Source du texte : wikipedia
Cette Upanishad, l'une des plus anciennes, est extraite de la Taittiriya Samhita, ou recension du Krishna Yajur Véda (ou Yajur Véda “noir”) élaborée par l'école de Tittiri (qui donna son nom au Taittiriya Shakah dont proviennent – entres autres volumes – la Samhita et l'Upanishad présente). Tittiri fut un célèbre disciple du grammairien Yaska, au 6ème-5ème siècle av. J.-C. Le Yajur Véda étant essentiellement un recueil liturgique de prescriptions rituelles et sacrificielles, cette Upanishad intercale de nombreux hymnes, prières et invocations, dans sa première partie consacrée à l'étude de la phonétique et des mantras de méditation, et à la discipline morale et mentale qui en est le préalable obligatoire; par ailleurs, cette Upanishad passe pour présenter, dans sa seconde partie, la première élaboration de la théorie des cinq corps subtils, koshas.
Source du texte : 108 Upanishads
Bibliographie :
Voir sous Isha Upanishad
Chapitre X : Mantra pour la méditation quotidienne
I-x-1: « Je suis source de vigueur pour l'arbre du monde. Ma renommée va aussi haut que la cime d'une montagne. La source qui m'irrigue est la pureté suprême de Brahman. Je suis l'essence immaculée de l'Atman, elle est tel le nectar d'immortalité qui se trouve dans le soleil. Je suis tel un trésor rutilant. Je possède une intelligence affûtée, je suis immortel et sans déclin. » Telles furent les paroles de Trisanku après qu'il eut atteint à la réalisation.
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Extrait de Taittiriya Upanishad, trad. Martine Buttex
Source : 108 Upanishads
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Extrait de Taittiriya Upanishad, trad. Martine Buttex
Source : 108 Upanishads
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Présentation des 12 Upanishads majeurs :
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