéinfoCovid, 21 janvier 2021)
Les communiqués de victoire des fabricants de vaccin à ARN messager proclamant 95% d’efficacité a été très efficace sur leurs cours de bourse, mais a mal caché l’absence de données sur la mortalité et en particulier sur la seule cible éventuelle des vaccins : les personnes très âgées avec comorbidités multiples. En l’absence de données probantes publiées, les campagnes massives de vaccination en Israël et en Grande-Bretagne constituent des essais thérapeutiques phase 3 sur des populations mal informées. Leurs résultats constatés du premier mois font craindre qu’elles se transforment bientôt en catastrophe/scandale sanitaire.
Piqure de rappel sur les pratiques de Pfizer (à qui on fait confiance sans même avoir accès à leurs données bruts) : La firme américaine Pfizer est accusée d'avoir réalisé en 1996 des essais thérapeutiques dans l'Etat de Kano, sans avoir obtenu les accords nécessaires des autorités régulatrices du Nigeria. Plusieurs enfants seraient décédés. Le Nigeria demande plusieurs milliards de dollars de réparation. Source (et suite) du texte : Le Nigeria porte plainte contre le géant pharmaceutique américain Pfizer (Le Monde, 20 juillet 2007)
Le groupe pharmaceutique va ainsi régler à l'amiable les procès qui lui ont été intentés, pour publicité mensongère relative à plusieurs médicaments.
Une étude lancée en mars dernier a fourni des résultats cliniquement convaincants de l'efficacité de la colchicine pour traiter le Covid-19, annonce samedi l'Institut de cardiologie de Montréal (ICM) sur son site web. Ceci en ferait le premier [sic] médicament oral au monde capable de traiter les patients en phase pré-hospitalière.
Menée sur 4.488 patients, l'étude Colcorona démontre, selon l'ICM, que la colchicine a réduit de 21% le risque de décès ou d'hospitalisations chez les patients atteints de Covid-19 comparativement au placébo. "Chez ces patients avec diagnostic prouvé de Covid-19, la colchicine a entraîné des réductions des hospitalisations de 25%, du besoin de ventilation mécanique de 50%, et des décès de 44%"
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